Olivier Parent
Le Soleil
(Québec) L’église Saint-Coeur-de-Marie située sur la Grande Allée pourrait être reconvertie en hôtel-boutique, a appris Le Soleil. Le promoteur veut conserver le bâtiment patrimonial pour respecter les exigences de la Ville de Québec.
16 novembre 2013 à 09 h 29
Leboeuf dans le décor, première réaction : méfiance. Attendons la suite…
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16 novembre 2013 à 09 h 44
Je suis étonné pour l’hôtel. Ce n’est pas en contradiction avec
la volonté de la ville de densifier?
Un hôtel? dans un contexte de surplus de chambre et de chute
de l’achalandage touristique.
En fait, pour la densification je pense que je n’ai pas compris.
Il s’agit de densifier…l’offre touristique
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16 novembre 2013 à 10 h 08
Ça ressemble à une balloune. En lisant l’article, pas certain que quelque chose va débuter avant la prochaine élection.
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16 novembre 2013 à 10 h 12
Hôtel et Leboeuf??
1) un hôtel ça prend un hôtelier d’expérience pour partir ça et ça coûte beaucoup de $
2) Leboeuf a déjà démontré que ce n’était pas très solide ses affaires
3) Si la demande était là,Loews serait entrain de rénover le Concorde et Robitaille construirait déjà sur un de ses multiples terrains vacants::avenue des Hôtels(gigantesque terrain), boulevard Laurier(terrain du Bureau en gros et ancienne station service au sud est de Place Laurier), Boulevard Hamel et le tristement célèbre Ilot St-Vincent de Paul
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16 novembre 2013 à 12 h 40
Il faut comparer des pommes avec des pommes. Les hôtels tout-béton des années 70 (Hilton, Concorde) n’ont plus l’aura qu’ils avaient autrefois. Quant aux hôtels du boul. Laurier, ils sont franchement minables (en termes de style) et pas du tout en mesure de plaire à la clientèle touristique ou d’affaires en quête d’un certain standing. Leur rôle est d’accueillir les surplus en période de pointe et les familles avec jeunes enfants (Hôtel Québec).
Pour savoir si un ce projet d’hôtel boutique est viable, il faudrait avoir des chiffres sur le taux d’occupation/la rentabilité de l’Auberge Saint-Antoine et des autres établissement du même type dans le Vieux-Port.
Ensuite il faudrait déterminer s’il y existe un besoin pour ce type d’hébergement en Haute-Ville. Le Vieux-Québec est rempli de B&B mais ce n’est pas le même concept.
Leboeuf ou pas, ce projet est le premier qui a un certain potentiel à mon humble avis.
Sans être véritablement patrimoniale, l’église Saint-Coeur-de-Marie contribue au caractère distinct de la Grande-Allée. Il est plus que temps d’en faire quelque chose.
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16 novembre 2013 à 12 h 31
S’il veut réaliser son projet avec son « cash », sans aucune subvention, le tout en conformité de la réglementation existante, ça serait difficile de s’y opposer.
À défaut, c’est ……NON !
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17 novembre 2013 à 18 h 52
Le tout en conformité avec la réglementation existante? On parle d’un terrain qui était zoné pour une Église… Pas sûr dans ce cas qu’on pourra faire grand chose là…
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16 novembre 2013 à 13 h 15
Je n’en reviens pas; sans qu’aucun projet précis n’ait été déposé, il y a déjà des gens qui sont contre.
Saint-Coeur-de-Marie est à l’abandon depuis plus de dix ans et si rien n’est fait, on va perdre plus tôt que tard ce bâtiment qui montre déjà plein de signes de décrépitude .
De grâce; laissons venir le projet avant de le démolir…
Et si c’est le groupe Leboeuf qui en est le promoteur, il s’associera sans doute à une chaîne reconnue pour assurer l’exploitation de l’hôtel.
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16 novembre 2013 à 21 h 37
Si le maire veut voir une tour à condos au centre-ville, c’est sûrement un très bon emplacement! La conservation d’une partie de l’église peut certainement être un atout afin de demander un changement de zonage. Le secteur est aussi plus propice à la hauteur à cause des voisins immédiats.
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17 novembre 2013 à 15 h 16
Cette église a une architecture unique, faut faire quelque chose avec. Ne la gaspillons pas, de grâce! C’est encourageant de voir des initiatives comme ça.
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17 novembre 2013 à 15 h 49
Le contrat est immense. Je suis allé faire un tour cet été.
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17 novembre 2013 à 23 h 40
Effectivement, j’y suis allé lorsqu’il y avait une vente de livres usagés. Pas d’électricité, la peinture qui décolle, une odeur omniprésente de moisi, des bacs un peu partout au sol pour recueillir l’eau qui coule du toit. Triste à voir, mais pas irrécupérable.
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