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Archive des billets publi�s en ao�t 2006

31 ao�t 2006

Qu�bec prot�ge son parc de logements locatifs
Par Carol Proulx

Source: Gilles Angers Le Soleil, 30 ao�t 2006

La Ville de Qu�bec veille rigoureusement � la pr�servation de son parc de logements locatifs. Ainsi, les propri�taires d�sireux de convertir leur immeuble locatif en copropri�t� divise se butent d'ordinaire � un refus de sa part au motif principal du faible taux d'inoccupation.

Dans la r�gion de Qu�bec, en effet, le taux est encore sous le point d'�quilibre (3 %). D'apr�s la Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement (SCHL), il �tait de 1,4 % en octobre 2005 et estime qu'il devrait atteindre 2 % d'ici la fin de 2006 et 2,5 % en 2007.

�Depuis la fusion en 2002, une dizaine de demandes de conversion d'immeubles locatifs de trois � quatre unit�s sont annuellement pr�sent�es � l'administration. Dans 90 % des cas, la conversion n'est pas autoris�e�, d�clare Jacques Perron du service des communications de la Ville.

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Ouverture officielle du parc des Moulins
Par Carol Proulx

Source: Denis Fortin Qu�bec Hebdo, 31 ao�t 2006

Une partie du site actuel du Jardin zoologique du Qu�bec, celle qui est situ�e � l�est de la rivi�re du Berger, sera de nouveau � la port�e des visiteurs gr�ce � un projet parrain� par la Commission de la Capitale nationale. Le parc des Moulins ouvre officiellement ses portes � compter d�aujourd�hui, le samedi 2 septembre 2006, et ce, du matin jusqu�au cr�puscule.

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Le lac Saint-Charles de plus en plus pollu�
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada Qu�bec, 31 ao�t 2006

Le conseiller de Lac-Saint-Charles, Jacques Teasdale, lance un SOS. Selon lui, la qualit� de l'eau du lac Saint-Charles est s�rieusement compromise par des r�sidents pollueurs. Le pr�sident de l'Association de protection du lac Saint-Charles, Fran�ois Morneau, constate que des r�sidents coupent les arbres qui bordent le lac et construisent des quais en pierre, ce qui menace la qualit� de l'eau du lac.

Selon le conseiller Teasdale, les pollueurs agissent au su et au vu de la Ville en toute impunit�. � La personne qui est l�, qui verse un dix roues de sable dans le lac pour se faire un quai, elle va continuer � le faire parce que personne ne va aller le voir et personne ne va le mettre � l'amende. �

Selon Jacques Teasdale, les plaintes s'accumulent � la Ville de Qu�bec, mais faute de personnel, elles demeurent sans r�ponses. Il n'y a que quatre employ�s au service de l'am�nagement de l'arrondissement, alors qu'ils devraient �tre douze selon le conseiller.

La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, se dit pr�occup�e par la situation, mais admet du m�me souffle qu'il est difficile d'intervenir parce que les r�glements des anciennes villes ne sont pas encore harmonis�s et qu'il y a un probl�me d'effectifs.

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Un des plus gros pollueurs en plein coeur de Qu�bec
Par Carol Proulx

Source Radio-Canada

Source: Radio-Canada Qu�bec, 31 ao�t 2006

L'un des plus gros pollueurs en Am�rique du Nord se trouve en plein coeur de la ville de Qu�bec. L'usine Papiers Stadacona est une des cinq entreprises nord-am�ricaines qui rejettent le plus de substances toxiques. C'est ce que r�v�le un rapport de la Commission de coop�ration environnementale, mise sur pied dans la foul�e de l'ALENA, qui �value les rejets des entreprises dans l'air, dans l'eau et dans les lieux d'enfouissement.

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Sc�ne urbaine: Un bulldozer qui l�vite...
Par Jean Cazes

Photo: Jean Cazes, 31 ao�t 2006.

Il faut beaucoup d'imagination et d'audace pour "trier" certaines structures �lev�es de l'ex-Patro Saint-Vincent, c�te d'Abraham, lesquelles devraient �tre int�gr�es au futur nouvel h�tel de 300 chambres de la cha�ne Jaro projet� depuis des lustres!

� lire:
Une �glise sous le pic des d�molisseurs (Radio-Canada Qu�bec, 31 ao�t 2006) et ce billet.

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Transfert f�d�ral: Le FRAPRU r�clame de nouveaux HLM
Par Jean Cazes

Photo: Jean Cazes, 29 ao�t 2006.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 30 ao�t 2006.

Le Front d'action populaire en r�am�nagement urbain (FRAPRU) exige du gouvernement qu�b�cois qu'il investisse les 187,4 millions de dollars qu'il recevra du gouvernement f�d�ral pour la construction d'habitations � loyer modique (HLM). (...)

Les listes d'attente pour l'obtention d'un appartement dans un HLM comptent plus de 35 000 noms, dont 1800 m�nages � Qu�bec, selon le FRAPRU. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Retour sur la saga du Zoo...
Par Jean Cazes

Fermeture du zoo: ouverture du nouveau parc. (Source: Radio-Canada (Qu�bec), 30 ao�t 2006.)

Les citoyens devraient pouvoir visiter samedi le nouveau parc urbain qui occupe d�sormais les terrains de l'ancien Jardin zoologique du Qu�bec, ferm� depuis le 31 mars dernier.

Le gouvernement du Qu�bec annoncerait officiellement l'ouverture du parc des Moulins vendredi matin. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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30 ao�t 2006

�tat des travaux: prolongement de l'autoroute Du Vallon
Par Jean Cazes

Photo: Jean Cazes, 30 ao�t 2006.

Une nouvelle vue en direction nord-ouest, � partir du boulevard Lebourgneuf. Au premier plan, le "viaduc" sous lequel sont d�j� tol�r�s cyclistes et pi�tons...

Voir aussi ce billet.

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Il y a 99 ans, le pont de Qu�bec s'�croulait
Par Carol Proulx

Source: Karine Gagnon Le Journal de Qu�bec, 30 ao�t 2006

C'�tait l'heure du souper. Les ouvriers qui s'affairaient � construire le pont de Qu�bec terminaient leur journ�e. Il y a eu un grand bruit et la nouvelle a commenc� � circuler: le pont s'�tait effondr� et il y avait beaucoup de morts.�

Auteur de trois ouvrages sur l'histoire du pont de Qu�bec, Michel L'H�breux conna�t par coeur l'histoire des deux grandes trag�dies qui ont marqu� sa construction. Aussi s'est-il joint, hier, aux activit�s de comm�moration, 99 ans apr�s le premier effondrement de la structure, qui a entra�n� 76 ouvriers dans la mort.

C'�tait le 29 ao�t 1907. Le pont de Qu�bec devait devenir le dernier cha�non du chemin de fer transcontinental, apr�s 50 ans de pourparlers. �Il y avait une centaine d'ouvriers sur le pont, lorsqu'il s'est �croul�, dont un bon nombre de Mohawks, qui avaient d�velopp� une grande expertise dans le domaine de la construction de grandes structures�, rappelle M. L'H�breux. Parmi les victimes figurent d'ailleurs 33 Mohawks ainsi que 21 r�sidants de la r�gion de Qu�bec, dont une forte majorit� de la Rive-Sud.

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VilleSansFil.
Par iXm�dia

Message de Luc Desch�nes (luc.deschenes (at) oricom.ca):

Bonjour � tous,

Ce dimanche le 3 septembre 2006, aura lieu la premi�re assembl�e
d'information �leSansFil version "Qu�bec city".

Il s'agit d'une premi�re session d'information � laquelle est invit�
M. Richard Lussier d'�leSansFil qui nous expliquera l'ABC de
�leSansFil afin d'�tendre le r�seau jusqu'� la Vieille Capitale.

Ce sera aussi l'occasion de parler, d'�changer, de faire connaissances
et d'ouvrir les discussions sur l'�ventualit� de reproduire ce type
d'infrastructure pour la r�gion de Qu�bec, en partenariat avec
�leSansFil...

Si ce type d'aventure vous int�resse, veuillez SVP me retourner un
courriel afin de m'annoncer votre pr�sence et pr�sentez-vous aux
coordonn�es suivantes :

Dimanche 3 septembre 2006 � 13h

�cole de musique Arquemuse
850 , avenue de Salaberry
Qu�bec (Qu�bec)
G1R 2T9

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J'y serai! Et vous?

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La colocation grand format
Par Carol Proulx

Source: Mathias Marchal Le Soleil, 25 ao�t 2006

C�est la rentr�e. Et qui dit rentr�e, dit souvent nouveau logement, cartons � d�baller, colocs � apprivoiser. Finis, les bons petits plats de maman, le duo Kraft Dinner � Mr Noodles est de retour, pour le plus grand (d�)plaisir de votre estomac. Pour certains, la colocation prendra la forme d�une famille nombreuse, question de convivialit�, mais aussi d��conomies. Mais comment font-ils pour vivre en harmonie ?

� Bonjour. Vous �tes bien chez Am�lie, Jean-Nicolas, Michel et Vincent. Pour l��t�, nous avons �galement Marc et Laurent qui restent chez nous. Alors si vous voulez laisser un message, dites-nous � qui vous voulez parler et on vous rappellera d�s que possible. �

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29 ao�t 2006

Qu�bec: une belle ville � visiter.
Par Gerald Gobeil

Le mardi 29 ao�t 2006

Qu�bec occupe la 7e des meilleures destinations touristiques selon le magazine Travel+Leisure
Source
La Presse

Montr�al et Qu�bec, meilleures destinations touristiques

Qu�bec et Montr�al sont parmi les dix meilleures destinations touristiques en Am�rique du Nord, selon un palmar�s compil� par une publication am�ricaine. Qu�bec arrive en 7e place et Montr�al en 9e, tandis que Vancouver et Victoria � toutes deux en Colombie-Britannique � percent aussi le palmar�s, en 6e et en 8e position respectivement. C'est la ville de New York qui tr�ne au sommet.

La grande absente canadienne de la liste est la ville de Toronto, mais la r�dactrice en chef adjointe du magazine Travel + Leisure, Amy Farley, affirme qu'il n'y a pas lieu de s'inqui�ter. �Le fait que Toronto ne soit pas sur la liste ne signifie pas que nos lecteurs n'y vont pas et qu'ils n'aiment pas leur voyage�, dit-elle.

Il s'agit de la 11e �dition annuelle du palmar�s de Travel + Leisure. Le classement a �t� compil� � partir d'un questionnaire pr�sent� en ligne entre le 15 janvier et le 31 mars, et auquel environ 500 000 personnes ont r�pondu cette ann�e.


Les abonn�s au magazine ont �t� appel�s � se prononcer sur la qualit� des villes, des h�tels, des voyagistes, des lignes a�riennes, des croisi�ristes et des stations sant�.

Les villes, plus pr�cis�ment, ont �t� �valu�es en fonction de six crit�res: les attractions touristiques, les arts et la culture, les restaurants et la nourriture, la population, le magasinage et le rapport qualit�-prix.

Mais l'omission de Toronto risque d'�tre per�ue comme une nouvelle insulte � une ville qui cherche � se doter d'une r�putation internationale.

�Toronto offre un peu de tout, mais rien d'exceptionnel, explique Ken Wong, professeur de marketing � l'universit� Queen's. Toronto est bonne dans tout mais n'excelle en rien�. L'offre d'une exp�rience unique est vraiment ce qui compte en tourisme, pr�cise M. Wong.

Vancouver et Victoria peuvent compter sur l'oc�an Pacifique et la cha�ne des Rocheuses, tandis que Qu�bec et Montr�al sont riches en histoire et en culture.

L'�le du Cap Breton, en Nouvelle-�cosse, arrive par ailleurs au sommet du palmar�s des �les nord-am�ricaines. L'�le de Vancouver et l'�le-du-Prince-Edouard percent respectivement en troisi�me et quatri�me places. Et l'Aerie, sur l'�le de Vancouver, a �t� �lu meilleur h�tel en Am�rique du Nord

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Parlement � Qu�bec: Importants travaux en cours
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada Qu�bec, 28 ao�t 2006

D'importants travaux de r�fection sont en cours � l'immeuble du parlement � Qu�bec. Pour la premi�re fois depuis 110 ans, la tour centrale fait l'objet de r�novations. Des ma�tres sculpteurs sont � l'oeuvre pour refaire les corniches.

L'entretien et la modernisation des cinq �difices de la colline Parlementaire constituent une t�che colossale. Il faut les pr�server tout en tenant compte de leur caract�re patrimonial.

Selon le directeur de la gestion immobili�re Guy Huot, les d�fis sont multiples afin de trouver les bonnes m�thodes d'intervention dans ce contexte particulier. Une grande planification et beaucoup d'argent sont n�cessaires: 100 millions de dollars ont �t� investis depuis 25 ans et il faudra en d�penser autant dans le futur, disent les autorit�s.

Selon M. Huot, ces d�penses sont souvent difficiles � faire autoriser.

� C'est peut-�tre toujours un peu plus prestigieux de faire une premi�re pellet�e de terre pour construire un nouvel h�pital que de refaire une toiture �, mentionne M. Huot. D'ici 2009, 50 projets de r�novation sont inscrits � l'agenda. Les fonctionnaires devront persuader les parlementaires de leur n�cessit�.

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28 ao�t 2006

Reportage photo: Les Jardins M�rici
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo 9, immeubles 5, 7, 8 et 9 des Jardins M�rici, vue en direction nord. Photo: Jean Cazes, 24 ao�t 2006.

Les Jardins M�rici formeraient le plus important complexe r�sidentiel de Qu�bec.

Dans son livre La m�moire du paysage (Les Presses de l'Universit� Laval, 2001, 286p.), Lucie K. Morisset souligne qu'au d�but de la construction des premi�res phases en 1972, la firme d'architectes Gauthier Guit� Roy, dans ses plans, projetait � terme 2500 logements sur un vaste terrain situ� au sud de Grande-All�e Ouest (anciennement le chemin Saint-Louis).

Cet ensemble de b�timents aux lignes audatieuses ne compterait toutefois "que" 1135 logements et condominiums apr�s la construction des deux derni�res phases, de facture plus "contemporaines", au d�but du mill�naire (photos 1 et 2, croquis non dessin�s sur la carte ci-bas)...

Grand format 752X459, plan d'ensemble des Jardins M�rici. Source: Dossiers propri�t�s historiques du Service d'am�nagement du territoire de la Ville de Qu�bec, image datant de 1988.

Photo 1. Jardins M�rici.Photo 2. Jardins M�rici.Photo 3. Jardins M�rici.Photo 4. Jardins M�rici.Photo 5. Jardins M�rici.Photo 6. Jardins M�rici.Photo 7. Jardins M�rici.Photo 8. Jardins M�rici.

