Archive des billets publi�s en septembre 2006

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Les six autres photos suivantes illustrent aussi fort bien la beaut� du paysage qu�b�cois � la fin septembre, surtout quand il fait beau et frais comme ce matin, m�me en plein coeur de la ville!

Dans l'ordre:
Photo 1: le "mini-gratte-ciel" au coin 18e Rue/De Villebon, vue en direction O;
Photo 2: Domaine Maizerets;
Photo 3: Domaine Maizerets;
Photo 4: Domaine Maizerets;
Photo 5: Domaine Maizerets;
Photo 6: avenue Maufils.

Voir aussi ces deux billets.

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Preuve que ce n'est point utopique des r�sidences � saveurs �cologiques, mais plut�t un choix coh�rent, et audacieux... Ce n'est point le seul constructeur qui optent pour un choix �cologique, juste � penser au maison Laprise, ainsi que les habitations Apex, pour ne nommer que ceux-l� ...De plus, comme on lit depuis quelque temps sur Qu�bec Urbain, � quand des projets inovateurs � tout point de vue � Qu�bec ?

Source: Isabelle Audet La Presse, 29 septembre 2006

D'ici un an, le promoteur Proment entreprendra � l'�le-des-Soeurs la construction d'un des complexes r�sidentiels les plus �cologiques au Qu�bec. Une fois le chantier compl�t�, les copropri�taires profiteront des avantages d'un �difice qui pourrait �tre homologu� LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), une des normes les plus strictes en construction verte.

Le Vistal, une conjonction des mots vista (vue) et cristal, comptera deux tours de 25 �tages, pour un total d'environ 300 appartements. Il sera situ� sur la pointe sud de l'�le, face au fleuve Saint-Laurent. Tr�s �lanc�s, les deux �difices ont �t� con�us pour occuper le minimum d'espace au sol, histoire de r�duire les impacts sur l'environnement. �Nous sommes persuad�s que les �difices verts auront plus de valeur dans l'avenir, affirme Louis-Joseph Papineau, directeur du d�veloppement vert chez Proment. Il faut d�s maintenant prendre ce virage.�

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Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 29 septembre 2006

Le gouvernement provincial met sur une voie prioritaire le d�veloppement du transport en commun � Qu�bec. En plus d��tudier l��largissement de l�autoroute du Vallon pour implanter une voie r�serv�e, le minist�re des Transports (MTQ) lorgne vers les autoroutes Charest et Laurentienne pour un projet similaire.

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Voir aussi ce billet.

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... mais pas de tramway en projet! [billet]

Source: Radio-Canada Qu�bec, 29 septembre 2006.

Le ministre des Transports, Michel Despr�s, a annonc� vendredi matin un investissement de plusieurs millions de dollars pour la construction d'un centre d'entretien et de remisage des autobus articul�s.

L'investissement de 47 millions de dollars est partag� par le minist�re et le R�seau de transport de la capitale (RTC). Le minist�re investit pour sa part 35 millions de dollars. (...)

La suite. � consulter aussi, ce billet.

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Source: Simon Boivin Le Soleil, 28 septembre 2006

La promenade Samuel-de-Champlain est un endroit privil�gi� pour l�accueil d��ventuels legs de pays �trangers pour les F�tes du 400e de Qu�bec. Aucune confirmation n�a encore �t� donn�e et certaines r�ponses tardent � venir, mais le commissaire du Qu�bec aux F�tes du 400e, Raymond Lesage, �voque certaines pistes envisag�es.

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C'est ce que laisserait sous-entendre Le Soleil, dans la version papier de l'article ci-bas. On y pr�cise que le propri�taire du complexe immobilier serait l'acheteur potentiel du YWCA dont l'immeuble de six �tages est d�j� reli� aux autres �difices par une passerelle.

Rappelons qu'un important projet d'agrandissement du Samuel-Holland (sur le stationnement de la partie est du complexe) a �t� abandonn� en 2003 � la suite de contestations de citoyens du secteur.

YWCA: Nouvelle �tape vers le d�m�nagement (Source: Guy Benjamin, le Soleil, 27 septembre 2006.)

Les dirigeantes du YWCA r�vent de d�m�nager l�automne prochain dans un nouvel �difice �rig� � l�angle du boulevard Ren�-L�vesque et de la rue Louis-Fr�chette sur un terrain acquis du Coll�ge Saint-Charles-Garnier. (...)

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 27 septembre 2006.

Le gouvernement Charest annonce une aide financi�re de 4 millions de dollars pour la r�novation du Grand Th��tre de Qu�bec.

Les ministres Lise Beauchamp et Michel Despr�s ont confirm� cette nouvelle mercredi matin, estimant qu'apr�s 35 ans, le Grand Th��tre avait besoin d'une cure de rajeunissement.

L'investissement permettra le remplacement du syst�me de ventilation et de la climatisation du b�timent et la r�novation des salles Louis-Fr�chette et Octave Cr�mazie. La fosse d'orchestre de la salle Louis-Fr�chette sera refaite, les tapis et les fauteuils, renouvel�s.

Les travaux devraient �tre achev�s � l'automne 2007, � temps pour les f�tes du 400e anniversaire de la ville.

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Bonjour,

M�lomanes et musiciens

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Source: Jean-Simon Gagn�, Le Soleil, 29 septembre 2006.

Avant m�me d�avoir vu le jour, la nouvelle politique de d�neigement de la ville de Qu�bec soul�ve une minitemp�te au sein de l�opposition municipale. Elle pourrait m�me causer des remous jusqu�au sacro-saint comit� ex�cutif, dirig� d�une main de fer par la mairesse, Andr�e Boucher.

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La "madame" habitant pr�s du site de l'Agora [billet] qui ne voulait rien savoir de la "client�le de Iron Maidon et de... U2" pourra donc dormir tranquille si Bono et sa l�gendaire bande viennent effectivement � Qu�bec, sept ans apr�s l'inoubliable spectacle qu'ils ont offert � ma blonde et moi, � Montr�al!

