Une Grande Allée pour les « m’as-tu-vu pleins aux as » et exit, le « ti-peuple cassé », diront certains? Comment définir le « bon goût » et l’esthétisme, les « commerces de qualité » et ce, pour qui? Une rue vraiment destinée aux « gens de Québec »? Encore de belles discussions en vue!
Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 24 juillet 2007.
La Grande Allée entend délaisser la restauration rapide au profit du haut de gamme. L’association des commerçants de la rue souhaite désormais favoriser les établissements plus huppés afin de redorer le blason de l’artère.
« Il serait temps que de nouveaux commerces dans d’autres catégories s’ajoutent. Ça ferait un meilleur équilibre entre grandes chaînes et restauration privée. Ce n’est pas problématique encore, mais le dosage est proche de la limite maximale », estime le président d’Action promotion Grande Allée, Denis Pelletier. (…)
Bien qu’il s’agit d’une grande chaîne, M. Pelletier voit d’un bon œil l’arrivée en octobre d’un restaurant Saint-Hubert dans les murs de l’Hôtel Château Laurier, à la Place George V. Le restaurant qui sera ceinturé d’une terrasse de 150 places s’est engagé à respecter l’architecture particulière de ce secteur de la ville. (…)
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