C'est gros, c'est en b�ton; c'est �litiste, dit-on. Et les go�ts sont discutables... Mais pour ma part, strictement du point de vue architectural, j'adore cet ensemble: � des ann�es-lumi�re, par exemple, des sempiternels alignements de b�timents de briques � 3 �tages du secteur Lebourgneuf! Aussi, les Jardins M�rici semblent bien vieillir, et contrairement au coin du Campanile [billet], on a plut�t respect�, ici, le plan d'ensemble de 1972!

Histoire de densifier la Colline parlementaire - puisqu'on cherche � attirer des gens au centre-ville - je me surprends m�me � imaginer des concepts "� la M�rici", en gradins, sur le stationnement au nord de Place Hauteville [billet], sur le site de l'�lot Berthelot [billet] (un projet � vocaxion mixte et � plus petite �chelle, de 4 � 7 �tages?) ou en remplacement du tr�s peu fr�quent� parc de l'Am�rique Fran�aise [billet]...

Voir aussi ce billet.

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27 ao�t 2006

Mini dossier. LES HLM DE QU�BEC: Des tours surpeupl�es (mise � jour)
Par Carol Proulx

Source: Baptiste Ricard-Ch�telain Le Soleil, 25 ao�t 2006

Les grandes tours de HLM sont souvent surpeupl�es. Elles regroupent trop d�enfants et de pauvret�. Les r�gles d�attribution de logements HLM exigent que deux enfants de m�me sexe partagent une seule chambre jusqu�� la majorit�. Ceux de sexe oppos� peuvent obtenir un nid s�par� � partir de sept ans.

Ce n�est pas un probl�me dans une maison ou un petit immeuble, articule Robert Pilon, de la F�d�ration des locataires de HLM. Mais un complexe de 200 logements, o� on peut retrouver 500 enfants, devient un terreau fertile pour la petite criminalit�.

Voir aussi cet article du m�me auteur. Et aussi celui-ci.

Autre article en date du 27 ao�t 2006: Les locataires en ont marre des pr�jug�s
La loi du silence Aini que Grand combat, petites victoires Des fleurs dans le macadam

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26 ao�t 2006

Moratoire sur les �oliennes � Qu�bec
Par Carol Proulx

Source: Le Soleil

Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 24 ao�t 2006

La Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec interdit toute implantation d��oliennes sur son territoire, le temps de se doter de r�gles pour contr�ler cette nouvelle source d��nergie de plus en plus populaire. Apr�s la Gasp�sie et le Saguenay-Lac-Saint-Jean, les r�gions de la Capitale-Nationale et de Chaudi�re-Appalaches sont les plus venteuses et poss�dent le meilleur potentiel �olien.

D�j�, un projet de parc �olien est en cours d��laboration par les compagnies Boralex et Gaz M�tro dans la seigneurie de Beaupr�, � 20 km au nord du mont Sainte-Anne. Sur le reste du territoire, qui comprend Qu�bec, L�vis et les trois MRC de la C�te-de-Beaupr�, de la Jacques-Cartier et de l��le-d�Orl�ans, la CMQ a impos� hier un moratoire de 90 jours sur toute nouvelle implantation d��olienne, les grandes comme les plus petites.

Voir aussi ce lien.

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Le pas si merveilleux monde de Disney
Par Jean Cazes

Source: David Desjardins, Voir Qu�bec, 24 ao�t 2006.

Les boutiques dans le Vieux-Qu�bec, c'est un peu comme le c�ble auquel je suis abonn� pour la t�l�. Une cinquantaine de possibilit�s, presque toutes des merdes, � quelques exceptions pr�s. Si on prolonge l'analogie, admettons que, demain matin, on vous dit que, je ne sais pas moi, on met la cl� dans la porte de la boutique TVA avec Louise-Jos�e Mondou et, du coup, on tente de vous convaincre que c'est �pouvantable, que c'est toute l'histoire de la t�l� qui s'en trouve �branl�e.

Allez-vous vous mettre � brailler?

C'est pourtant bien ce qu'on a tent� de provoquer comme effusion, il y a quelques semaines, transformant la fermeture de la boutique La Corriveau en un �v�nement de force majeure, la preuve que rien ne va plus dans le merveilleux monde de Disney qu'est le Vieux-Qu�bec. (...)

La suite. Aussi, cet autre billet.

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D�veloppements imminents � ExpoCit�
Par Jean Cazes

Source: Le Journal �conomique de Qu�bec.

Source: Damien Rousseau, Le Journal �conomique de Qu�bec, 23 (?) ao�t 2006.

Selon ce que LE JOURNAL �CONOMIQUE a appris, Loto-Qu�bec investira 18 M$ pour implanter un salon de jeux � ExpoCit�. Ces sommes serviront � d�molir l'�difice qui abrite actuellement des salles de vid�o-pokers et le si�ge social de l'organisme municipal, imm�diatement � l'ouest du b�timent de l'Hippodrome de Qu�bec. La concr�tisation de ce dossier vient confirmer l'information d�voil�e dans ces pages le printemps dernier.
Actuellement, un d�bat persiste � l'�gard du projet entre la Ville de Qu�bec et Loto-Qu�bec. La soci�t� d'�tat r�clamerait un bail emphyt�otique de 60 ans, alors que la mairesse Andr�e-P. Boucher serait pr�te � l�cher le morceau pour une entente de 30 ans. Toutefois, il ne semble pas que cette discussion remette en question l'ensemble du dossier.

En outre, l'injection de fonds gouvernementaux viendra s'ajouter � celle du groupe du s�nateur Paul-J. Massicotte, qui devrait convertir l'�difice de l'Hippodrome de Qu�bec en un centre de divertissement familial. Les d�tails de cet autre projet seront vraisemblablement rendus publics au cours des prochaines semaines. Le nouveau propri�taire a toutefois laiss� entendre que la r�fection de l'infrastructure locale pourrait n�cessiter un investissement de quelque 25 M$.

Enfin, il a �t� possible de savoir que les terrains sur lesquels logeait l'ancien concessionnaire GM Gigu�re Automobile ont �t� vendus aux promoteurs Genevi�ve Marcon et Jean Campeau. Ces terrains seraient destin�s � recevoir l'�tablissement h�telier pr�vu dans le secteur, de mani�re � consolider la vocation d'ExpoCit� et celle du Centre de foires dont on annoncerait bient�t l'agrandissement pour en doubler la surface d'exposition.

Voir ce billet.

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25 ao�t 2006

"Jumping Frog"!!
Par Jean Cazes

Grenouille. Photo: Jean Cazes, 25 ao�t 2006.

Entre deux bonds (!), cette grenouille l�opard s'est bri�vement "chauff�e la couenne" sur le sentier traversant la tourbi�re de la Base de plein air de Sainte-Foy [billet], cet apr�s-midi...

Je sais: l'allusion est facile [billet], mais oh! combien irr�sistible! ;-)

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Retour sur d'importants projets d'habitations du c�t� de Beauport
Par Jean Cazes

Les immeubles en copropri�t� de la Cit� de Moncel seront dispos�s en U. Source: Le Journal de l'Habitation.

La cimenterie Saint-Laurent recouverte d'habitations. (Source: Fran�ois Cattapan, Le Journal de l'Habitation, 21 ao�t 2006.)

Le site de l'ancienne cimenterie Saint-Laurent, d�molie il y a quelque temps � Beauport, devrait prochainement voir arriver ses premiers r�sidants. Le vaste terrain en cours de r�am�nagement a �t� divis� en trois secteurs, dont deux s'activent imm�diatement soit un exclusif � la haute densit�, qui accueillera le projet des Fa�ades de l'�le, et un autre d�di� � la moyenne et haute densit�, baptis� Cit� de Moncel. Le dernier destin� � la basse densit� sera d�velopp� plus tard, apr�s que l'endroit sera habit� et vivant. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Sc�ne urbaine: l'�t� qui s'ach�ve, � la Base de plein air de Sainte-Foy...
Par Jean Cazes

Base de plein air de Sainte-Foy. Photo: Jean Cazes, 25 ao�t 2006.

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24 ao�t 2006

Condos controvers�s sur des propri�t�s religieuses en bordure du chemin Saint-Louis (Sillery): �volution de deux projets
Par Jean Cazes

Domaine Bois� Benmore. Photo: Jean Cazes, 24 ao�t 2006.

Ci-haut, la phase I du Domaine Bois� Benmore (� l'est de la Maison Michel-Sarrazin). En bas, une vue � partir du chemin Saint-Louis sur le nouvel immeuble du
Domaine du Ch�teau de Bordeaux (aussi, cette photo) r�cemment achev�.

Dans Qu�bec Urbain, de nombreux billets ont couvert les projets de condos (incluant ceux-ci) qui se sont multipli�s ces derniers mois dans le secteur du chemin Saint-Louis. Voir entre autres ce dossier.

Nouvel immeuble du Domaine du Ch�teau Bordeaux. Photo: Jean Cazes, 24 ao�t 2006.

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L'�v�nement "HABITER", du Centre VU
Par Jean Cazes

Source: Site du Centre VU.

Fond� sur la rencontre entre des artistes professionnels et la communaut� locale, Habiter consid�re la ville dans sa dimension humaine et propose un art v�ritablement public qui prend le citoyen lui-m�me comme sujet. (...)

Ici, les d�tails et le calendrier de cet �v�nement d'art public qui aura lieu du 25 ao�t au 1er octobre sur diff�rents sites ext�rieurs du quartier Saint-Roch.

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COOP�RATIVE DE L'ILOT-BERTHELOT: Le comit� populaire compare Andr�e Boucher � l�ex-maire Jean Pelletier
Par Jean Cazes

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 23 ao�t 2006.

Le Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste estime que la mairesse Andr�e Boucher fait � de la petite politique � quand elle qualifie de � petits fut�s � les gens qui habiteront les logements coop�ratifs de l��lot Berthelot.

� Elle a le m�me raisonnement que le maire Jean Pelletier qui a d�truit le centre-ville �, s�insurgeait, hier, V�ronique Laflamme, la porte-parole de l�organisation � la base de la formation de la coop�rative d�habitations qui prendra place dans l��lot Berthelot, en bordure du boulevard Ren�-L�vesque.

� Ind�pendamment de ce que peut penser la mairesse, poursuit Mme Laflamme, ce que nous retenons surtout, c�est une belle victoire pour le quartier. La Coop L�Escalier n�a jamais �t� un projet de l�administration L�Allier, il a fallu se battre pied � pied pour les forcer � prendre une orientation sociale dans ce dossier. �

Lors de la derni�re r�union du conseil d�agglom�ration de Qu�bec, la mairesse a livr� le fond de sa pens�e sur les logements sociaux ou communautaires, montrant m�me du doigt la chef de l�opposition, Ann Bourget, comme faisant partie de ces � petits fut�s � qui gagnent 90 000 $ et qui savent utiliser le syst�me.

Voir aussi ce billet.

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Consommation d'alcool: Sensibilisation via les entreprises
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada Qu�bec, 23 ao�t 2006

La r�gion de Qu�bec sera la premi�re � b�n�ficier du nouveau programme de sensibilisation lanc� mercredi matin par les organismes Educ'alcool et Op�ration nez rouge. D�s la mi-septembre, des conf�renciers se rendront dans les entreprises rencontrer les travailleurs � qui on fera vivre une exp�rience toute particuli�re.

Voir la suite.

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23 ao�t 2006

�tat des travaux: Le Gutenberg (fin)
Par Jean Cazes

Le Gutenberg, fa�ade nord. Photo: Jean Cazes.

Voici l'aspect final de cet immeuble � condos plus d'un an apr�s la photo publi�e dans ce billet.

Le Gutenberg, fa�ade sud. Photo: Jean Cazes.

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Une trentaine d'arbres coup�s sur le terrain des P�res Maristes
Par Carol Proulx

Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 22 ao�t 2006

Malgr� le moratoire sur la transformation des propri�t�s religieuses, une trentaine d�arbres dispara�tront bient�t du paysage sur le chemin Saint-Louis � Sillery pour permettre la construction du nouveau gymnase au S�minaire des P�res Maristes. La construction du gymnase ne contrevient pas au zonage actuel et le permis a donc pu �tre d�livr�, explique Marcel Filteau, directeur des relations avec les citoyens � l�arrondissement Sainte-Foy/Sillery.

Chaque arbre coup� devra �tre remplac� par un autre arbre de la m�me esp�ce et une surveillance sera exerc�e pour �viter que les arbres voisins ne souffrent de la coupe. Selon l��valuation des espaces bois�s de l�arrondissement historique de Sillery, rendue publique r�cemment, les arbres situ�s aux P�res Maristes sont d�une valeur � d�int�r�t � ou � exceptionnelle �.

Le nouveau gymnase sera en partie enfoui dans le sol et construit de mani�re � �tre moins perceptible du chemin Saint-Louis. Une partie de la toiture sera v�g�talis�e.

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COOP�RATIVE DE L'ILOT-BERTHELOT: De guerre lasse, la mairesse accepte de c�der des terrains
Par Jean Cazes

Croquis de la future coop. Source: Le Soleil.

Comme pour le site du patro Saint-Vincent-de-Paul [billet], �a fait des ann�es qu'on sp�cule sur l'avenir de ce terrain situ� au coeur du centre-ville: condos, �difice en hauteur, logements sociaux...

Doit-on se fier au croquis ci-haut? En entrevue ce matin � Radio-Canada, la coordonnatrice du Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste a indiqu� que les architectes �taient en train de retravailler ce projet de logements. On attend la suite...

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 22 ao�t 2006.

De guerre lasse, la mairesse Andr�e Boucher a accept�, hier, au conseil d�agglom�ration, de c�der � la coop�rative d�habitation l�Escalier, les deux terrains sur l��lot Berthelot que les citoyens du quartier Saint-Jean-Baptiste r�clamaient depuis des ann�es pour y am�nager des logements de type coop�ratif. (...)

� Cela aurait �t� un terrain exceptionnel pour une centrale de police, a comment� la mairesse. On aurait pu y construire un h�tel ou des commerces. Mais non, ces gens, qui connaissent tous les trucs, veulent s�installer tout pr�s du Grand Th��tre. � (...)

La suite. Aussi, cet autre billet.

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Ob�sit�: La d�pendance � l'automobile montr�e du doigt
Par Jean Cazes

Le nouveau rapport publi� par Statistique Canada (Diff�rences r�gionales en mati�re d'ob�sit�) relancera-t-il la traditionnelle petite "gu�guerre" des pro-centres-villes envers ceux qui ont fait le choix de vivre en banlieue?