Imaginez, sur les Plaines par un beau soir d'�t� de 2008, quelque 400 000 fans pacifistes, sous le regard des m�dias du monde, se levant spontan�ment aux premiers accords de "Beautifull Day"... Wow!

Source: Radio-Canada Qu�bec, 27 septembre 2006.

Viendra, viendra pas? Selon Le Journal de Qu�bec, des d�marches entreprises dans l'espoir d'attirer le groupe irlandais � Qu�bec, en 2008, sont entr�es � dans une phase cruciale �. Elles pourraient m�me aboutir � dans quelques jours �, affirme le quotidien.

Une rencontre � ce sujet avec le g�rant de U2, Paul McGuinness, et des repr�sentants de la firme Nemex Network, de Qu�bec, doit avoir bient�t lieu � Dublin, en Irlande.

Selon Le Journal de Qu�bec, le groupe irlandais aurait d�j� refus� un cachet de 1,5 million $US pour se produire � Qu�bec.

Le spectacle aurait lieu en juillet 2008 sur les plaines d'Abraham dans le cadre des f�tes du 400e anniversaire de la fondation de la Vieille Capitale.

Par ailleurs, le chanteur Bob Geldof, instigateur du Live-Aid aurait d�j� confirm� sa pr�sence. Des approches ont aussi �t� faites pour les groupes Coldplay, Simple Plan et AC/DC.

� consulter, ce billet.

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La structure portante des deux immeubles en chantier est maintenant �rig�e.

� consulter, ce billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 28 septembre 2006

D'importants travaux seront entrepris sur la rue Cartier � Qu�bec, afin de remplacer une conduite pour l'�vacuation des eaux us�es dont la capacit� est insuffisante. Certains commerces de la rue connaissent des probl�mes de refoulement d'�gouts.

Ces travaux devraient �tre effectu�s au plus t�t le printemps prochain, sinon en 2009, puisqu'il n'est pas question qu'un tel chantier perturbe la vie commerciale sur la rue Cartier pendant les f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec. La Ville de Qu�bec doit faire l'annonce de ces travaux d'ici la fin novembre. La rue Cartier a subi d'importants travaux il y a 17 ans alors que les fils �lectriques avaient �t� enfouis.

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Veuillez me pardonner ce soir ce commentaire bien personnel de "snob bien assum�", mais surtout, et avant tout, fier de Qu�bec et de sa qualit� de vie (au-del� de sa r�putation "carte postale") : j'esp�re que cette autre bonne nouvelle clouera d�finitivement le bec � tous ces d�magogues sans culture, populistes, � l'esprit �troit de MA ville qui ne cessent de laisser sous-entendre depuis des lustres qu'ici, c'est l'enfer, et que le paradis se trouve �videmment dans l'Ouest... ou au sud de la fronti�re! ;-)

Source: Radio-Canada Qu�bec, 27 septembre 2006.

La ville de Qu�bec est class�e meilleure ville au Canada pour faire des affaires, selon le palmar�s annuel du magazine Canadian Business. Les villes de Charlottetown, Saguenay, Laval et St. John's suivent dans l'ordre.

Qu�bec doit son titre � l'importante croissance du nombre de permis de construction d'�difices commerciaux, ainsi qu'� la baisse de son taux de ch�mage.

Le co�t de la vie et les frais d'exploitation des entreprises peu �lev�s, ainsi que le faible taux de criminalit� ont aussi permis � Qu�bec de se d�marquer parmi les 25 plus grandes villes canadiennes et 15 autres de moindre envergure.

La suite. Voir aussi ce billet.

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Source: Ville de Qu�bec
Les 29, 30 septembre et 1er octobre
Les Journ�es de la culture : Tout doit �tre vu!

La Ville de Qu�bec invite la population � participer aux nombreuses activit�s organis�es par les artistes et organismes culturels et artistiques sur tout le territoire de la ville de Qu�bec dans le cadre des Journ�es de la culture. Les 29, 30 septembre et 1er octobre, plus d'une centaine d'occasions seront offertes aux publics de tous �ges pour se familiariser et prendre contact avec la culture et les artistes de tous les domaines de cr�ation.

Programmation compl�te pour la ville de Qu�bec

Pour plus de d�tails, visitez le http://www.journeesdelaculture.qc.ca

Et qui sait, peut-�tre d�couvrirez-vous des endroits que vous ne connaissez point !

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Source: Claude Vaillancourt Le Soleil, 26 septembre 2006

Le R�seau de transport de la Capitale (RTC) devra ajouter 800 000 $ � son budget s�il veut satisfaire un tant soit peu les pr�occupations environnementales sur le nouveau tron�on de l�autoroute du Vallon.

R�clam� � grands cris par les r�sidants du secteur et pourfendu par les �colos qui voulaient conserver le tissu v�g�tal du secteur, le nouveau tron�on, un quatre voies converti en boulevard urbain entre les boulevards Lebourneuf et Bastien, sera ouvert aux automobilistes � compter de la mi-novembre.

Demande du BAPE

Pour r�concilier tout ce beau monde, le Bureau des audiences publiques sur l�environnement (BAPE) avait conclu que le projet � serait acceptable dans la mesure o� il est accompagn� de moyens concrets et efficaces pour r�duire l�utilisation de l�automobile, en assurant notamment un service de transport en commun concurrentiel dans le secteur Lebourgneuf �.

� La commission est consciente qu�un tel service requiert une augmentation tangible du financement �, pr�cisait Joseph Zayed, pr�sident de la commission d�enqu�te environnementale. � d�faut de quoi, concluait le BAPE, � tout effort visant l�am�lioration de la fluidit� de la circulation perp�tuerait un mod�le de d�veloppement urbain qui accentue la d�pendance � l�automobile �.

