Some places have all the luck.
Perched on a cliff with a castle, a rampart and a river view to die for, Quebec City is one of the most beautiful cities in the world.
Few visitors or residents know it, but the provincial capital is also home to one of the last great stands of American elms on the continent.
And a unique municipal surveillance system that involves city officials, tree scientists and forestry students aims to keep it that way for a long time to come.
Suite sur The Gazette.
Je ne sais pas pourquoi, j’ai complétement oublié de parler de cet article, auquel j’ai pourtant contribué au niveau des photos, publié au début de juin. Voilà qui est corrigé.
29 juin 2010 à 22 h 06
Profondément intéressant et très éducatif. Merci.
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30 juin 2010 à 07 h 57
Effectivement, très intéressant.
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30 juin 2010 à 14 h 03
Article très intéressant qui nous rappelle l’importance des espaces verts et le rôle particulier des ormes dans l’environnement de notre ville.
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1er juillet 2010 à 00 h 12
« […] in the 1960s. Despite aggressive efforts by many U.S. cities like New York, Chicago and Detroit, which sprayed DDT over city streets from helicopters, the disease wiped out an estimated 90 per cent of the remaining trees. In Toronto and Montreal, there were similar sprayings and whole stands of infected trees were cut down, […] »
Quand t’as le choix entre *tenter* de sauver des arbres ou d’intoxiquer la population… ah ignorance quand tu nous tient…
Mais pour Québec :
« The city’s more northerly location and longer winters were credited with slowing the spread of the two species of beetles that carry the fungus in North America. »
Comme je le dis souvent : ici on est bien parce qu’il fait frette (pas juste « froid ») : pas de grosses bibittes, de maladies dangereuses, ni personne qui veut nous attaquer (de peur de congeler sur place en le faisant j’imagine).
Curieux par contre qu’on ne mentionne pas dans l’article qu’on dispose maintenant d’une variété d’orme résistante à cette maladie, l’orme Accolade (3200 ont été donnés lors du 400e). On ne parle pas non plus des divers essais de lutte biologiques (comme un champignon qui vivrait sur ou dans l’arbre tout en le défendant contre cette maladie). Plusieurs articles disponibles sur ces sujets, dont :
http://www.contact.ulaval.ca/articles/quebec-terre-des-ormes-1361.html
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