En tout cas, l'enqu�te de Statistique Canada semble corroborer une autre �tude sur les effets de la s�dentarit� que la Fondation des maladies du coeur a rendu publique en 2005 [billet]...

Source: Claudette Samson, Le Soleil, 22 ao�t 2006.

La d�pendance � l�automobile en milieu rural et l��loignement des lieux o� faire de l�exercice expliqueraient en partie le plus haut taux d�ob�sit� constat� dans les petits centres. (...)

Les possibilit�s plus faibles de se d�placer � pied pour se rendre au travail, faire ses courses ou participer � des loisirs a pour corollaire une utilisation plus grande de l�automobile. De m�me, les centres sportifs et les clubs d�entra�nement sont moins nombreux et plus �loign�s dans les petits centres que dans les grandes villes. (...)

La suite.

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22 ao�t 2006

L'eau des piscines fait jaser, en cette fin d'�t�...
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 3 ao�t 2006.

Depuis hier, � tort ou � raison, certains m�dias �l�vent en "drame national" la qualit� jug�e douteuse de l'eau de maintes piscines et barboteuses de la r�gion de Montr�al... Qu'en est-il r�ellement pour Qu�bec? Devrait-on en effet "partir en peur"?

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 21 ao�t 2006.

(...) � La loi nous oblige � effectuer des analyses de la qualit� de l�eau de fa�on r�guli�re et pas une seule fois, cette ann�e, les tests ont d�montr� une pr�sence de bact�ries proche des seuils supportables �, affirme Jacques Perron, du service des communications de la Ville de Qu�bec. (...)

La suite. Aussi, cet autre article publi� aujourd'hui.

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�tat des travaux: phase III de la renaturalisalisation des berges de la rivi�re Saint-Charles (3)
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, en direction de la rue P�re-Lacombe. Photo: Jean Cazes, 18 ao�t 2006.

La nouvelle s�rie de photos qui suit, prise le 18 ao�t dernier, montre bien l'�volution des travaux dans ce secteur de la Saint-Charles depuis le 13 juillet [billet]. Les cyclistes et badauds sont maintenant tol�r�s dans le segment � l'ouest du pont Lavigueur.

Grand format 800X600, secteur des travaux en cours sur les berges de la Saint-Charles (et localisation approximative des prises de photos). Source: JDM G�o Inc.

Photo 1: Vue en direction SO � partir du pont LavigueurPhoto 2: Vue en direction N � partir du pont de l'autoroute LaurentiennePhoto 3: Vue vers le S � partir du pont de l'autoroute LaurentiennePhoto 4: Vue vers le N � partir du secteur de la rue P�re-LacombePhoto 5: Vue en direction NO � partir du secteur de la rue P�re-LacombePhoto 6: Vue en direction O � partir du secteur de la rue P�re-LacombePhoto 7: Vue en direction O � partir du secteur de l'h�pital du Sacr�-CoeurPhoto 8: Vue en direction O, pr�s du pont Marie-de-l'IncarnationPhoto 9: Vue vers le NE � partir du pont Marie-de-l'Incarnation

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction SO � partir du pont Lavigueur;
Photo 2: Vue en direction N � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 3: Vue vers le S � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 4: Vue vers le N � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 5: Vue en direction NO � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 6: Vue en direction O � a partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 7: Vue en direction O � partir du secteur de l'h�pital du Sacr�-Coeur;
Photo 8: Vue en direction O, pr�s du pont Marie-de-l'Incarnation (arri�re-plan: HLM Marie-de-l'Incarnation);
Photo 9: Vue vers le NE � partir du pont Marie-de-l'Incarnation.

Voir aussi cet autre billet (phase IV).

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21 ao�t 2006

Sc�ne urbaine: la gare du Palais sur fond azur
Par Jean Cazes

Gare du Palais, vue en direction NO. Photo: Jean Cazes, 21 ao�t 2006, 14h08.

La gare du Palais a d�j� fait l'objet de belles photos de nuit expos�es dans Qu�bec Urbain. En voici une autre, cette fois prise cet apr�s-midi...

Plusieurs reconna�tront ici ces jolis nuages filamenteux que j'ai mis en valeur avec l'aide d'un filtre polarisant: il s'agit de cirrus. Pour ceux et celles que �a int�resse, je viens de soumettre cette image au projet d'Atlas des nuages et ph�nom�nes m�t�o du Qu�bec, actuellement en construction dans le site Centre M�t�o UQAM. Plusieurs de mes photos, ainsi que d'autres de Carol Proulx, y ont d�j� �t� s�lectionn�es! :-)

Voir aussi ce billet.

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20 ao�t 2006

Saint-Camille sur la sc�ne internationale! : le village rassembleur
Par Carol Proulx

Si un si petit village peut se prendre en main et s'en sortir ! ... Que se passerait-il, si une ville comme Qu�bec d�cide de faire un pas de ce genre, rassembler ces citoyens...Pour un d�veloppement durable...

Source: Claude Plante La Tribune, 27 juillet 2006

Le petit village estrien de Saint-Camille fait parler de lui � l�international avec la publication d�un article dans le prestigieux journal �Le Monde diplomatique�. L�article intitul� �Longue vie � Saint-Camille !� raconte comment les gens de ce village de la MRC des Sources se sont pris en main pour garder en vie leur localit�. (voir ce lien)

Le papier du journaliste Bernard Cassen mentionne que ses habitants ont mis � profit leur �intelligence collective� et leur �solidarit� pour tenter d�enrayer le d�clin de ce secteur rural. Il est notamment question du caf� Le P�tit Bonheur, �ainsi nomm� en hommage au chanteur F�lix Leclerc�.

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19 ao�t 2006

Sur les traces de Jacques Cartier
Par Carol Proulx

Vue l'ampleur et l'importance de la d�couverte...

Source: Radio-Canada Qu�bec, 19 ao�t 2006

Des arch�ologues ont r�cemment d�couvert le premier �tablissement fran�ais en Am�rique du Nord dans la Vieille Capitale. Il s'agit d'un fort �rig� par Jacques Cartier et Jean-Fran�ois de La Rocque de Roberval, entre 1541 et 1543. C'est une des plus importantes d�couvertes arch�ologiques des derni�res d�cennies au Qu�bec.

Voir la suite. Voir ausi ce billet.

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� la recherche de Champlain
Par Carol Proulx

Source: Jean-Nicolas Patoine Le Soleil, 18 ao�t 2006

Ren� L�vesque pourchasse toujours Samuel de Champlain. L�arch�ologue amateur recommencera � fouiller les environs de la basilique de Qu�bec dans quelques jours. Une croisade qu�il n�a jamais mise de c�t�... et qui s��tend bien au-del� de la d�couverte d�une d�pouille mortelle.

M. L�vesque a fait sa premi�re fouille pour le tombeau de Champlain en 1977. Dans les ann�es 80 et 90, il a poursuivi sa qu�te. Encore ce printemps, il sondait. � On creuse pas mal �, dit l�homme qui aura 81 ans demain. � On est bien partis. Nos travaux ont fait avancer la science champlaini�re de 95 %. (...) On approche de plus en plus �, ajoute-t-il.

Voir la suite.

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Cicatrice aux portes m�me du Vieux-Qu�bec: Pas d'h�tel sur le terrain de l'�glise Saint-Vincent-de-Paul avant 2008
Par Jean Cazes

Photo: Martin Martel, Le Soleil.

Ouvrira, ouvrira pas? Une histoire � suivre, encore...

Outre ce "vieux" projet de quelque 300 chambres, par hasard j'ai lu ce matin l'annonce suivante dans la rubrique Emplois du Soleil: "Willow Hotels ouvrira, d�s le printemps prochain, un nouvel h�tel 5 �toiles situ� en plein coeur de Qu�bec." Y'a t-il quelqu'un dans la salle qui peut renseigner Qu�bec Urbain sur ce sujet?

Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 18 ao�t 2006.

La d�molition entreprise cette semaine de l��glise abandonn�e Saint-Vincent-de-Paul laissera pendant plusieurs mois une plaie b�ante � l�entr�e du Vieux-Qu�bec. Faute de permis, seule la fa�ade d�labr�e du b�timent d�capit� de son clocher hier restera en place. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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18 ao�t 2006

FOUILLES ARCH�OLOGIQUES MAJEURES
Par Carol Proulx

LE PREMIER MINISTRE JEAN CHAREST LANCE LE CHANTIER CARTIER-ROBERVAL, UN PROGRAMME DE FOUILLES ARCH�OLOGIQUES ET DE MISE EN VALEUR DE 7,7 MILLIONS DE DOLLARS

Qu�bec, le vendredi 18 ao�t 2006 � Le premier ministre du Qu�bec, Jean Charest, a annonc� aujourd�hui, sur le promontoire surplombant la rivi�re Cap-Rouge � Qu�bec, que le gouvernement investira, au cours des trois prochaines ann�es, 7,7 millions de dollars dans le cadre d�un programme de fouilles arch�ologiques et de mise en valeur du site des forts �rig�s par Jacques Cartier et Jean-Fran�ois de La Rocque de Roberval, entre 1541 et 1543.

Afin de prot�ger ce lieu historique unique en Am�rique du Nord et de permettre aux g�n�rations actuelles et futures d�en b�n�ficier pleinement, le gouvernement a confi� � la Commission de la capitale nationale du Qu�bec le mandat de s�curiser le site, d�y r�aliser un programme de travaux arch�ologiques, et de veiller � la valorisation et � l�interpr�tation des vestiges mis au jour. Ces travaux se d�rouleront sur plusieurs ann�es, mais le chantier sera accessible au public � temps pour les c�l�brations du 400e anniversaire de Qu�bec en 2008.

� Plus de 460 ans apr�s que les navires de Cartier puis de Roberval soient venus croiser dans le fleuve Saint-Laurent, les vestiges du premier �tablissement fran�ais en Am�rique sont enfin localis�s. Le gouvernement du Qu�bec, conscient qu�il s�agit l� d�une chance inesp�r�e de jeter de la lumi�re sur l�un des �pisodes fondateurs de la nation, r�affirme aujourd�hui son engagement � �tre le premier promoteur de l�identit� qu�b�coise et annonce donc un investissement majeur pour la mise en �uvre de ce chantier arch�ologique d�une valeur exceptionnelle �, a d�clar� le premier ministre.

� En rendant accessibles � tous les Qu�b�coises et Qu�b�cois des lieux de m�moire aussi importants et significatifs que celui-ci, nous assurons le relais entre ceux qui nous ont pr�c�d�s et les g�n�rations futures. Je pense en particulier aux jeunes que ces t�moins de notre pass� aident � mieux appr�cier et comprendre notre histoire. C�est en sachant d�o� ils viennent et ce qu�ils valent qu�ils veilleront bient�t sur ce pr�cieux h�ritage �, a d�clar� la ministre de la Culture et des Communications, Line Beauchamp.

� Cette d�couverte historique est majeure pour la r�gion de la Capitale-Nationale, puisqu'elle nous apprend que c'est bel et bien ici que tout a d�but�. Je suis heureux que cette belle surprise soit le r�sultat direct de l'engagement de notre gouvernement, qui vise � laisser un h�ritage durable � notre capitale pour ses 400 ans, soit la r�alisation de la promenade Samuel-De Champlain.� a insist� le ministre responsable de la r�gion de la Capitale-Nationale, Michel Despr�s.

C�est en proc�dant � un inventaire arch�ologique pr�alable � la construction d�un belv�d�re reli� � la promenade Samuel-De Champlain � le cadeau du Qu�bec � sa capitale pour son 400e anniversaire � que les premiers artefacts associ�s aux vestiges des �tablissements de Cartier et de Roberval ont �t� rep�r�s.

Les recherches men�es en 2005 et poursuivies cette ann�e ont permis la d�couverte de plus d�une centaine d�objets anciens divers, dont des c�ramiques et des terres cuites grossi�res, des fragments de fa�ence, des clous forg�s, une bague, des perles de verre, des creusets et une hache.

Parmi les d�couvertes qui permettent d�identifier ce site comme �tant celui d�un �tablissement europ�en du XVIe si�cle, on note la pr�sence de fragments de fa�ence italienne de style Istoriato produite � Faenza � cette �poque, l�identification de tessons de poterie iroquo�enne trouv�s dans la partie sup�rieure du d�p�t arch�ologique ainsi que les r�sultats probants de deux s�ries de datations au Carbone-14.

La nature et l��ge de ces pi�ces, ainsi que la position stratigraphique dans laquelle elles ont �t� trouv�es, ont convaincu le gouvernement d�adopter les mesures annonc�es aujourd�hui. Des analyses ult�rieures permettront � ces artefacts de livrer tous leurs secrets.

Porteur de nombreuses autres d�couvertes, le chantier arch�ologique Cartier-Roberval enrichira de mani�re exceptionnelle notre connaissance de cette p�riode, la toute premi�re de l�histoire du Qu�bec, du Canada et de l�Am�rique.

Source: Site CCNQ

Merci � G�rald Gobeil pour l'information transmise.

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Le nouveau Saint-Roch trop lent � d�coller
Par Jean Cazes

Rue Saint-Joseph. Photo: Jean Cazes, 18 ao�t 2006.

Source: Lise Fournier, Le Soleil, 16 ao�t 2006.

Le nouveau Saint-Roch ne l�ve pas assez vite au go�t de certains commer�ants du quartier. Or depuis 2000, quelque 380 millions $ ont �t� d�pens�s pour r�nover et reconstruire la presque totalit� des immeubles de la rue Saint-Joseph comprise entre La Couronne et Du Pont.

Dans le m�me temps, 80 entreprises des technos se sont install�es dans le quadrilat�re du Centre national des nouvelles technologies [billet] ainsi que l�ENAP et l�Universit� du Qu�bec. R�sultat : du lundi au vendredi une masse de 30 000 �tudiants et travailleurs envahissent le centre-ville. Pourtant le vrai boom commercial du nouveau Saint-Roch tarde � d�coller.

Depuis l�ouverture d�Hugo Boss [billet] � l�automne 2005, c�est le calme plat. M�me qu�une ou deux boutiques ont ferm� dont Plaisirs de Provence et que plusieurs vitrines commerciales sont tapiss�es de papier, surtout dans partie couverte du Mail centre-ville.

Voir aussi ce billet.

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F�tes du 400e de Qu�bec : Vite, il faut un pr�sident rassembleur
Par Carol Proulx

Source: Annie Fernandez Le Journal de Qu�bec, 18 ao�t 2006

Les trois ordres de gouvernement cherchent toujours un nouveau pr�sident pour le conseil d'administration des f�tes du 400e qui soit capable de porter l'�v�nement et de rallier la population. �La pr�sidence n'est toujours pas consacr�e. J'ai eu des entretiens avec Mme Verner, �a n'a pas abouti. Je lui ai parl� deux fois pendant mes vacances. J'attends encore de ses nouvelles�, a fait valoir la mairesse Andr�e Boucher, 24 heures avant sa rencontre avec le pr�sident par int�rim Pierre Boulanger.