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Source: Antoine Gouthier, Voir Qu�bec, 26 septembre 2006.

Devons-nous craindre de vivre ou de se promener le soir dans le quartier Saint-Sauveur? Deux visions s'entrechoquent, l'une croyant le quartier plus s�r, l'autre affirmant que les r�sidants ne rapportent plus les �v�nements v�cus.

La suite.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 26 septembre 2006.

Le nombre de jeunes de moins de 30 ans sans domicile fixe augmente sans cesse � Qu�bec.

C'est le constat que fait le Regroupement d'aide aux personnes itin�rantes de la ville. En 2003, l'organisme communautaire �valuait � 3000 le nombre de jeunes de moins de 30 ans qui pouvait �ventuellement se retrouver dans la rue � un moment ou un autre � Qu�bec.

Or, la porte-parole du regroupement, Nathalie Brisseau, soutient que la situation s'est aggrav�e.

� Souvent, ce sont des jeunes qui vont soit faire des fugues et vivre la rue, ou soit ils vont se retrouver dans ce qu'on appelle en instabilit� r�sidentielle �, dit-elle.

Elle explique que ces jeunes, � un moment ou � un autre, n'ont plus de lieu significatif et s�curitaire pour vivre convenablement.

Aussi, ce billet, de m�me que cet article (La Presse) portant sur la difficile cohabitation "nouveaux r�sidents/itin�rants" dans les quartiers en gentrification de Montr�al � l'image de Saint-Roch.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 26 septembre 2006.

Un an apr�s les d�bordements de la rivi�re Lorette, le Regroupement sinistr�s entraide d�pose une mise en demeure contre la Ville de Qu�bec.

Le regroupement somme la Ville de Qu�bec de tenir des s�ances d'information sur les travaux qu'elle entend faire pour �viter de nouvelles inondations. (...)

La suite. � consulter aussi, ce premier billet portant sur les inondations.

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Source: R�gys Caron. Le Journal de Qu�bec, 26 septembre 2006

L'administration de la mairesse Andr�e Boucher pr�sentera, demain, un projet de d�veloppement de 1400 nouvelles unit�s de logement pour l'arrondissement historique de Sillery. C'est 400 unit�s de logement de plus que ce qui �tait propos� au printemps.

Voir la suite.
Voir aussi ce billet.

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C'est dans le cadre enchanteur de la Base de plein air de Sainte-Foy [billet] et en pr�sence de la chanteuse et com�dienne V�ronique Dicaire, marraine d'honneur provinciale de la Marche du coeur 2006, qu'avait lieu dimanche dernier cet �v�nement annuel visant � appuyer la Fondation des maladies du coeur dans sa mission.

Faisant fi de la pluie glaciale � l'aube, les participants et les nombreux b�n�voles ont �t� r�compens�s par le retour de la chaleur et l'apparition de belles �claircies peu avant le d�part officiel, � 11h00 (photo ci-haut).

Outre la compagnie de la sympathique marraine d'honneur et de plusieurs personnalit�s publiques dont Jean-Claude Crouzet (chef ex�cutif de l'Astral), l'auteur-compositeur �tienne Drapeau, l'accord�onniste Denis C�t�, les Mini-Toupies et une amuseuse publique, notamment, assumaient l'animation de cette activit� pancanadienne qui coincidait avec la Journ�e mondiale du coeur.

Le site de la Fondation des maladies du coeur. � consulter aussi, ce billet.

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Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 25 septembre 2006.

Figurez-vous une � capitale nationale � avec plus d�espaces � bureaux, de plus grandes superficies industrielles, plus d�emplois... mais pas n�cessairement plus de monde � embaucher. C�est l�intriguant tableau r�gional que dresse la Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec (CMQ) pour l�ann�e 2021.

Dans son �tude publi�e hier, qu�elle d�crit comme � le document le plus complet r�alis� � ce jour (...) en mati�re d�am�nagement du territoire (de la r�gion de Qu�bec) �, la CMQ estime en effet que les environs conna�tront une croissance notable dans plusieurs domaines, mais pas sa population. (...)

La suite. � consulter aussi, ce billet.

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C'est avec tristesse que j'ai appris cette nouvelle hier matin, me rappelant du m�me coup une visite de M. Latulippe � l'�poque o� je fr�quentais le c�gep F.-X. Garneau.

� l'instar de Luc-Andr� Godbout (hommage d'Agn�s Maltais) et de Louis Fortier, ce personnage aura marqu� de fa�on constructive, positive, l'histoire r�cente de Qu�bec par l'exemple de sa d�termination et de son d�vouement envers la communaut� � la fin des ann�es 70 et dans les ann�es 80.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 25 septembre 2006.

Phil Latulippe est mort dimanche � l'�ge de 87 ans. L'athl�te de Cabano, dans le Bas-Saint-Laurent, avait d�cid� � 49 ans de se lancer dans la course de longue distance alors qu'il demeurait � Loretteville. (...)

La suite et cet autre article (Le Soleil).

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Dire que "dans mon temps", au sortir de l'universit� dans le milieu des ann�es 80, il y avait en moyenne un emploi disponible pour 180 postulants - j'exag�re � peine! ;-)

Sans vouloir �tre trop pessimiste, la question demeure d'actualit� au sein des groupes qui d�fendent les droits des personnes vivant la pauvret� au quotidien: jusqu'� quel point ces nouveaux emplois sont bien r�mun�r�s et stables?

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 24 septembre 2006.

Avec un taux de ch�mage de 4,7 % et un taux de croissance annuel de pr�s de 4 %, la r�gion de Qu�bec affiche l�une des �conomies les plus florissantes au pays, flirtant m�me avec les villes de l�Ouest.

En juillet, le taux de sans-emploi est m�me descendu � Qu�bec sous la barre des 4 %, � 3,9 %. � ce rythme, c�est presque le plein emploi, dit-on chez Emploi-Qu�bec.

