C’est ce que titrait Le Soleil, hier, sous la plume de Baptiste Ricard-Châtelain.
À chaque été, le même refrain: mises en garde contre les rayons du soleil, la chaleur excessive, le smog, le virus du Nil et bien sûr… l’herbe à poux (Ambrosia trifida L.)!
Encore une fois, la Ville de Québec aura fort à faire pour éradiquer la plante sur tous ses terrains vagues, comme ici, face au Village de l’Anse…
À consulter: le site de la Table québécoise sur l’herbe à poux.
24 juillet 2005 à 21 h 24
Depuis que notre bon gouvernement a transformé tous les abords d’autoroutes en terrains vagues, ce n’est rien pour améliorer la situation des allergènes…
Ceci dit, dans le coin de l’Atrium à Charlesbourg où j’habite, c’est le paradis de la mauvaise herbe, herbe à poux, guêpes et déchets enfouis dans le foin. Je trouve la ville très tolérante envers les propriétaires de ces terrains. J’espère bien qu’un jour la construction dans ce coin viendra à bout de tous les problèmes que ça amène.
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