Voir la suite.

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Avec la fermeture du zoo : La d�prime pour les animaux
Par Carol Proulx

Source:Katia Bussi�re Le Journal de Qu�bec, 18 ao�t 2006

Environ 90 % des animaux sont toujours au Jardin zoologique du Qu�bec, six mois apr�s sa fermeture au public, et plusieurs d'entre eux s'ennuient tellement des visiteurs qu'ils en font une d�pression. Il a �t� impossible de savoir, hier, comment les animaux sont trait�s dans l'enceinte du zoo, comment ils se comportent, combien d'employ�s s'y trouvent encore et quand les animaux seront tous transf�r�s.

C'�tait le silence total, tant du c�t� de la Soci�t� des �tablissements de plein air du Qu�bec (S�paq) que du minist�re du D�veloppement durable, de l'Environnement et des Parcs du Qu�bec. Les employ�s ont re�u le mot d'ordre de ne pas parler aux m�dias. Des chiffres devraient �tre disponibles aujourd'hui, a indiqu� un porte-parole du Minist�re.

Voir la suite. Voir aussi ce billet.

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Des bus articul�s � d�faut d�un tramway:
Par Carol Proulx

Source: Pierre Pelchat Le Soleil, 17 ao�t 2006

� d�faut d�un tramway, une soixantaine d�autobus articul�s remplaceront les autobus actuels sur les lignes M�trobus du R�seau de transport de la Capitale (RTC) en 2009, soit un an plus tard que pr�vu. Le RTC vient d�adopter un r�glement d�emprunt de 47 millions $ pour la construction d�un garage destin� aux nouveaux et longs autobus. Cette d�cision fait suite � l�annonce en juin dernier par le gouvernement qu�b�cois d�une nouvelle politique d�aide au transport en commun.

� Nous lancerons au cours de l�automne un appel d�offres pour l�achat des autobus articul�s �, a �galement indiqu�, hier, le porte-parole du RTC, Claude L�vesque.

Voir aussi cet autre article du m�me auteur.

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"Le bar l'Emprise du Clarendon qui abandonne le jazz? C'est impossible, c'est s�rement une erreur. Pourtant..."
Par Jean Cazes

Fa�ade du Clarendon. Photo: Jean Cazes, 17 ao�t 2006.

Probl�mes de "consommation" de la client�le, difficult�s � r�tribuer les musiciens, dit-on... Les vieux nostalgiques comme moi risquent-ils de perdre bient�t un autre lieu culte de Qu�bec au m�me titre que le Foyer, La Cour ou l'Apr�s-Onze du temps du c�gep?

Pour le jazz, il restera vraisemblablement le Largo [billet], rappelle la chroniqueuse du Soleil...

Un toast � la survie du jazz (Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 17 ao�t 2006.)

(...) Il y a de fortes chances que le Clarendon cesse bient�t de pr�senter ses c�l�bres soir�es de jazz, qui sont pourtant une v�ritable tradition dans la capitale.

(...) Le directeur de l'h�tel, Alan Murphy, m'a confirm� qu'il songeait s�rieusement � cette possibilit�. Aucun spectacle n'a �t� planifi� pour l'hiver, aucun artiste n'a �t� embauch� � partir du mois d'octobre.

(...) Le probl�me, c'est plut�t que les clients consomment beaucoup moins de boissons qu'auparavant. (...) Depuis cinq ou six ans, les recettes d�gringolent � un point tel que le bar ne parvient pas � faire ses frais et � payer les musiciens sans tomber dans le rouge, explique M. Murphy. (...)

(...) Alan Murphy admet qu'il songe avec cette id�e [payer � l'entr�e]. Et ce n'est pas moi qui vais l'en dissuader. Il me semble que c'est normal de payer quelques dollars pour voir un spectacle de qualit�. (...)

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La Corriveau rend l��me - Mise � jour
Par Jean Cazes

La Corriveau. Photo: Jean Cazes, 17 ao�t 2006.

Source: Lise Fournier, Le Soleil, 16 ao�t 2006.

Apr�s avoir tenu un commerce de souvenirs pendant 23 ans dans le Vieux-Qu�bec, Gr�goire Biron fermera sa belle boutique La Corriveau, de la c�te de la Fabrique, � l�automne. (...)

La suite. � lire aussi: Les boutiques souvenirs traversent un creux (Le Soleil, 17 ao�t 2006).

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17 ao�t 2006

Reportage photo: Les papillons de Maizerets - Mise � jour
Par Jean Cazes

Voli�re � papillons du domaine Maizerets. Photo: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.

Lieu magique: la voli�re � papillons de l'arboretum du Domaine Maizerets m�rite d�cid�ment ce qualificatif! C'est l'une des multiples attractions qu'offre ce vaste parc situ� en plein coeur de Qu�bec et qui gagnerait, au risque de me r�p�ter, � �tre davantage connu...

La galerie d'images (14) suivante donne un aper�u de la diversit� de papillons qu'on peut contempler dans la voli�re jusqu'au 4 septembre. Mis � part notre c�l�bre monarque (photo 12), je vous �pargnerai les noms des esp�ces que j'ai illustr�es dont certaines, exotiques, proviennent notamment du Costa Rica!

Photo 1. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 2. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 3. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 4. auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 5. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 6. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 7. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 8. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 9. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 10. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 11. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 12. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 13. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.Photo 14. Auteur: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.

Voir aussi ce billet.

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Les Augustines de Qu�bec
Par Gerald Gobeil

Les communaut�s religieuses occupent un place historique dans l'Histoire de Qu�bec.
Je vous propose la visite du site des Augustines
Il y a un projet d'h�tellerie fort unique, pour Qu�bec, et pour l'Histoire. Ces religieuses ne cesseront de m'�tonner. Une visite des lieux vous surprendra. J'ai h�te de lire vos commentaires. Alors, vous y allez? :-)

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Connaissez-vous le FM 90,3 ?
Par Carol Proulx

Depuis mai 2006, il y a une radio touristique ici � Qu�bec. Outil de promotion touristique, et aussi pour renseigner par des capsules et chroniques, quoi faire � Qu�bec. Et ce dans plusieurs domaines couvrant : la culture, patrimoine et histoire, lieux � visiter, sport et plein-air, mus�e, expositions, gastronomie, litt�rature, etc.

M�me la publicit� est ax�e pour faire conna�tre tous les services dans le domaine touristiques. (h�tel, restaurant, mus�e...)

Voir d'autre info.

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Congr�s: Des chauss�es plus durables
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 16 ao�t 2006.

Quatre cent sp�cialistes de 34 pays sont � Qu�bec jusqu'� jeudi pour discuter de la conception des chauss�es et des progr�s dans le domaine de l'asphalte. (...)

La suite.

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Les travaux d�colleraient-ils enfin pour de bon, sur le site du Patro Saint-Vincent-de-Paul?
Par Jean Cazes

Site du patro Saint-Vincent-de-Paul. Photo: Jean Cazes, 17 ao�t 2006.

C'est le cas, �h! oui, du moins si l'on se fie � un reportage diffus� ce matin � la radio de Radio-Canada et surtout, � cette machinerie lourde en place depuis peu sur la c�te d'Abraham.

�a fait pr�s de deux d�cennies, par contre, qu'on nous rabat les oreilles avec la construction "prochaine" d'un h�tel haut de gamme en lieu et place de l'ancien patro Saint-Vincent-de-Paul, comme l'illustre par exemple l'esquisse ci-bas publi�e dans Le Soleil du 23 janvier... 1989!

Voir cet autre billet.

Source: Le Soleil, 23 janvier 1989.

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Programme de v�g�talisation des toitures bien per�u
Par Carol Proulx

Source: Cindy Turcotte Journal de l'habitation, 16 ao�t 2006

Le Programme de v�g�talisation de b�timents a �t� reconnu lors du Gala des Ph�nix de l'environnement 2006 dans la cat�gorie �Recherche et d�veloppement�. Celui-ci d�montre le potentiel insoup�onn� des toitures, des murs et des corniches v�g�tales.

Ce programme du regroupement qu�b�cois pour le d�veloppement urbain, rural et villageois viable, Vivre en Ville, comprend l'�laboration et la d�monstration de deux toitures, d'un mur et d'une centaine de corniches v�g�tales r�alis�es au Centre de la Culture et de l'Environnement Fr�d�ric Back situ� au 870, avenue de Salaberry � Qu�bec.

Voir la suite. Voir aussi ces deux billets

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16 ao�t 2006

7 millions $ pour r�nover l'h�tel L'Ambassadeur
Par Jean Cazes

H�tel L'Ambassadeur. Photo: Jean Cazes, 16 ao�t 2006.

Source: Pierre Champagne, Le Soleil, 16 ao�t 2006.

L'H�tel L'Ambassadeur, qui abrite aussi le restaurant Les Jardins de Chine, sur le boulevard Sainte-Anne, vient d'�tre achet� par le propri�taire de l'h�tel Clarion. C'est H�l�ne Dufour, qui en est la nouvelle directrice. (...)

Jean-Guy Sylvain, qui est maintenant le propri�taire de l'h�tel L'Ambassadeur, a confirm� au Soleil que la compagnie dans laquelle il est associ� avait l'intention d'investir environ 7 million $ pour la r�novation et l'agrandissement de L'Ambassadeur qui compte aujourd'hui 93 chambres.

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Expo Qu�bec: Jeune � 95 ans
Par Jean Cazes

Site d'Expo Qu�bec. Photo: Jean Cazes, 23 ao�t 2005.

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 15 ao�t 2006.

Elle prend de l��ge mais garde tout de m�me un air de jeunesse, ses habitudes et ses fa�ons d��tonner. � sa 95e ann�e, Expo Qu�bec � qui ouvre ses portes aujourd�hui � compter de 11 h � entend bien continuer d�en mettre plein la vue aux visiteurs.

� On a accueilli 375 000 visiteurs l�an pass� (dont une journ�e de 60 000 curieux) et si le beau temps se met de la partie, nous esp�rons maintenir, sinon accro�tre, ce nombre de visiteurs �, commente Ginette Lachance, directrice g�n�rale adjointe d�ExpoCit� et responsable du projet Expo Qu�bec.

Aussi, cet autre billet.

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15 ao�t 2006

Recyclage en tout genre
Par Francis Vachon

� quand une facilit� de ce genre � Qu�bec?

Curtis Wright, summer student worker, place a spray can of paint on a shelf at the Household Chemical Waste Depot and Reuse Centre in Windsor at EC Row and Central Saturday August 12, 2006. All kinds of paints are brought by citizen and anyone can take them for free. (Photo Windsor Star - Francis Vachon)

Sharon Hill, Windsor Star.

The lineup of cars at the Windsor recycling centre Saturday contradicts the notion we're lousy recyclers.

"I don't believe that. All my neighbours all recycle. I see the lineups here all the time," said South Windsor's Rick Dominato, as he dropped off some old fencing and cardboard at the centre off E.C. Row and Central Avenue.

Dominato said local residents were slighted in a garbage audit that said Windsor and Essex County placed last out of seven Ontario municipalities when it came to recycling. He said he sees full boxes out at the road in neighbourhoods, he uses three recycle boxes himself and has reduced his garbage to one bag every two weeks for his family of three.

The lineups make the recycling centre a busy spot, especially on Saturdays and Mondays, said Tom Hedgeman, who works in the Household Chemical Waste Depot and Reuse Centre in Windsor.

"Nobody works on Monday because they're all here," he joked.

Outside the depot for the household products, the centre takes and recycles cardboard, metal, glass, old appliances and old electronic equipment from televisions to computers. Even the flowers at the side of the drop-off bins have been scavenged from the yard waste piles.

Inside the depot, people can drop off and take from shelves of paint, stains, varnishes, car care, household cleaning and lawn care products, and even cologne and nail polish. It also accepts other items such as batteries, gasoline, printer cartridges and propane tanks.

Last year 181 tonnes of household chemical waste was dropped off.

"Everything's recyclable," said the former landfill worker. "The less I can put in the ground, the happier I am."

Carol Montello, a 48-year-old from Cottam, said she's saved hundreds of dollars by picking up free cans of paint at the depot.

She's painted her house and rental properties and was picking up paint for a previous tenant Saturday. She's a dedicated recycler and also gives items away through freecycle.com.

"A lot of people don't have money to put into paint," she said while looking for a buttery cream colour. "You're getting a benefit from it and you're saving the environment."

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Annulation du Festival Hummer
Par Jean Cazes

Rue Saint-Joseph. Photo: Jean Cazes, 12 ao�t 2006.

Annonc�e en grande pompe il y a quelques jours (cet article du Soleil), cette activit� n�e dans la controverse et qui devait avoir lieu sur la rue Saint-Joseph (photo: ce week-end, F�te de Saint-Roch - billet) vient d'�tre annul�e.

Pas de festival Hummer cette ann�e (Source: Jean-Fran�ois Tardif, Le Soleil , 14 ao�t 2006)

(...) La pr�sentation d�un festival de Hummer sur la rue Saint-Joseph �tait-elle une bonne id�e, alors que la sensibilisation � la pollution dans le centre-ville et les effets des �missions polluantes sur la couche d�ozone n�a jamais �t� aussi grande ? (...)

La suite.

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�talement urbain, vu d'en haut
Par Francis Vachon

Voici probablement la plus d�primante s�rie de photo que je n'ai vus de ma vie.

Un sac pour vomir, quelqu'un?

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14 ao�t 2006

Travaux de ma�onnerie pr�matur�s?
Par Jean Cazes

Caisse Desjardins Saint-Fid�le de Limoilou. Photo: Jean Cazes, 14 ao�t 2006.

Depuis quelques mois, j'ai remarqu� de nombreux chantiers de r�novation de fa�ades d'�difices pourtant r�cemment construits ou "retap�s" en basse-ville... Coudonc, est-ce normal?

Des exemples? La Place Jacques-Cartier (�difi�e vers 1980 - ici, les travaux en voie d'ach�vement en octobre dernier), la Caisse populaire Saint-Fid�le de Limoilou (construite il y a une quinzaine d'ann�es, photo ci-haut) et cet immeuble r�sidentiel au coin Saint-Vallier/Langelier (du d�funt groupe Arago, r�nov� vers 1995 je crois, photo ci-bas.)...

Immeuble � l'angle Saint-Vallier/Langelier. Photo: Jean Cazes, 10 ao�t 2006.