Une situation qui tranche avec celle observ�e � l�autre bout de la 20, alors que le taux de ch�mage dans la m�tropole s��l�ve � 8,3 %.

Dans ce contexte, pas �tonnant que certains employeurs ont mal � recruter des forces vives. � C�est serr� dans tous les secteurs et cette situation devrait perdurer au cours des prochaines ann�es �, pr�vient Michel Gingras d�Emploi-Qu�bec.

Voir aussi ce billet.

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Vendredi dernier marquait l'ouverture du nouveau tunnel reliant le stationnement D'Youville (photos: entr�e est et image ci-haut) � Place Qu�bec (entr�e ouest et image ci-bas).

Ce lien pi�tonnier souterrain d'une longueur de 75 m s'ajoute maintenant au r�seau reliant les principaux immeubles de la Colline parlementaire.

� consulter aussi, ce billet.

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Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo, 21 septembre 2006

Les art�res commerciales de l�arrondissement La Cit� s�animeront, le 30 septembre prochain, � l�occasion de la premi�re �dition de l��v�nement �Culture et saveurs dans les rues de Qu�bec�. Initiative du Centre local de d�veloppement de Qu�bec et des neuf associations de gens d�affaires du secteur, ce grand rendez-vous proposera une panoplie d�activit�s destin�es � toute la famille.

�Chacun des volets inscrits � la programmation de cette journ�e permettra de d�couvrir, ou red�couvrir, les art�res commerciales. Toutes uniques de par leur architecture et leur histoire, ces derni�res se d�voileront au public sous diff�rents th�mes, notamment par l�entremise d�activit�s toutes aussi originales les unes que les autres�,

Voir la suite.

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Entendu hier en fin de journ�e sur les ondes de Radio-Canada: "Tout le monde avait son excuse pour avoir utilis� la voiture"! Qu�bec a d�cid�ment des cro�tes � manger pour rattraper le modernisme, en mati�re de transport urbain, de villes europ�ennes moins populeuses telles que Strasbourg, un exemple parmi tant d'autres...

Consolation: une temp�rature superbe pour l'�v�nement, ou plut�t ce geste symbolique tout de m�me bien organis�, contrairement � l'ann�e derni�re o� il tombait des clous [billet]...

Dans l'ordre:
Photo 1: Place D'Youville: les trams europ�ens (initiative d'Acc�s transports viables;
Photo 2: Place D'Youville: "70 personnes max. dans un autobus, 15 personnes max, dans trois autos";
Photo 3: Rue Saint-Jean "sans ma voiture";
Photo 4: Rue Saint-Jean "sans ma voiture".

Voir aussi ces deux billets.

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La version papier de l'article fait mention de la construction de 250 � 350 unit�s; un projet de 30 � 50 millions $...

Source: Baptiste Ricard-Ch�telain, Le Soleil, 22 septembre 2006.

Quelque 80 locataires �g�s de la R�sidence Grande-All�e craignent de se retrouver � la rue, victimes �ventuelles d�un vaste projet immobilier financ� par le pharmacien Michel Cadrin. La trentaine de travailleurs toujours en poste seraient alors remerci�s.

L�incertitude r�gne dans la r�sidence priv�e sise au coin de la rue Turnbull, dans la haute ville de Qu�bec. Au cours de la derni�re ann�e, le nombre de chambres occup�es a fondu de moiti�, le gestionnaire ne relouant plus les logis vacants.

� �a donne un climat d�ins�curit� �, convient le gestionnaire, Serge Pelletier. Les personnes �g�es craignent de perdre leur milieu de vie. Certaines d�cident d�ailleurs de partir imm�diatement.

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Voici quelques extraits de la chronique de Fran�ois Bourque publi�e ce matin et intitul� La campagne en ville, en lien avec l'important projet immobilier du promoteur Marc Simard [billet]...

D�cid�ment, M. Bourque m'enl�ve les mots de la bouche dans son "cri du coeur"! ;-)

Source: Le Soleil, 23 septembre 2006.

(...) C'est l�, devant le fleuve, derri�re les arbres, que le promoteur veut construire des condos. Ce serait un sacril�ge. Un sacril�ge de laisser en jach�re un si beau terrain, si pr�s de la ville, � une �poque o� l'on peste contre l'�talement urbain.

Le pr� appartenait aux soeurs Notre-Dame d'Afrique. Perdu derri�re un bois�, entre le Coll�ge J�sus-Marie et la maison Michel Sarrazin. Invisible. Inutile. Il n'a jamais �t� accessible au public.

Si la ville de Qu�bec l'autorise, on y construira 120 condos et la bordure de la falaise deviendra une promenade publique.

Les immeubles projet�s n'auront pas de voisins imm�diats, n'obstrueront aucune vue, ne feront d'ombre � personne. On les remarquera � peine en roulant sur le chemin Saint-Louis.

L'ancienne ville patrimoniale est int�gr�e � l'ensemble. Les b�timents occuperont seulement 14% de la superficie du domaine. Presque tous les arbres en bonne sant� seront conserv�s et le bois� deviendra un parc public, ce qui serait impossible avec des constructions de basse densit�. (...)

Si un projet comme celui-l� ne passe pas, le message sera clair. On laisse en friche les falaises de Sillery et on retourne planter des bungalows aux limites de la ville.

Ce serait contraire aux valeurs de l'urbanisme moderne. Mais � Qu�bec, on ne se surprend plus de rien. La timidit� l'emporte souvent sur l'audace et la cr�ativit�.

Des citoyens s'opposeront au projet Benmore. Comme ils s'opposeront aux cinq autres projets soumis ces jours-ci � la consultation publique. Ils seront contre. Par principe. (...)

Contre l'id�e de construire en hauteur. Ils trouveront que 10, 11 ou 12 �tages, c'est trop pour Qu�bec. M�me si l'immeuble ne cache personne et qu'il sera peu visible de la rue. (...)

