Source: Yves Therrien, Le Soleil, 9 janvier 2009.
(…) Les retombées sont réparties principalement dans l’hébergement, la restauration, le commerce de détail (boutiques de souvenirs du Carnaval et dans les centres commerciaux) et le transport. «Pour la population et les participants aux activités, le Carnaval coupe l’hiver en deux, souligne M. [Jean] Pelletier [directeur général]. Pour les gens d’affaires et les commerçants, c’est un regain dans l’activité économique. Par exemple, le taux d’occupation des hôtels se situe dans les 85 % dans la période carnavalesque, alors qu’il est dans les 60 % avant et après l’événement. Les retombées de 40millions $ représentent l’équivalent de 800 emplois permanents par année.»
S’il n’y avait pas de Carnaval de Québec, il y aurait moins de touristes, et des travailleurs écoperaient de la baisse d’achalandage. Selon les sondages effectués pendant la durée des activités, le degré d’attraction du Carnaval est de 88 %, c’est-à-dire que 88 % des gens interrogés sur les raisons de leur présence à Québec, ils répondent qu’ils sont là précisément pour participer au Carnaval ou en grande partie pour cette raison. L’an dernier ont estimait la participation à 800 000 visites par quelque 450 000 personnes. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Carnaval de Québec: Satisfaction chez les organisateurs.