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Local de l'ancien M�tro de la 4e Avenue: un nouveau commerce ouvre ses portes
Par Jean Cazes

Alimentation � escompte L'Impact, Limoilou. Photo: Jean Cazes, 14 ao�t 2006.

Pas tout � fait une �picerie; plut�t un "super d�panneur" sp�cialis� dans les bi�res de toutes sortes, notamment celles de La Barberie [billet]!

Couleurs criardes, logo "Ozzy"... Je ne sais pas si ce style de commerce attirera de nouveau les "vieilles dames" qui fr�quentaient assidument le M�tro [billet], mais la venue d'Alimentation Impact est tout de m�me vivement appr�ci�e dans ce coin de la ville, ne serait-ce que pour les produits de base (pain, oeufs, lait...) qu'on y retrouve...

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Oasis urbaines: Verdir la ville pour combattre la chaleur
Par Carol Proulx

Discute de la ville de Montr�al, mais pourrait bien s'appliquer � Qu�bec.

Photo Armand Trottier, La Presse

Source: C�cile Gladel, collaboration sp�ciale, La Presse 14 ao�t 2006

Vous souffrez � cause de la chaleur estivale? D'autant plus, si vous habitez en ville. Le b�ton et l'asphalte urbains ne sont pas reconnus pour leurs propri�t�s rafra�chissantes. Que faire? Verdir. Planter des arbres, faire grimper de la vigne sur les murs, remplacer l'asphalte par de l'herbe, fleurir les balcons. Et pourquoi ne pas verdir les toits au lieu de les goudronner de noir?

Les �lots urbains de chaleur sont des endroits sp�cifiques en ville o� la temp�rature est plus �lev�e que l'environnement imm�diat. Elle peut varier de 2 � 8 degr�s entre Montr�al et la banlieue. On note m�me des variations notables entre certains quartiers montr�alais. Si vous pensez avoir moins chaud en allant vous promener au Jardin botanique ou dans le parc du Mont-Royal, c'est la r�alit� et non une impression. La cause de ces variations? Ces �lots form�s de b�ton et d'asphalte qui absorbent puis recrachent une chaleur �touffante, surtout durant la nuit.

Voir la suite.

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13 ao�t 2006

B�b� urbain
Par Francis Vachon

Trois-Rivi�res urbain, oeuvre de Fr�d�ric Lacroix-Couture, fait son entr� dans la famille des blogs urbain!

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Les v�los dans le trafic !
Par Carol Proulx

Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 12 ao�t 2006

Le nouveau trac� de la piste cyclable longeant le March� du Vieux-Port inqui�te les commer�ants du secteur. Afin d��viter les conflits entre pi�tons et cyclistes, le gouvernement f�d�ral a d�cid� de la d�placer � l�avant de l��tablissement. Cons�quence, les v�los devront maintenant se frayer un chemin � travers les automobiles.

� C�est ridicule �, s�indigne Jean-Marc Laprise, propri�taire de Cyclo Services. L�entrepreneur assure que son indignation n�a aucun lien avec les �ventuelles cons�quences sur son commerce de location de v�los le long de la piste cyclable. � Les clients vont continuer � venir louer mes v�los. C�est pour leur s�curit� que je m�inqui�te. �

� l�heure actuelle, les cyclistes longent le bassin Louise avant de p�n�trer dans le secteur des quais. Le nouveau trac� redessin� dans le contexte des travaux du 400e de Qu�bec pr�voit toutefois d��loigner les v�los des eaux.

Au lieu d�admirer les bateaux amarr�s � la marina de Qu�bec, les cyclistes devront donc se rabattre sur les voitures circulant dans le pont-tunnel Joseph-Samson. Ils longeront d�sormais la rue du quai Saint-Andr�, qui fait face au March� du Vieux-Port. Par le fait m�me, ils croiseront les quatre entr�es et sorties des stationnements. (...)

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12 ao�t 2006

La Falaise apprivois�e: mise � jour
Par Carol Proulx

Voici deux photos de la Falaise apprivois�e, avec de la verdure en facade.

Falaise apprivois�e, Photo de G�rald Gobeil

/Falaise apprivois�e, Photo de G�rald Gobeil

Merci � G�rald Gobeil pour les photographies.

Voir aussi ce billet.

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Des immigrants d�senchant�s
Par Jean Cazes

Source: Pier-Luc Dupont, Le Soleil , 11 ao�t 2006.

Charaf Amhaouch en a ras le bol. Ses cinq ans d�exp�rience en informatique, deux stages concluants et trois ans de recherche d�emploi intensive n�ont encore rien donn�. Les employeurs semblent le fuir comme la peste. Sa d�cision est prise : � D�s que ma femme a termin� ses �tudes en hygi�ne dentaire, je quitte la province. � (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Myst�rieuses ic�nes...
Par Jean Cazes

Ic�ne. Photo: Ga�tan Pouliot.

�nigme mariale (Texte et photos de Ga�tan Pouliot)

La Ville de Qu�bec n�en est pas � son premier myst�re. Les plus fins observateurs d�entre vous auront sans doute d�j� remarqu� sur certains b�timents de Qu�bec des ic�nes m�talliques �voquant un visage f�minin encadr� d�une forme triangulaire (probablement la Vierge Marie). Ces ic�nes [trois autres photos] sont discr�tement install�es sur certains murs de la capitale et de la r�gion. Entre autres, plusieurs d�entre elles se retrouvent dans le secteur de la rue Arago Est � Saint-Roch. En tout, j�ai recens� jusqu�� pr�sent six de ces reliques � Qu�bec (cinq � Saint-Roch et une � Saint-Jean Baptiste) et trois � L�Ange-Gardien. Neuf ic�nes identiques, mis � part la peinture qui les recouvre et leur �tat de conservation! Intrigant, non? Mais d�o� proviennent ces ornementations? � quoi servent-elles? En existe-t-il d�autres?
Malheureusement, je n�ai aucune id�e de ce que repr�sente ce visage qui orne certains b�timents. La seule information, que j�ai obtenue d�un propri�taire d�une des maisons qui poss�dent ce symbole, est que cela serait reli� � une ann�e mariale, c�est-�-dire une ann�e en l�honneur de la Vierge Marie.

Jusqu'� pr�sent, j�ai �t� incapable de percer seul ce myst�re. Ainsi, les lecteurs de Qu�bec Urbain pourraient me venir en aide pour comprendre la provenance et la raison d��tre de ces ic�nes et, possiblement, pour en identifier de nouvelles.

Merci � Ga�tan Pouliot pour sa pr�cieuse collaboration!

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Style urbain d'ailleurs (5): Torre Agbar
Par Carol Proulx

Cette tour est situ� dans la ville de Barcelone, en Espagne. Bas� sur la forme d'un monolithe ou d'un geyser.

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11 ao�t 2006

St-Roch solidaire
Par Jean Cazes

Source: Voir Qu�bec.

Source: Sofie Bienvenu, Voir Qu�bec, 10 ao�t 2006.

Le quartier Saint-Roch sera en f�te le 12 ao�t de 10h � 23h. De nombreuses activit�s sont propos�es pour les petits, les grands, � deux ou � quatre pattes.

La f�te de Saint-Roch est devenue un �v�nement incontournable � Qu�bec gr�ce, entre autres, � sa traditionnelle b�n�diction de chiens. (...)

La suite.

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Jardinage alternatif: Visite sur le toit de la coop�rative Les P�nates
Par Jean Cazes

Entr�e de la coop�rative Les P�nates. Photo: Jean Cazes, 10 ao�t 2006.

R�alis�e en 2003, la coop�rative Les P�nates, sise au 350, 5e Rue, pr�sente une architecture contemporaine qui tranche avec celle des vieux immeubles voisins. Son toit, en plus d'offrir une vue saisissante sur les environs, est fort bien adapt� � un type de jardinage qui a cours depuis 2002 � Montr�al.

Les membres de la coop de 18 logements s'int�ressent depuis l'an dernier au projet Des Jardins sur les toits d�velopp� par le groupe montr�alais Alternatives et dont l'objectif est d'"�laborer des techniques de jardinages qui soient durables, �cologiques, abordables et assez l�g�res afin d'�tre utilis�es sur les toits ou tout autre petit espace urbain."

Photo ci-haut, la coop�rative. Ci-bas, rencontre sur le toit au cours de la visite "grand public" organis�e hier apr�s-midi. Cette autre photo illustre bien les r�sultats tout � fait convaincants de ces nouvelles techniques de jardinage alternatif en milieu urbain!

Pour en savoir plus. Voir aussi ce dossier de Carol Proulx sur les toits verts de Qu�bec.

Visite sur le toit. Photo: Jean Cazes, 10 ao�t 2006.

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�quipe de basketball: Un nom controvers�
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 11 ao�t 2006

La suggestion du propri�taire de la nouvelle �quipe de Qu�bec de l'Association am�ricaine de basketball de nommer son �quipe les Jumping Frogs continue de susciter des r�actions. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Vie de quartier: Maizerets: la banlieue en ville
Par Carol Proulx

Photo Martin Martel, Le Soleil

Source: Jean-Nicolas Patoine Le Soleil, 11 ao�t 2006

Le nom Maizerets �voque le c�l�bre domaine et son jardin, un retour dans le pass�. Mais c'est aussi un quartier de Qu�bec, vieille banlieue souvent oubli�e, situ�e entre le Vieux-Limoilou et l'ancienne ville de Beauport. Maizerets a toujours �t� enclav�, constate Julien Dallaire, qui propose des visites guid�es du secteur. �C'est difficile de faire admettre aux gens qui demeurent dans Maizerets qu'ils font partie des quartiers centraux de Qu�bec, parce qu'ils se sentent � part. Ils ont toujours �t� � part.�

Le quartier Maizerets a �t� cr�� en 1988 lors du fractionnement de Limoilou en trois secteurs: Vieux-Limoilou, Lairet et Maizerets. Il comprend les paroisses Saint-Pie-X au nord et Saint-Pascal-deMaizerets - ou Bienheureux-Fran�ois-de-Laval - au sud. Grosso modo, il s'�tend du boulevard Dufferin au boulevard de la Capitale, et du boulevard Henri-Bourassa � la rue d'Estimauville.

Cr��e en 1923, la paroisse Saint-Pascal-de-Maizerets s'est lentement d�velopp�e au d�part pour �exploser� dans les ann�es 50. Tellement que Saint-Pie-X a d� �tre cr��e en 1955 devant l'abondance de paroissiens. Le principal attrait du quartier est bien s�r le domaine Maizerets, dont l'histoire a d�but� en 1705, alors que le S�minaire de Qu�bec devient propri�taire de ces terres, qui conserveront une vocation agricole jusqu'en 1932. Colonie de vacances pendant pr�s de 40 ans, l'endroit est vendu en 1979 � la Ville de Qu�bec, qui d�cide d'en faire un parc public.

Voir la suite.

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Qu�bec, une valeur s�re pour les Am�ricains
Par Carol Proulx

Source: Marc St-Pierre Le Soleil, 10 ao�t 2006

Comme apr�s le 11 septembre, les voyageurs am�ricains pourraient d�cider d�opter pour des destinations qui sont joignables par automobile, suppose Daniel Gagnon, de l�Office du tourisme de Qu�bec. � Je ne vois vraiment pas d�impact sur le tourisme dans l�imm�diat � la suite des �v�nements de Londres. Sinon que les Am�ricains pourraient d�cider d�opter pour des valeurs s�res. Et Qu�bec est une valeur s�re �, a-t-il indiqu�.

D�j�, ce statut de valeur s�re que peut repr�senter la r�gion de la Capitale-Nationale pour les voisins d�outre-45e s�est confirm� dans les mois qui ont suivi le 11 septembre 2001. � L�ann�e 2002 a �t� extraordinaire pour Qu�bec. Il y a eu beaucoup, beaucoup de touristes am�ricains. C�est qu�apr�s le 11 septembre, ils ont recherch� des destinations qu�il �tait possible d�atteindre par automobile �, a not� M. Gagnon, pr�cisant que les Am�ricains sont n�anmoins retourn�s � d�autres destinations exotiques quand la trag�die des deux tours s�est estomp�e dans leur m�moire. � Je me permets cette sp�culation. Le ph�nom�ne de 2002 pourrait se reproduire �, a-t-il ajout�.

Voir aussi ce billet.

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Nouvel h�tel dans Saint-Roch
Par Jean Cazes

Auberge Le Vincent. Photo: Jean Cazes, 11 ao�t 2006.

Le Soleil de samedi dernier consacrait deux pages de son cahier Habitation � ce charmant petit �tablissement de 10 chambres qui vient d'ouvrir au pied de la c�te d'Abraham. "Les tournesols d'acier sur la fa�ade de l'auberge Le Vincent annoncent d�s l'entr�e le clin d'oeil fait � Van Gogh", pr�cise en introduction de son article Genevi�ve Simard.

Localis� � deux pas de la Falaise apprivois�e (� gauche sur la photo, voir ce billet), l'h�tel sis au 295, rue Saint-Vallier Est est le fruit du r�ve de retraite de Claude Langevin et H�l�ne Coste qui ont redonn� vie � un immeuble centenaire pour en faire une attraction de plus dans Saint-Roch!

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Style urbain d'ailleurs (4): Canal Java Island
Par Carol Proulx

Quartier r�sidentiel dans la ville d'Amsterdam, pr�s du port, s'Appellant Java Island. Tr�s moderne. D'ailleurs ce secteur a �t� "reniper" avec beaucoup de ce genre d'Architecture...

Image du site de Peter Merholz, http://www.peterme.com


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10 ao�t 2006

D'autres orages surprises sur la r�gion
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, orage en formation � l'ouest masquant le mont B�lair, 10 ao�t 2006, 14h39.

Vue en direction ouest � partir de la c�te de l'Aqueduc: d'opaques rideaux de pluie masquent le mont B�lair.

Pour les d�tails et d'autres photos de cet orage naissant, consulter mon blogue m�t�o!

Voir aussi cet autre billet.

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Style urbain d'ailleurs (3): Burj Al-Arab h�tel
Par Carol Proulx

Autre architecture particuli�re, cette fois-ci dans la ville de Duba�, au �mirats arabes unis. Un h�tel qui a la forme d'une voile, Burj Al-Arab hotel. Cet h�tel s'illumine de lumi�re de couleur � la tomb� de la nuit.


H�tel Burj Al-Arab, Duba�

Voir aussi ce lien pour d'autres immeubles assez sp�cial comme design...Toujours dans la ville de Duba�

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Autre style urbain d'ailleur: The Pinnacle
Par Carol Proulx

En voici un autre �difice original par sa conception visuelle, C'est un projet de r�sidence dans la ville de Delhi au Inde. the Pinnacle.