Des citoyens craindront que l'ajout de 1000 logements sur les propri�t�s religieuses de Sillery aggrave le probl�me de circulation.

C'est vrai que le chemin Saint-Louis est congestionn�. Trente minutes le matin et 30 minutes le soir. De septembre � juin. En �t�, rien. Jamais de trafic. Pourquoi? Parce que le trafic � Sillery est caus� par les �coles. Pas par les ensembles r�sidentiels. (...)

L'architecte Pierre Thibaut [projet Benmore] n'a pas beaucoup construit � Qu�bec, mais son talent est connu et a souvent �t� prim�. Il a enseign� � l'Universit� Laval, � Cambridge, Nancy, Gen�ve. (...)

Les labos d'AEterna, le Mus�e de Baie-Saint-Paul. Allez voir dans Internet: on reconna�t sa signature: transparence, lumi�re, respect de l'histoire et des lieux (...)

Il propose � Sillery un projet avant-gardiste, �cologique et �l�gant. Le genre d'immeuble qui gagne des prix d'architecture: "Je suis tann� de voir �a juste � Barcelone", dit-il. Et vous?

� consulter aussi, ce dossier. Aussi, ce billet (AEterna).

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Cette nouvelle s�rie de photos date de la semaine derni�re. Les changements s'annoncent pour �tre des plus spectaculaires � l'ouest du pont Dorchester!

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction NE � partir du pont Dorchester (d�but des travaux);
Photo 2: Vue en direction SO � partir du pont Dorchester;
Photo 3: Vue vers le SE � partir du pont Drouin;
Photo 4: Vue vers le NO � partir du pont Drouin.

Voir aussi l'�tat des travaux de la phase III, ainsi que ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 22 septembre 2006.

Une centaine de chefs de file dans les domaines �conomiques, politiques et scientifiques de la r�gion sont r�unis au Ch�teau Frontenac pour manifester leur appui � la cr�ation d'un centre de sciences � Qu�bec.

Les dirigeants d'une quarantaine de grandes entreprises de la r�gion, l'Universit� Laval, les commissions scolaires, les chambres de commerce et plusieurs groupes de recherches appuient notamment le projet.

Cet endroit interactif comprenant des laboratoires vise � favoriser l'�veil des jeunes aux sciences et aux technologies. Ce lieu servirait aussi � la mise en valeur des entreprises scientifiques de la r�gion.

La fondation Alcoa de l'Aluminerie Deschambault annonce un don de 75 000 $ pour la cr�ation d'un bureau servant � mettre sur pied le projet qui est dans l'air depuis 2001.

Des vingt plus grandes villes du Canada, Qu�bec est la seule � ne pas �tre dot�e d'un tel centre.

� consulter, ce billet.

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Source: Louise Lemieux, Le Soleil, 21 septembre 2006.

De 250 unit�s de logements qu�il envisageait construire sur l�ancien terrain des S�urs Notre-Dame d�Afrique du chemin Saint-Louis, le promoteur Marc Simard en construira 150.

Deux immeubles en longueur, de 60 unit�s de logements chacun, pourraient �tre �rig�s sur la partie est du domaine et neuf maisons en rang�es construites � l�or�e du bois�, tout pr�s du b�timent des S�urs que le promoteur est en train de convertir en 16 condominiums. (...)

La suite. � consulter aussi, ce billet.

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On d�teste, ou on aime: Lebourgneuf fait souvent l'objet de commentaires dans Qu�bec Urbain!

Ces deux photos, de m�me que celle-ci, illustrent le type de d�veloppement en cours depuis quelques ann�es au nord du boulevard Lebourgneuf. � noter, ci-haut, � droite, le nouvel immeuble Le Laurim� et au premier plan, le rond-point et sa sculpture.

Rappelons qu'on est bien loin, ici, du concept futuriste "� la M�rici avec m�tro a�rien" tel qu'imagin� en 1974 [billet]...

� consulter aussi, ce billet.

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Source: �ric Moreault Le Soleil, 21 septembre 2006

Communauto aura un kiosque aujourd�hui � place D�Youville, journ�e internationale de l��v�nement En ville sans ma voiture. Paradoxe ? Pas du tout, r�pond son pr�sident, Beno�t Robert, qui voit l�auto-partage comme le � cha�non manquant � de l�offre de transports en ville. L�entreprise fond�e � Qu�bec en 1994 vient de franchir un cap symbolique important, celui des 10 000 usagers au Qu�bec � 8000 � Montr�al et 2000 dans la capitale. Le principe � les membres peuvent louer une auto gar�e pr�s de chez eux � entre dans les m�urs.

Un frein important � la croissance demeure le manque de places de stationnement, surtout dans les milieux dens�ment peupl�s. � Les administrations municipales voient souvent �a comme un accaparement de l�espace public par une compagnie priv�e. � Mais l�id�e fait son chemin. Les maires de Laval, de Wesmount et de Gatineau sont membres. � Gatineau, la Ville a m�me trois places de stationnement � l�h�tel de ville : plus d�une vingtaine de fonctionnaires utilisent les autos dans le cadre de leurs fonctions. Westmount s�appr�te � faire de m�me.

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La mairesse adh�re � Communauto

Dans un autre ordre d'id�e sur le m�me sujets, en voyant cet article, je ne pouvais rester ce fait sous silence ! � quand des �lus qui montrent l�exemple � la populace en utilisants les infrastructures en place ? Je serais curieux de voir si les dirigeants du RTC utilisent le transport en commun. Je sais que dans les cas du STS (service transport en commun de Sherbrooke) une seule personne du CA utilise ce moyen, et les autres ont �t� reproch�s de ne pas le faire�

Si bon nombre de gens utilise cette bonne id�e, cela pourrait r�duire le flot de circulation automobile. En tous cas c�est � voir.

Source: Andr� Beauvais Le Journal de Montr�al, 21 septembre 2006

La mairesse de Westmount a d�cid� de faire son petit bout de chemin pour l'environnement et elle s'est d�partie de sa voiture pour adh�rer � la formule de l'autopartage de Communauto.

Elle fera dor�navant tous ses d�placements en utilisant une petite voiture Echo de Toyota, le type de voiture mis � la disposition des membres de Communauto. �Ce ne sera pas toujours possible d'utiliser ce service, mais je pr�vois aussi me d�placer en autobus, en m�tro, parfois en taxi et m�me � pied�, affirme-t-elle.

Voir la suite.
Voir aussi cet autre article. de Judith Lachapelle du journal La Presse.

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Autre photo de couleur d�automne, dans un parc pr�s de chez-vous.

Pour les endroits � visiter par un bon apr�s-midi dimanche, voir billet pr�c�dent. Mais vous pouvez aussi tous simplement vous promener dans votre quartier et y rencontrer des endroits int�ressants.

Voir aussi ce billet.

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Source: Fran�ois Cattapan, Le Journal de l'habitation, 18 septembre 2006.

Entam� cet �t�, le projet immobilier Les Condos des M�andres, qui n�cessitera au total des investissements de 13 M$, va bon train en plein d�veloppement au coeur de Qu�bec. En tout, dans les deux phases de construction pr�vues, 16 immeubles comprenant chacune six unit�s en copropri�t� de grande qualit�, seront �rig�es. Les unit�s de condos, qui poss�dent 1 250 pieds carr�s, sont en vente � partir de 119 000 $ jusqu�� 139 000 $. Le projet est une r�alisation de la firme D�veloppements du Vallon, dirig�e par le promoteur immobilier St�phan Huot.

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 20 septembre 2006.

Le stade de soccer int�rieur, auquel les villes de Saint-Augustin et de L�Ancienne-Lorette accordent leur appui, pourrait �tre disponible plus rapidement que celui du parc Chauveau, le choix de la Ville de Qu�bec.

Pour la bonne et simple raison que toutes les infrastructures sont d�j� en place au campus Notre-Dame-de-Foy, � Saint-Augustin-de-Desmaures, alors que, pour celui du parc Chauveau, on n�en est qu�au trac� des plans.

Mais le projet, de 10 millions $ � 11 millions $, selon que l�on tient compte ou non de la valeur du terrain, ne pourra d�marrer que lorsque les garanties de subventions demand�es au Fonds d�infrastructures municipales et r�gionales auront �t� accord�es.

Voir aussi ce billet.

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Source: Alain Bouchard Le Soleil, 19 septembre 2006

Pr�s de 60 ans apr�s le d�mant�lement de celui qui roula durant 83 ans � partir de 1855, une campagne sera lanc�e ce midi pour la construction d�un nouveau tramway � Qu�bec.

L�organisation Acc�s transports viables (ATV), auteure de cette initiative, expliquera la strat�gie par laquelle elle esp�re convaincre les pouvoirs publics de r�aliser ce projet �valu� entre 700 millions $ et 1 milliard $. Un macaron promotionnel est d�j� pr�t � �tre distribu�. � Nous croyons suffisamment � notre campagne pour y investir nous-m�mes de l�argent �, a dit hier au Soleil Christian Savard, directeur d�ATV. L�organisme est l�acteur principal de la Semaine des transports, actuellement en cours � Qu�bec.

Voir aussi ce billet.
Voir aussi cet autre article.

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Gr�ce � la magie du zoom, la silhouette de ce coprin chevelu se superpose ici, au premier plan, au skyline de Qu�bec tel que vu en direction sud-est � partir du parc Cartier-Br�beuf.

Par sa forme, ce champignon comestible r�put� pour sa saveur d�licate me rappelle celle d'un nouveau gratte-ciel londonien dont l'architecture est � la fois audacieuse et controvers�e: le 30 St Mary Axe! ;-)

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Saviez vous qu�il existe un site Internet qui peut compl�ter � merveille Qu�bec Urbain !? Serge Alain, ancien collaborateur de Qu�bec Urbain, a cr�e un site s�appelant Ludovica. Ce site traitant de l�histoire de la ville de Qu�bec et de ses arrondissements, de fa�on iconographique, po�tique, et aussi d'urbanit�. (ne pas confondre avec urbanisme, ce que fait d�ja Qu�bec Urbain)

Bref c�est � d�couvrir !

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Source: Claudette Samson, Le Soleil, 19 septembre 2006.

Les Canadiens des champs sont plus malades que ceux des villes. C�est aussi � la campagne que les jeunes sont les plus enclins � se suicider et � mourir des suites d�un accident.

Apr�s avoir r�v�l� r�cemment que les Canadiens de milieu rural �taient beaucoup plus souvent ob�ses que ceux des villes, l�Institut canadien d�information sur la sant� (ICIS) revient avec de nouvelles donn�es d�boulonnant le mythe de la campagne source de sant� [le rapport en d�tail]. En fait, il n�y a pratiquement que pour le cancer et le niveau de stress que les ruraux ont l�avantage. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 19 septembre 2006

Dans son discours de la rentr�e, le recteur de l'Universit� Laval, Michel Pigeon, a dit vouloir continuer de d�velopper l'Universit� Laval. Il entend continuer d'accro�tre la notori�t� de l'Universit� Laval ainsi que le nombre d'�tudiants au 2e et 3e cycle. Le recteur soutient avoir plusieurs projets � r�aliser. Environ 145 millions de dollars ont d�j� �t� investis depuis 2002, mais il y a encore 200 millions de dollars d'investissements possibles, dont un projet de 1500 logements.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 19 septembre 2006.

Pour la premi�re fois lundi, la s�ance du conseil municipal de Qu�bec a �t� diffus�e en direct et en rediffusion au canal Vox.

Au d�but de la s�ance, la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, a accueilli les t�l�spectateurs. Quelques allusions aux gens � la maison ont aussi �t� faites au cours de la soir�e qui s'est d�roul�e dans le calme. (...)