Assez futuriste comme design !

The Pinnacle, Delhi. Inde

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Domaine Cataraqui: Une cit� du cin�ma � Qu�bec?
Par Carol Proulx

Source: Presse Canadienne (PC)

Des artisans du secteur du cin�ma � Qu�bec voudraient que le site historique du Domaine Cataraqui, situ� sur le chemin Saint-Louis, dans l'arrondissement Sainte-Foy/Sillery, soit transform� en cit� du cin�ma.
Le Domaine, une des grandes propri�t�s bourgeoises �tablies au XIXe si�cle sur les hauteurs de Sillery, est un monument historique class� achet� par le gouvernement du Qu�bec en 1975.

Le site compte une grande demeure aux pi�ces hautes et spacieuses et neuf d�pendances. L'�quipe de tournage du long m�trage La Belle Empoisonneuse, de Richard Jutras, y est install�e depuis un mois, souligne le quotidien Le Soleil. L'essentiel du tournage se fait sur le site, le reste �tant film� en divers endroits de la ville.

Selon Yves Fortin, des Productions Thalie, de Qu�bec, Cataraqui est id�al pour les tournages et peut aussi loger une �cole de cin�ma, avec des ateliers o� seraient invit�s de grands noms. M. Fortin soutient que plusieurs professionnels du milieu seraient partants pour appuyer le projet d'en faire une cit� du cin�ma.

Depuis 2002, Cataraqui est sous la coupe de la Commission de la capitale nationale. L'id�e d'en faire la r�sidence officielle du premier ministre du Qu�bec a �t� abandonn�e. Reste un vague projet d'�cole d'h�tellerie, �crit Le Soleil. Selon M. Fortin, une cit� du cin�ma ou une �cole de cin�ma � Cataraqui serait le rem�de � la morosit� qui s'est install�e � Qu�bec, alors que Robert Lepage vient de fermer sa maison de production, suite au refus de T�l�film Canada de subventionner sa Trilogie des Dragons.

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La construction � qu�bec: Baisse de 13 % en six mois
Par Carol Proulx

Source: Guy St-Laurent Le Journal de Qu�bec, 10 ao�t 2006

La construction r�sidentielle est � la baisse, et la revente de maisons, � la hausse, dans la r�gion de Qu�bec. C'est ce que rapporte la Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement (SCHL), dans son dernier relev� publi� hier. On y apprend que pour le cinqui�me trimestre de suite, il y a ralentissement de la construction r�sidentielle.

Pour le deuxi�me trimestre, entre avril et juin, 1713 maisons ont �t� mises en chantier, une baisse de 10 % par rapport au m�me trimestre en 2005. Uniquement du c�t� des condominiums, c'est 26 % en moins avec seulement 237 mises en chantier. Quant aux logements locatifs, la baisse est de 5 %, tandis qu'elle est de 7 % du c�t� de la construction de maisons.

Voir la suite.

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Reportage photo: les grands chantiers de la Pointe-de-Sainte-Foy
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, rue Laudance, direction NO. Photo: Jean Cazes, 12 juillet 2006.

Voici enfin mon reportage (10 photos d'immeubles r�sidentiels r�cemment �rig�s ou en construction) que j'avais annonc� dans ce billet il y a d�j� un mois...

Pst: j'ai oubli� de prendre des notes, et il me reste � nommer deux immeubles dans ma galerie de photos. Aidez-moi!

Grand format 800X600, secteur de la Pointe-de-Sainte-Foy (et localisation approximative des photos). Source: Bottin t�l�phonique Bell (�dition 2006).

La R�sidence de la Pointe-de-Sainte-Foy (arri�re)Photo 2: Les Jardins du ParcPhoto 3: � identifierPhoto 4: Le ContemporainPhoto 5: La R�sidence du Campanile, direction SO.Photo 6: Le Parc des Compagnons (l'une des derni�res phases)Photo 7: Le Cinqui�me BourgeoisPhoto 8: � identifierPhoto 9: Le Du-Marly-Le-Chatel (phase 3)

Dans l'ordre:
Photo 1: La R�sidence de la Pointe-de-Sainte-Foy (arri�re) [billet];
Photo 2: Les Jardins du Parc
Photo 3: (� identifier)
Photo 4: Le Contemporain [billet];
Photo 5: La R�sidence du Campanile, direction SO [billet];
Photo 6: Le Parc des Compagnons (l'une des derni�res phases) [billet];
Photo 7: Le Cinqui�me Bourgeois [billet];
Photo 8: (� identifier);
Photo 9: Le Du-Marly-Le-Chatel (phase 3).

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09 ao�t 2006

�tat des travaux: phase IV de la renaturalisalisation des berges de la rivi�re Saint-Charles (2)
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, � proximit� du pont Drouin. Photo: Jean Cazes, 9 ao�t 2006.

On peut noter, dans cette autre s�rie de photos de la phase IV (sous les m�mes angles, un mois apr�s la premi�re s�rie expos�e dans ce billet), que les travaux de d�molition ont enfin d�but� sur le segment � l'est du pont Dorchester (photo 1)...

Grand format 800X600, secteur des travaux en cours (phase IV) sur les berges de la Saint-Charles (et localisation approximative des prises de photos). Source: Bottin t�l�phonique Bell (�dition 2006).

Photo 1: Vue en direction NE � partir du pont Dorchester.Photo 2: Vue en direction SO � partir du pont Dorchester.Photo 3: Vue vers le SE � partir du pont Drouin.Photo 4: Vue vers le NO � partir du pont Drouin.

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction NE � partir du pont Dorchester (d�but des travaux);
Photo 2: Vue en direction SO � partir du pont Dorchester;
Photo 3: Vue vers le SE � partir du pont Drouin;
Photo 4: Vue vers le NO � partir du pont Drouin.

Voir aussi l'�tat des travaux de la phase III, ainsi que ce billet.

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Style urbain d'ailleur original
Par Carol Proulx

� tous les lecteurs et lectrices de Qu�bec Urbain qui consid�rent qu'il n'y a pas assez d'audace de la part de nos architectes et promoteurs immobiliers, voici un �difice � vocation public, dans la ville de Delhi au Inde.

temple_lotus 2.jpg

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Frank Lloyd Wright, p�re spirituel de la banlieue
Par Carol Proulx

Source: Pier-Luc Dupont Le Soleil, 4 ao�t 2006

Ses d�fenseurs vantent son calme, sa verdure, sa s�ret� et ses grands espaces. Ses d�tracteurs la disent morne, repli�e sur elle-m�me et anti�cologique. Tous s'entendent sur un point: la banlieue, avec ses haies bien taill�es et ses maisons proprettes entour�es de pelouse, est devenue une ic�ne du american way of life. Bon ou mauvais, cet id�al doit beaucoup � Frank Lloyd Wright, architecte am�ricain n� en 1867 et mort en 1959, � 92 ans. �Il a �t� l'une des deux grandes influences architecturales du XXe si�cle�, consid�re Philippe Lupien, sp�cialiste en architecture et animateur de l'�mission Visite libre, � T�l�-Qu�bec. �On ne peut comprendre ce si�cle sans Wright et Le Corbusier.�

Voir la suite.

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Fermeture de l'usine du Royaume de la tarte, � Sainte-Foy: le commerce d'origine du quartier Saint-Sauveur nullement affect�
Par Jean Cazes

Au Royaume de la tarte. Photo: Jean Cazes, 9 ao�t 2006.

�tant un client occasionnel de ce sympathique commerce de la rue des Oblats, je suis tout de m�me rassur�: si on en croit l'article ci-bas, le comptoir d'origine, qui n'agissait plus que comme simple d�taillant, reprend la production de ses produits "comme dans le temps de M. Provost, le fondateur du Royaume de la tarte", il y a pr�s de 50 ans!

Une bonne nouvelle, donc, pour les quartiers centraux de Qu�bec...

L'usine du Royaume de la tarte en faillite (Source: Radio-Canada (Qu�bec), 8 ao�t 2006)

L'usine du Royaume de la tarte, situ�e sur la rue Dalton � Sainte-Foy, est en faillite. L'usine, qui fabriquait des tartes, des p�t�s et d'autres mets pr�par�s, vendait ses produits dans diff�rents march�s d'alimentation. (...)

La suite.

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Vente du Marigot
Par Jean Cazes

Source: Pierre Champagne, Le Soleil, 9 ao�t 2006.

Le projet r�cr�otouristique Le Marigot, qui �tait �valu� � 60 millions $ et qui a malheureusement avort� l'an dernier, sera vendu par soumissions publiques cette semaine. Un avis public sera publi� le 12 ao�t. Pour le moment, seul l'h�tel Four Points Sheraton est ouvert, tout pr�s du Jardin zoologique qui lui, est ferm�. Les travaux de construction d'un immeuble de 34 condominiums sont avanc�s, mais ils ne sont pas compl�t�s. Le projet original comptait un h�tel et sept immeubles.

Voir cet autre billet.

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08 ao�t 2006

Mini dossier: Pauvret� et solitude urbaine
Par Carol Proulx

Photo de Jean Cazes, ann�e 80. Mis�re

Dans un dernier billet, on pr�sentait les petits d�jeuners servis � des enfants au niveau primaire. Il existe aussi une aide alimentaire pour les adultes et/ou les familles dans le besoin. . Par ailleurs, plusieurs organismes tels que Centraide, observent que notre soci�t� subit un �cart toujours grandissant entre les plus riches et les plus pauvres.

Source: Fran�ois Cattapan Qu�bec Hebdo, 6 ao�t 2006

Les stocks de Moisson Qu�bec sont en baisse : Pas de vacances pour la pauvret�
Mois des vacances et du repos, juillet est aussi une p�riode o� on d�croche de certaines responsabilit�s sociales. Si bien qu'� ce jour, Moisson Qu�bec essuie une baisse de 7% par rapport � la r�cup�ration totale de denr�es � pareille date en 2005. Malheureusement, la pauvret�, elle ne prend pas de vacances et se vit 365 jours par ann�e.

Voir la suite.

De plus la solitude (non seulement des personnes �g�es, mais aussi des diff�rentes cat�gories de gens) se vit de diff�rente fa�on dans les grandes villes surtout si vous n'avez personne avec qui parler. L'existence de cette solitude t�moigne du probl�me de l'angoisse et de l'isolement dans le milieu urbain.

Source: Sylvain Tr�panier Journal de Qu�bec, 5 ao�t 2006

Un octog�naire vivait dans un logement insalubre
Un probl�me de r�servoir d'eau chaude dans un logement du quartier Saint-Sauveur s'est sold�, hier, par l'hospitalisation d'un homme de 84 ans et la remise de ses six animaux de compagnie � la SPA. La path�tique histoire a d�but� en avant-midi, hier, lorsque des employ�s d'une compagnie de plomberie ont tour � tour refus� de travailler dans le logement du 580, Saint-Sauveur, � Qu�bec, pr�textant que les odeurs d'urine et d'excr�ments y �taient incommodantes.

Voir la suite.

Voir aussi le rapport de la CDEC de Qu�bec sur les facteurs influen�ant la pauvret�.

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Villes � vendre
Par Gerald Gobeil

Note: J'ai comme l'impression que nous aurons quelques suggestions pour Qu�bec!

Commandite

Un nombre grandissant de villes am�ricaines cherchent � commercialiser leurs rues et leurs propri�t�s afin de renflouer les coffres municipaux.

Ainsi, Sheboygan, au Wisconsin, a vendu le nom de diverses parties de deux �coles secondaires qu'elle administre. Les terrains sur lesquelles elles se trouvent se nommeront d�sormais Acuity Insurance Field (moyennant 650 000$US), les salles d'entra�nement et les gymnases s'appelleront Aurora Health Care (pour 400 000$US), tandis que les vestiaires seront commandit�s par l'association orthop�dique de Sheboygan pour 45 000$US.

Les autorit�s de la ville de Kitchen ont, de leur c�t�, baptis� les cuisines de deux �coles Kohler Credit Union pour 45 000$US et ont mis les noms des caf�t�rias aux ench�res pour 300 000$US.

� Santa Cruz, en Californie, on d�sire vendre le nom d'un parc de planches � roulettes afin de rembourser un emprunt de 300 000$US. � Newburry, au Massachusetts, une �cole secondaire demande 10 000$US afin de renommer le bureau du directeur, 100 000$US pour l'auditorium et 5000$US pour chacune des classes d'anglais. En novembre dernier, la ville de Clark, au Texas a accept� de devenir Dish en �change de services de t�l�vision par satellite pour une d�cennie pour ses 55 propri�taires de maison.

Mais la tendance ne touche pas que de petites municipalit�s. Ainsi, Chicago �coute les propositions pour rebaptiser une autoroute actuellement nomm�e Chicago Skyway; Washington songerait � donner � des stations de m�tro des noms de marques; et Las Vegas d�sire faire commanditer les noms des stations de son monorail.

L'article




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Des r�sidences et jardins anciens ouverts au public
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada Qu�bec, 8 ao�t 2006

Le R�seau des int�rieurs et des jardins anciens du Qu�bec lance sa dixi�me saison de visites de lieux historiques cet �t�. L'organisme, qui fait la promotion du patrimoine qu�b�cois, organisera au cours des prochaines semaines des visites guid�es dans une vingtaine de r�sidences priv�es du 19e si�cle.

La population pourra admirer l'int�rieur de ces maisons qui ont conserv� leur cachet d'antan. Ces r�sidences sont situ�es dans le Vieux-Qu�bec, ainsi que dans les quartiers Montcalm, Saint-Jean-Baptiste et Beauport. La programmation pr�voit �galement une visite des jardins priv�s anciens, dont le jardin des Gouverneurs, le plus vieux d'Am�rique du Nord, maintenant devenu un parc. Les visiteurs pourront notamment y d�couvrir la richesse de son histoire.

De plus, une exception sera faite quant � la visite de jardins anciens pour permettre la d�couverte du potager de fines herbes du chef Jean Soulard, situ� sur le toit du Ch�teau Frontenac.

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Architecture d'int�rieur: la nouvelle entr�e principale du Samuel-Holland, sur le chemin Sainte-Foy
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Entr�e principale du Samuel-Holland.

Le Samuel-Holland, l'un des principaux complexes r�sidentiels de la haute-ville, s'impose depuis plus de 25 ans dans le paysage urbain du quartier Saint-Sacrement avec sa tour principale (ma photo). Celle-ci devait � l'origine �tre occup�e par un h�tel.

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Durant tout le mois d'ao�t: Une rencontre avec le pass� pendant le Mois de l'Arch�o
Par Carol Proulx

Source: Site Internet Ville de Qu�bec.