La suite.

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Source: Jean-Fran�ois Cliche Le Soleil, 18 septembre 2006

La Ville de Qu�bec a accumul� un retard dans l�entretien et le renouvellement de ses �quipements, et, � entendre la mairesse Andr�e Boucher, le rattrapage commencera d�s le prochain budget. Quitte � hausser les taxes ou � couper ailleurs.

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L�Agit�E est un caf�-bar-spectacle qui a ouvert ses portes le 14 septembre dernier au 251 rue Dorchester � Qu�bec.

Situ� au coeur des quartiers centraux de Qu�bec, ce nouveau lieu de diffusion culturel fonctionne � la mani�re d'une coop�rative de solidarit�.

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Source: Michel B�dard Qu�bec Hebdo, 18 septembre 2006

Le conseil d�arrondissement de Beauport a accept� r�cemment en assembl�e publique de comm�morer les f�tes du 375e anniversaire de Beauport en 2009. Les �lus ont charg� du m�me coup la Division de la culture, du loisir et de la vie communautaire � prendre les mesures appropri�es pour concr�tiser la mise sur pied d�une corporation sans but lucratif compos�e de 15 personnes du milieu beauportois devant avoir pour mandat la planification, l�organisation et la gestion de ces c�l�brations.

Voir la suite.

� suivre...

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Source: Alain Bouchard Le Soleil, 18 septembre 2006

�crasante d�faite de l�automobile, ce matin � Qu�bec, dans la course annuelle v�l-auto-bus � l�heure de pointe. C�est encore une fois le v�lo qui est le grand gagnant, avec l�autobus pas loin dans sa roue.

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Voir aussi ce billet.

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Sous l�oeil amus� d�Am�lie Nadeau, Laurence Bergerat caresse deux chiens qui prennent l�air par la fen�tre d�un appartement de la rue Prince-�douard dimanche 17 septembre.

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Pourquoi est-on en retard sur le reste de l�Am�rique du Nord et de l�Europe en mati�re d'urbanisme environnementale ? Est-ce du � un manque de dynamisme, d�ouverture au changement, de paresse et/ou de l�thargie ? � Bref.

J�imaginerais bien quelque chose de ce genre � la pointe-au-li�vre ou dans un autre endroit qui pourrait recevoir ce genre de projet sans trop souffrir du �pas dans ma cour �. Consid�rant l�impact de l�humain sur l��cosph�re, ce serait int�ressant de changer de fa�on de faire pour �tre plus en symbiose avec notre milieu.

Source: Isabelle Audet La Presse, 16 septembre 2006

Au sud de Londres, le lotissement BedZED d�tonne... et �tonne. Le complexe � l'architecture futuriste est l'un des plus verts au monde. Son efficacit� �nerg�tique est telle que l'hiver, ses r�sidants n'ont qu'� se faire un th� pour r�chauffer leur appartement. Des architectes et des entrepreneurs de partout �tudient ce succ�s britannique en vue d'importer le concept dans leur pays. � quand un BedZED canadien ? La Presse s'est rendue en Angleterre, histoire de visiter ce complexe envi� et imit� partout dans le monde.

Dans une banlieue du sud de Londres, 200 personnes habitent dans un complexe ultra-�cologique. BedZED est un mod�le d'architecture verte et de d�veloppement durable. Tant et si bien que ses r�sidants vivent malgr� euxsous les feux de la rampe. Allemands, Chinois, Nord-Am�ricains... les nombreux visiteurs se posent la m�me question:comment les cr�ateurs du complexesont-ils arriv�s � cr�er une communaut� aussi verte?

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Voir aussi ce lien.

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Source: Alain Bouchard Le Soleil, 16 septembre 2006

Le chef cuisinier du Ch�teau Frontenac, Jean Soulard, adepte du triathlon, promet cette ann�e de passer de la deuxi�me � la premi�re place sur sa b�cane, dans la course auto-bus-v�lo qui aura lieu demain, � Qu�bec, � l�occasion de la Semaine des transports collectifs et alternatifs.

Actuellement en Suisse, M. Soulard a fait passer ce message par Christian Savard, d�Acc�s Transports viables, groupe organisateur de cette semaine th�matique, qui aura lieu du 17 au 25 septembre. Son lancement avait lieu � la mairie de Qu�bec mercredi.

� l�heure de pointe du matin, trois automobilistes, trois cyclistes et trois passagers d�autobus disputeront une course vers la place D�Youville, � partir de Charlesbourg, de Sainte-Foy et de L�vis. La course de l�an dernier avait d�montr� que le v�lo est le moyen de transport le plus rapide au centre-ville � l�heure de pointe.

Voir aussi ce billet.

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Profiter des belles couleurs d�automne, avec les belles journ�es que nous auront d�ici deux jours et s�rement durant les prochaines semaines, pour admirer cette saison, avant la grisaille de novembre. Pas besoin n�cessairement de s��loigner dans le fond d�un bois pour admirer ce spectacle. (mais c�est quand m�me plus int�ressant�)

Le Bois-de-Coulonge, le Domaine de Maizerets, le Parc de la Chute-Montmorency, ainsi que le Bois� des Compagnons de Cartier. Il y a aussi la Base de plein-air de Ste-Foy, le Parc de la chute Kabirkouba (Loretteville), La plage Jacque-Cartier, ainsi que les Marais du Nord� pour ne nommer que ceux-l�, vous permettra de vous r�galer.

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Source: David Sparrow Le journal de l'Habitation, 30 ao�t 2006

C'est sous la pr�sidence d'honneur de l'ex-maire de la Ville de Qu�bec, Jean-Paul L'Allier, qu'auront lieu, en octobre prochain au Centre des Congr�s de Qu�bec, les �tats g�n�raux de l'am�nagement du territoire et de l'urbanisme au Qu�bec.

Voir la suite.

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Source: Lise Fournier, Le Soleil, 15 septembre 2006.