Qu�bec, le 31 juillet 2006 � La Ville de Qu�bec et le minist�re de la Culture et des Communications rappellent � la population que se tiendra, durant tout le mois d'ao�t, la 2e pr�sentation du Mois de l'Arch�o, dans une dizaine de sites, mus�es, centres d'interpr�tation et autres lieux � vocation arch�ologique de Qu�bec. Plusieurs activit�s dont un entretien en compagnie d'un sp�cialiste permettront � la population de porter un regard neuf sur l'histoire au travers de fascinantes d�couvertes

Le Mois de l'Arch�o offre une programmation riche et vari�e comprenant des visites de chantiers de fouilles, des expositions, des r�sultats de fouilles, des ateliers et des jeux questionnaires pour les jeunes. Ces activit�s auront lieu � l'Auberge Saint-Antoine, au Centre d'interpr�tation de Place-Royale, au Centre de conservation du Qu�bec, au Mus�e du Royal 22� R�giment, � L'�lot des Palais, au Lieu historique national du Canada des Forts-et-Ch�teaux-Saint-Louis, � la Maison des J�suites de Sillery, au Moulin des J�suites et � la Soci�t� d'art et d'histoire de Beauport. On peut consulter l'horaire des activit�s dans la section �v�nements du site internet de la Ville de Qu�bec au www.ville.quebec.qc.ca ou sur le site www.archeoquebec.com.

Cette activit� a re�u un appui financier dans le cadre de l�Entente de d�veloppement culturel, intervenue entre la Ville de Qu�bec et le minist�re de la Culture et des Communications. L�Entente de d�veloppement culturel porte sur l�acc�s et la sensibilisation aux arts, � la culture et au patrimoine. Elle concerne �galement la recherche et la mise en valeur du patrimoine, la consolidation des acquis en mati�re de culture et le rayonnement culturel de la capitale.

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07 ao�t 2006

Un bijou d'�ditorial � saveur �colo!
Par Jean Cazes

En guise de r�flexion sur l'impact environnemental de notre mode de vie citadine et le principe de "responsabilisation", permettez-moi de vous sugg�rer la lecture de ce texte publi� r�cemment dans une revue f�minine bien connue...

Billet vert (Source: Lise Savary, Ch�telaine, ao�t 2006).

(...) Chez nous, l'environnement pourrait avoir un effet tout aussi salutaire sur l'avenir politique de Jean Charest. Surtout que son plan vert repose sur le principe politiquement gagnant de � pollueur payeur �. Des 24 propositions du plan, une seule touche directement le citoyen : la classique campagne de sensibilisation.

Or, le principe du pollueur payeur a une odeur de d�responsabilisation. Si les p�troli�res produisent de l'essence, c'est parce que NOUS en consommons. Et pas seulement pour alimenter nos rutilants VUS. (...)

La question que personne n'ose poser devant un micro est celle-ci : sommes-nous pr�ts, nous, Occidentaux choy�s, � changer nos habitudes de vie ? Faut pas se raconter des histoires, le pollueur, c'est aussi le consommateur. (...)

La suite.

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Agora de Qu�bec: Le statu quo provoque la division
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 7 ao�t 2006.

Les r�actions sont loin d'�tre unanimes concernant la d�cision du gouvernement de Stephen Harper de maintenir l'Agora du Vieux-Port � la Pointe-�-Carcy. Si la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, se montre d��ue, plusieurs sont satisfaits de cette d�cision. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Avalanche de condos � Beauport
Par Jean Cazes

Grand format 778X474. Source: Le Soleil.

Voil� ce que titrait Le Soleil, samedi dernier! Qu�bec Urbain a fait r�cemment mention du projet Les Fa�ades de l'�le [billet], d�taill� dans le format papier du quotidien. Opinion personnelle, toutefois, les immeubles � condos Vertigo (Cit� de Moncel, en bas de la carte), "variant de quatre � huit �tages, notamment dot�s d'une toiture gazonn�e" [billet], seront beaucoup plus int�ressants que les pr�c�dents � contempler une fois construits...

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 5 ao�t 2006)

Deux nouveaux projets immobiliers vont de l�avant sur les terrains de l�ancienne cimenterie Saint-Laurent, � Beauport. La valeur des investissements, qui regroupe plus de 1100 unit�s d�habitations, s��l�ve � 250 millions $, a appris Le Soleil.

� C�est le plus beau site pour s�acheter un condo en ville �, lance Jacques St-Pierre, le coordonnateur des ventes de la Cit� de Moncel, un projet immobilier de 200 millions $ qui prendra pied le long du boulevard Sainte-Anne, � l�angle des autoroutes Dufferin-Montmorency et F�lix-Leclerc.

D�ici 2013, la soci�t� immobili�re Vertigo esp�re ainsi mettre en chantier 940 unit�s d�habitations, dont 500 condos et 440 unit�s multiplexes (duplex et maisons en rang�e), sur plus de trois millions de pieds carr�s dans l�axe Maizerets-Montmorency.

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06 ao�t 2006

L'urbanisation au banc des accus�s
Par Carol Proulx

Article provenant du journal La Tribune, On parle de Sherbrooke, mais cela pourrait -�tre une autre ville... Qu�bec ?

Source: Denis Dufresne La Tribune, 4 ao�t 2006

L'effet d�vastateur des fortes pluies des derniers jours serait-il accentu� par la destruction des for�ts et des milieux humides pour le d�veloppement immobilier? Les goupes environnementaux en sont persuad�s.

"Il est certain que les grands d�veloppements r�sidentiels o� le sol est d�nud� et aplani contribuent au probl�me. D�s que l'on d�truit un habitat naturel on vient cr�er une �rosion potentielle parce que l'eau cherche � aller vers le point le plus bas", explique Jos�e Bernard, coordonnatrice du secteur environnement � la Corporation de gestion CHARMES.

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L'harmonisation des noms de rue: un vrai fouillis
Par Carol Proulx

Source LCN

Source: LCN 6 AO�T 2006

L'harmonisation des noms de rue � Qu�bec n'a pas fini de faire couler de l'encre. Une trentaine de r�sidences pr�s du lac Saint-Augustin ont chang� trois fois de nom de rue au cours des derniers mois. Et maintenant, il n'y a plus de nom au coin de leur rue.

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Jean Provencher et les secrets du Vieux-Qu�bec
Par Carol Proulx

Photo Le Soleil, Erick Labb�

Source: Louis-Guy Lemieux Le Soleil, 5 ao�t 2006

Jean Provencher est un historien local qui conna�t la ville de Qu�bec et plus particuli�rement le Vieux-Qu�bec comme le fond de sa poche. Il a us� plusieurs paires de souliers en marchant, hiver comme �t�, les rues les plus pittoresques et aussi les moins passantes qui sont souvent les plus int�ressantes. Il conna�t tous les recoins de la ville intra-muros. Il conna�t ses secrets aussi, qui sont nombreux. Pour tout dire, la petite histoire de cette ville lui semble aussi passionnante que la grande, l�officielle.

Le Centre d�interpr�tation de la vie urbaine de Qu�bec, situ� au 43, de la Fabrique, lui a demand� de partager avec le plus grand nombre son Vieux-Qu�bec int�rieur. Cela donne un parcours parsem� de secrets et d�anecdotes pour la plupart inconnus. Caroline Lajoie a traduit les coups de c�ur de l�historien � l�aide d�une mus�ographie contemporaine.

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MAINTIEN DE L�AGORA � LA POINTE-�-CARCY: Soulagement pour les voisins des Plaines
Par Carol Proulx

Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 5 ao�t 2006

L�annonce de la r�novation de l�Agora � son emplacement actuel a soulag� les nombreux groupes mobilis�s par la crainte de voir la sc�ne ext�rieure d�m�nager. Les uns se f�licitent de ne pas la voir appara�tre dans leur cour, tandis que les autres voient dans la Pointe-�-Carcy le meilleur emplacement.

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Les fresques et graffitis des tunnels de l'Universit� Laval (1)
Par Jean Cazes

Grand format 800X600.  Une oeuvre murale dans les souterrains de l'Universit� Laval. Photo: Jean Cazes, 4 ao�t 2006.

Inspir� par un billet de Carol, voici mon premier reportage photo (15) fait dans une partie des tunnels de l'universit� ("X", sur la carte ci-bas).

Ces images rappelleront s�rement quelques souvenirs � des g�n�rations d'�tudiants qui ont arpent� les catacombes de la "noble" institution. Exit malheureusement de classiques graffitis tels "NonO au r�f�rendum" ou "Les femmes contestent...", souvent retouch�s ou superpos�s au fil des ans et maintenant effac�s sous des oeuvres moins spontan�es...

Au fait, quelle est votre murale pr�f�r�e expos�e dans cette galerie de photos?

Carte des tunnels de l'Universit� Laval.

Quelques oeuvres murales...
Fresques ou dessinsFresques ou dessinsFresques ou dessinsFresques ou dessinsFresque ou dessinsFresques ou dessinsFree Image Hosting at www.ImageShack.usFresques et dessinsFresques et dessinsFresques et dessinsFresques et dessins

... et des graffitis engag�s ou plus ou moins subtils...
GraffitisGraffitisGraffitisGraffitis

Voir aussi ce billet.

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05 ao�t 2006

La revente � Qu�bec: Succ�s
Par Gerald Gobeil

La revente immobili�re se porte � merveille dans la r�gion de Qu�bec

Le march� de la revente immobili�re se porte toujours bien � Qu�bec et les pancartes de courtiers ne restent pas longtemps devant les maisons. La revente immobili�re se porte � merveille dans la r�gion de Qu�bec
Pendant que les mises en chantier de constructions neuves reprennent leur souffle, le march� de la revente immobili�re ne cesse de bien performer. M�me que les ventes de maisons existantes poursuivent � la hausse apr�s six mois en 2006.

Source: Le Journal de l'Habitation

C'est du moins l'annonce positive qu'a faite la Chambre immobili�re de Qu�bec (CIQ) lors du d�voilement de ses performances apr�s un premier semestre, le 11 juillet dernier. � la suite de la compilation des reventes r�alis�es en juin sur le territoire de la capitale, la CIQ note une l�g�re augmentation de 0,8% sur juin 2005 qui fut, rappelle-t-elle, une ann�e remarquable pour la vente de propri�t�s r�sidentielles existantes � Qu�bec.

Au total, 739 transactions r�sidentielles ont �t� effectu�es par les courtiers et agents immobiliers membres de la CIQ au cours du mois de juin 2006. �Du c�t� du nombre d'inscriptions, les courtiers et agents immobiliers ont enregistr� un total de 1 116 inscriptions, pour une augmentation substantielle de 14,5 % comparativement � juin 2005. Il s'agit du plus grand nombre d'inscriptions pour cette p�riode depuis juin 1993�, pr�cise-t-on dans un communiqu�.

Pour les six premiers mois de l'ann�e, le nombre de reventes r�sidentielles s'est �lev� � 5 140 unit�s, alors qu'il se chiffrait plut�t � 5 048 unit�s pour la m�me p�riode en 2005. C'est donc une progression nette de 1,8 % au 1er semestre de 2006. Une statistique qui augure bien, si on consid�re que 2005 fut une ann�e particuli�rement fertile pour l'immobilier.
Prix en hausse
Par ailleurs, bien que l'offre de r�sidences sur le march� ait augment� de pr�s de 12,5 % en un an, le prix moyen quant � lui grimpe toujours. �Il se situe d�sormais � 153 315 $. C'est une hausse de plus de 6 % sur un horizon d'un an, ce qui est bien au-dessus de l'inflation�, fait-on remarquer � la CIQ.
Le regroupement conclut que l'immobilier se porte tr�s bien dans la grande r�gion de Qu�bec et que le rythme effr�n� du march� connu depuis le tournant des ann�es 2000 ne semble toujours pas s'essouffler. De ce fait, en juin dernier, plus de 5 101 r�sidences �taient toujours confi�es pour fins de vente � un courtier ou un agent immobilier membre de la Chambre. Voil� donc qui est rassurant et qui indique que les nouvelles technologies de l'information demeurent un outil promotionnel suppl�mentaire pour concr�tiser une transaction.
Statistiques r�sidentielles
Quelques chiffres r�v�lateurs de la bonne condition du march� de la revente immobili�re dans la r�gion de Qu�bec en juin 2006:
Inscriptions = 1 116 unit�s (+ 14,5 %);

Ventes = 739 unit�s (+ 0,8 %);

Chiffre d'affaires = 113,3 M$ (+ 6,7 %);

Prix moyen = 153 315 $ (+ 5,9 %);

Inventaire = 5 101 unit�s (+ 12,5 %).

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Singuliers nuages
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, mammatus. Photo: Jean Cazes, 4 ao�t 2006, 19h04.

Des mammatus, formations nuageuses plut�t rares et associ�es � du temps tr�s instable, se sont form�s � quelques reprises dans le ciel de Qu�bec, hier apr�s-midi et en d�but de soir�e.

En voici de beaux sp�cimens, en marge du violent orage (un autre!) qui a affect� la rive sud vers 19h00.

Voir aussi cet autre billet et mon blogue m�t�o.

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�Z�ro d�chet� Le Centre des congr�s recycle plus que jamais
Par Carol Proulx

Source: Annie Fernandez Journal de Qu�bec, 5 ao�t 2006

Le Centre des congr�s de Qu�bec se lance dans le compostage � grande �chelle � la demande croissante de ses clients, qui exigent des �v�nements �z�ro d�chet�. �C'est de plus en plus important dans le choix des organisateurs d'�v�nements. Les gens nous posent des questions sur nos fa�ons de recycler, s'ils peuvent avoir un �v�nement 'z�ro d�chet'� explique Anne Cantin, porte-parole du Centre des congr�s.

Voir la suite.



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Le BAPE donne son aval � une nouvelle prise d�eau
Par Carol Proulx

Source: Marc Allard Le Soleil, 4 ao�t 2006

La construction d�une nouvelle prise d�eau � Sainte-Foy a re�u l�aval du Bureau d�audiences publiques sur l�environnement. D�voilant hier son rapport d�enqu�te, le BAPE estime que le projet est justifi�. Mais il encourage la Ville de Qu�bec � examiner le trac� alternatif propos� par les r�sidants qui craignent le dynamitage.

Au terme d�une commission d�examen qui a dur� cinq mois (f�vrier � juin 2006), le BAPE a approuv� les deux phases. D�une part, la construction d�une nouvelle prise d�eau � 190 m au sud-ouest de la prise existante, situ�e sur le chemin de la Plage-Saint-Laurent longeant la falaise de Cap-Rouge (arrondissement Sainte-Foy-Sillery). De l�autre, la r�novation de cette derni�re.

Par ces op�rations, la Ville souhaite accro�tre l�approvisionnement en eau potable dans le fleuve, par rapport aux rivi�res, et r�habiliter les installations en place, souvent obstru�es par le frasil en hiver. Des motifs que le BAPE juge justifi�s.

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04 ao�t 2006

�tat des travaux: r�am�nagement du boulevard Charest Ouest
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, boulevard Charest Ouest. Photo: Jean Cazes, 3 ao�t 2006.

Vue vers l'est sur le chantier en voie d'ach�vement, avec ses larges trottoirs, � partir de l'intersection Saint-Sauveur.

Voir aussi cet autre billet.

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03 ao�t 2006

Retour sur les orages de mardi soir (2) - Mise � jour
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 3 ao�t 2006.

Ci-haut, l'"avant" (hier matin) et ci-bas, l'"apr�s" (cet apr�s-midi), sur la rue P�re-Marquette, suite au renversement de sept gros arbres lors de la temp�te...

C'est la d�solation, dans Montcalm. (Source: Marianne White, Le Soleil, 2 ao�t 2006)

Les r�sidants du quartier Montcalm �taient sous le choc hier en voyant l��tendue des d�g�ts caus�s par les violents orages de mardi soir. Atroce, incroyable, triste, d�courageant, terrible, spectaculaire : ils ne manquaient pas de mots. (...)

La suite. Voir aussi cet autre article et ce billet.

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 2 ao�t 2006.

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Saviez vous que...
Par Carol Proulx

Saviez vous qu�il y a un petit observatoire astronomique, situ� � la base de plein air de Val-B�lair ? . Ce n�est pas aussi important que celui du Mont-M�gantic, mais c�est mieux que rien� Donc le voici...

Quebec Hebdo

Observatoire astronomique de la D�couverte(Source: Fran�ois Simard Qu�bec Hebdo)

Pour une cinqui�me ann�e, l�observatoire astronomique de la D�couverte,
situ� � la base de plein air de Val-B�lair, profite de la p�riode des Pers�ides
pour organiser une �F�te des �toiles�, les 11 et 12 ao�t prochains. Une
belle occasion pour le public d��tre aux premi�res loges afin de profiter au
maximum de cet impressionnant spectacle.

Voir la suite.

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L�art de vivre en double avec un pied-�-terre
Par Carol Proulx

Source: Marie-Luce Pelletier-Legros Le Soleil, 28 juillet 2006

� Travailler, c�est trop dur �... et ne pas rentrer chez soi apr�s une journ�e �reintante l�est encore plus. Le travail force plusieurs personnes � migrer temporairement hors de leur foyer. Entre les h�tels impersonnels et le lit de fortune dans le salon de la belle-s�ur, il existe une solution : le pied-�-terre.

Gemma Desgagn�s, massoth�rapeute, partage son temps entre son vaste domaine de l�Isle-aux-Coudres et son appartement de Sainte-Foy. L��t�, les hordes de touristes qui envahissent l��le lui rapportent de bons revenus, mais l�hiver est plut�t tranquille. C�est ce qui l�a pouss�e � se b�tir une client�le � Qu�bec. Depuis bient�t 10 ans, elle vient y travailler deux jours par semaine.

Voir la suite.

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La place publique prend forme aux Saules
Par Carol Proulx

Photo Jancimon Reid

Source: Jancimon Reid Qu�bec Hebdo, 28 juillet 2006

La m�tamorphose du terrain abritant l�ancien garage Ultramar � l�intersection des boulevards P�re-Leli�vre et Masson dans le secteur Les Saules va bon train. Le site deviendra prochainement une place publique. Apr�s la d�contamination du site par la Ville de Qu�bec, des travaux de reconfiguration de la g�om�trie de l�intersection ont �t� r�alis�s l�automne dernier.

Cette op�ration d�arrondissement des trottoirs avait pour but d�am�liorer la s�curit� pi�tonne puisque les autobus devaient parfois empi�ter sur les trottoirs faute de place pour circuler. Le parc accueillera une fontaine d�eau, des bancs, une �uvre d�art repr�sentative du district Les Saules et surtout beaucoup de verdure afin d�agr�menter le secteur entour� de centres d�h�bergement, de r�sidences priv�es et de HLM destin�s aux personnes �g�es. Les travaux d�am�nagement de la place publique s��l�vent � 180 000 $.

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Le Jardin des Moulins remplacera l'ancien zoo
Par Carol Proulx

Source: Fran�ois Cattapan Qu�bec Hebdo, 2 ao�t 2006

Nouvel espace public promis par le gouvernement provincial, le Jardin des Moulins prendra place sur une partie des terrains de l'ancien Jardin zoologique du Qu�bec ferm� ce printemps � Charlesbourg. L'ouverture officielle est pr�vue pour la mi-ao�t, soit quelques jours apr�s la date qui aurait marqu� le 75e anniversaire du plus vieil �tablissement faunique au pays.

C'est ce qu'il a �t� possible d'apprendre lors d'un entretien t�l�phonique avec St�phane Gosselin, directeur des communications au cabinet du minist�re provincial du D�veloppement durable, de l'Environnement et des Parcs. L'entit� gouvernementale a �t� charg�e de la conversion du zoo de Qu�bec en parc, afin d'en juguler le d�ficit d'op�ration.

Voir la suite. Voir ce billet.

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La capitale a ses �lots de chaleur
Par Carol Proulx

Photo Le Soleil, Erick Labb�

Source: Marc Allard Le Soleil, 2 ao�t 2006

En cette p�riode de grandes chaleurs, la capitale ne cuit pas de la m�me mani�re partout. Trop d�asphalte, pas assez de verdure, dans les �lots de chaleur, le mercure grimpe plus qu�ailleurs. �trange comme certains secteurs d�une ville enregistrent des temp�ratures plus �lev�es, alors que d�autres ont plus de fra�cheur. Ce ph�nom�ne, �tudi� depuis plusieurs ann�es par les chercheurs, n�a rien d��sot�rique.

Qu�est-ce qu�un �lot de chaleur ? C�est un secteur urbanis� caract�ris� par des temp�ratures de l�air ou du sol plus �lev�es de 5 � 10 degr�s que la temp�rature moyenne d�une ville. La formation, l�intensit� et la situation g�ographique de ces �lots varient selon plusieurs facteurs. Le pire amalgame ressemblerait � celui-ci : ciel clair, absence de vent, pollution atmosph�rique, importants rejets de chaleur provenant de la consommation �nerg�tique, haute densit� des b�timents et de la population, faible croissance des v�g�taux.

(Hum peut-�tre plus de toits v�g�tales pourraient rafraichir un peu. Voir ce billet)

La faute � l�urbanit�

� coup s�r, ceux qui habitent dans ce genre d��tuve sont plus expos�s aux effets n�fastes des vagues de chaleur extr�me. Existe-t-il des endroits � risque � Qu�bec ? � ce jour, la Ville n�a pas entrepris d��tude approfondie sur la question. Pour le moment, le � gros bon sens � pr�vaut, note Jean-Pierre Sabourin, du Bureau de la protection civile.

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D�but des F�tes de la Nouvelle-France
Par Jean Cazes

Sur la Grande All�e, les participants costum�s se pavanent comme � la cour des rois de France. Photo Le Soleil, Martin Martel.

La dixi�me �dition des F�tes de la Nouvelle-France se d�roule cette ann�e du 2 au 6 ao�t.

D�fil� colonial haute couture. (Source: Marie-Luce Pelletier-Legros, Le Soleil, 2 ao�t 2006)

Les cinq g�ants du d�fil� d�ouverture des F�tes de la Nouvelle-France �taient assez haut plac�s pour parler au ciel, hier soir. Il semble qu�il les a �cout�s, car aucune goutte n�est venue troubler les festivit�s. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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02 ao�t 2006

Reportage photo: Retour sur les orages de mardi soir
Par Jean Cazes

Grand format 800X600.  Avenue des Braves. Photo: Jean Cazes, 2 ao�t 2006.

Pour faire suite au premier billet consacr� � la tourmente d'hier, voici 13 photos immortalisant cet �v�nement qui a fait courir beaucoup de monde, ce matin, dans le secteur Montcalm, particuli�rement sur la rue P�re-Marquette. Par ailleurs, je vous invite � visiter ce remarquable reportage photo de Bernard Bastien, membre de SPIQ.CA (organisation b�n�vole ind�pendante qui b�n�ficie du support autant de la part de la Ville que du Syndicat des pompiers, et qui a comme mandat de documenter le travail des pompiers de Qu�bec et de leurs activit�s), qui montre bien les d�g�ts caus�s � la for�t urbaine de la haute-ville...

Rue Murray.Rue Murray.Secteur Montcalm.Rue P�re-Marquette.Rue P�re-Marquette.Rue P�re-Marquette.Rue P�re-Marquette.Rue P�re-Marquette.Boulevard Ren�-L�vesque.Avenue des Braves.Secteur Montcalm.Secteur Montcalm.

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Course d'escargots!
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 2 ao�t 2006.

C�te de l'Aqueduc ce matin: ces deux sympathiques bestioles s'"empressent" de quitter le bitume encore humide � la suite des intemp�ries d'hier. Crise du logement � Qu�bec? Bof! ;-)

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Compostage � Sillery: La population boude le bac brun
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada Qu�bec, 1 aout 2006

Tandis que la Ville de Qu�bec implante son projet pilote de recyclage des mati�res pour compostage dans les industries et les commerces, elle observe de pr�s ce qui se passe dans l'arrondissement de Sillery. En 2000, des bacs bruns ont �t� distribu�s � 5000 maisons de cette ville pour r�cup�rer les putr�cides, c'est-�-dire, les restes de table et les r�sidus de jardinage.

Voir la suite.

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Les orages s�ment de nouveau la pagaille � Qu�bec
Par Jean Cazes

Un arbre entier s�est �cras� sur une maison, � l�angle du boulevard Ren�-L�vesque et de la rue Brown. Photo: Laetitia Deconink, Le Soleil.

Deux semaines apr�s Limoilou, c'est la haute-ville qui aurait cette fois �t� particuli�rement touch�e par les intemp�ries qui ont de nouveau atteint une rare intensit�, hier soir, sur tout le sud du Qu�bec: 1288 �clairs/min. � un certain moment!! H�las, j'ai rat� ma chance pour des photos d'�clairs: si vous en avez, n'h�sitez pas � m'en faire parvenir! ;-)

Festival des arbres cass�s et des pannes. (Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil, 2 ao�t 2006)

Qu�bec a �t� durement touch�e par les orages survenus hier en soir�e. C��tait le festival de l�arbre d�racin� pour les pompiers de Qu�bec qui ont d� r�pondre � au moins 120 appels d�assistance. � un certain moment, le central 9-1-1 ne r�pondait plus parce que les lignes �taient engorg�es. (...)

La suite, cet autre article et ce forum de "maniaques m�t�o" (photos spectaculaires et r�cits!) dans M�t�o Alerte. Voir aussi ce billet.

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01 ao�t 2006

De retour d'un beau voyage en Gasp�sie...
Par Jean Cazes

Grand format 800X600, verri�re de la salle Desjardins-Telus de Rimouski et vue en direction est sur le rue Saint-Germain, 25 juillet 2006. Photo: Jean Cazes.

... et sur la route, on en a profit� pour faire une "tite saucette" � Rimouski, histoire de constater le dynamisme de la m�tropole du Bas-Saint-Laurent, illustr� ci-haut par son vieux "gratte-ciel" (la Place Saint-Laurent), et la verri�re de sa nouvelle salle de spectacle Desjardins-Telus.

En visitant la Gasp�sie, oubliez le volet "urbain", surtout qu'� Gasp�, la rue principale est en plein chantier de revitalisation (pour le plus grand bien de la ville, esp�rons-le!). Car avant tout, la Gasp�sie, c'est une succession de coquets villages nich�s dans une nature grandiose: � titre d'exemples, ces photos du c�l�bre rocher Perc�, de l'impressionnante colonie de fous de Bassan de l'�le Bonaventure et du site de poissons fossiles de Miguasha, r�put� dans le monde!

Ceci dit, je m'empresse de consulter la revue de presse urbaine de Qu�bec des huit derniers jours qu'ont fid�lement pr�par�e Carol et G�rald! :-)

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Reportage photo: Toits verts de Qu�bec
Par Carol Proulx

Toit v�g�tale des Lofts Lalibert�. Source : Vivre en ville

� Qu�bec plusieurs b�timents ont des toits verts les voici : Copropri�t� Jardins Manr�se, Coop d�habitation Chlo�, Coop�rative Vivre en ville, Centre Culture et Environnement Fr�d�rick Back, Le Domaine de Maizerets, les lofts Lalibert�, la bibiloth�que de Charlesbourg et enfin la Falaise apprivois�.

Populaires en Scandinavie depuis des milliers d�ann�es, les toits verts poussent pr�sentement comme des pissenlits. La proportion de la superficie de toits verts a augment� de 72% de 2004 � 2005, passant de 1,3 millions � 2,5 millions de pieds carr�s.

Les principaux avantages sont : Contr�le des fortes pluies, �conomie d��nergie et rafra�chissement des quartiers, d�pollution, r�duction du bruit, accroissement de la biodiversit� et de l�esth�tisme, et enfin durabilit� accrue de la toiture. Dans les toits v�g�tales, il y en a de simple jusqu�� plus complexe.

la Ville de Toronto a un ambitieux projet de r�aliser des toits verts sur tous les �difices leurs appartenants, en plus d'encourager financi�rement l'installation de ceux-ci. De plus, la ville de Montr�al a inclus les toits v�g�tales dans son plan d'urbanisme. Et aussi ce communiqu�.

Voir aussi ce billet.

Photo Jean Cazes, Format 800x600, Toit v�g�tale. La Falaise apprivois�, juillet 2006Photo Jean Cazes, Format 800x600, Toit v�g�tale 2. La Falaise apprivois�, juillet 2006Photo de Vivre en Ville, Format 800x600. Toit du Centre Culture et Environnement Fr�d�rick BackPhoto de Vivre en Ville. Format 800x600. Toit de la coop�rative Vivre en VillePhoto de Vivre en Ville. Format 800x600. Toit de la coop�rative Vivre en Ville

Dans l'ordre:

1-) Photo de Jean Cazes, Falaise apprivois�, toit v�g�tal
2-) Autre Photo de Jean Cazes, Falaise apprivois�, toit v�g�tal
3-) Centre Culture et Environnement Fr�d�rick Back( Source:Vivre en ville)
4-) toit de la Coop�rative Vivre en ville
5-) Coop�rative Vivre en ville

Merci � Jean Cazes, L'organisme Vivre en ville et la revue Maison du 21e si�cle pour les photos et informations.

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