Le taux d�inoccupation dans les immeubles � bureaux de la capitale n�a jamais �t� aussi bas. Il vient d�atteindre un seuil historique de 3,7 %. C�est presque la p�nurie. Ce taux d�inoccupation est m�me parmi les plus faibles au Canada apr�s Calgary qui se situe � 2,2 %. Par comparaison, le taux de vacance est de 11 % � Montr�al. (...)

Plusieurs projets sont d�ailleurs sur la table, mais aucun d�entre eux n�a encore lev�. Parmi ceux annonc�s, il y a une tour � bureaux de neuf �tages � l�angle du boulevard Charest et de la rue Dorchester. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 15 septembre 2006

Lundi apr�s-midi. Intersection Charest et de la Couronne, en plein centre-ville de Qu�bec. Pas une, mais quatre voitures grillent le feu rouge. Les automobilistes qui ont droit au feu vert ne klaxonnent m�me pas. � quoi bon ? C�est la loi du plus fort dans les rues de Qu�bec.

Voir la suite.
Voir aussi cet autre article.

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C�gep Limoilou (campus de Charlesbourg), hier apr�s-midi. En r�f�rence bien s�r aux tragiques �v�nements de Dawson, mercredi.

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Source: R�gys Caron Le Journal de Qu�bec, 15 septembre 2006

L'Institut national de recherche scientifique (INRS) s'appr�te � investir 60 millions de dollars dans la construction de nouveaux laboratoires lourds dans le Parc technologique du Qu�bec m�tropolitain.

Un nouveau b�timent sera construit au co�t de 19,5 millions en bordure du boulevard du Parc technologique pour y loger des bureaux sur deux �tages et cinq laboratoires lourds dont les �quipements co�teront 40 millions. Les travaux de construction d�buteront d�s le 1er octobre et l'�difice sera livr� en juillet 2007.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 15 septembre 2006.

La Ville de Qu�bec a pr�sent� vendredi matin le nouveau r�le d'�valuation qui servira � calculer les taxes municipales et scolaires pour les trois prochaines ann�es.

La valeur fonci�re des maisons augmente en moyenne de 39,1 %. La valeur moyenne d'une propri�t� passe donc de 112 000 $ � 156 000 $.

Le secteur de Vanier subit la plus forte augmentation avec une hausse de 43,4 %. Qu�bec, avec 42,9 %, et Lac-Saint-Charles, avec 41,7 %, font partie des secteurs o� les hausses sont les plus importantes.

La suite. Voir aussi ce communiqu�.

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... cette fois � partir de la 80e Rue, par un temps doux et brumeux, alors que profitant de mon cong� j'allais dans le secteur bois� de la "Montagne des roches" pour aller photographier quelques champignons! ;-)

� consulter aussi, ce billet.

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Source: Gilbert Leduc et Philippe Mercure, Le Soleil, 14 septembre 2006.

La ville de Qu�bec continue d�avoir le vent dans les voiles. En effet, selon le Conference Board, Qu�bec devrait enregistrer, en 2006, une � solide � croissance �conomique. Son produit int�rieur brut (PIB) r�el devrait augmenter de 3,7 %.

� ce chapitre, Qu�bec ne c�de le pas qu�� trois autres villes canadiennes, Calgary, Edmonton et Saskatoon, r�v�lent les plus r�centes pr�visions �conomiques d�voil�es, hier, par le Conference Board.

� Plusieurs projets importants de construction non r�sidentielle acc�l�reront la croissance du secteur de la production de biens alors qu�un rythme de cr�ation d�emplois soutenu stimulera les d�penses des m�nages �, a expliqu� Mario Lefebvre, directeur du Service des notes de conjoncture m�tropolitaine au Conference Board.

C�est la deuxi�me ann�e cons�cutive que l�organisme de recherche classe Qu�bec parmi les villes affichant l�une des �conomies les plus florissantes au pays.

� consulter aussi, ce billet.

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L'H�tel Four Points by Sheraton et le restaurant-bar Le Griff� [photo 1] continuent leurs op�rations normalement et voient m�me leur achalandage augmenter. La phase 1 condos [photo 2] voit maintenant son rev�tement ext�rieur quasi termin�. Le terrassement est en cours.

Le dossier du Marigot est d�sormais entre les mains du syndic pour une vente: http://www.gtvh.com/fr/nouvelles/hotel-golf-marigot.29.htm.

� consulter aussi, ce billet.

Merci � Jean-Michel Gauvin pour ses photos et son commentaire.

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Les campus intercommunautaires de St-Augustin (Source: Encyclop�die Wikip�dia)

Cet ensemble de pr�s de vingt �difices situ�s au sud-ouest du lac Saint-Augustin a �t� b�ti vers 1965 par plusieurs communaut�s religieuses qui voulaient regrouper leurs ressources pour mettre sur pied deux institutions d'enseignement: l'�cole normale Notre-Dame-de-Foy (aujourd'hui le Campus Notre-Dame-de-Foy ou CNDF), et le S�minaire Saint-Augustin (plus tard le Coll�ge Saint-Augustin, aujourd'hui ferm�). Les b�timents sont partag�s en deux groupes, autour de chacune des �coles, c'est pourquoi on dit au pluriel les campus. (...)

"Nouvel urbanisme"? Pourquoi pas! J'ai toujours trouv� des plus attrayants ces immeubles de la ville "d�fusionn�e" que je trouve, malgr� leur �ge, tr�s actuels et des plus �l�gants dans leur grande simplicit�, en particulier les plus �lev�s.

Je ne suis pas un sp�cialiste, mais � mon avis, ce type d'�difices am�nag�s en "campus" devrait inspirer de futures constructions � usages mixtes sur de grands terrains vagues au centre-ville, notamment celui de la Pointe-aux-Li�vre [billet]: �a nous changerait de l'affligeant "trois �tages et demi � brique brune" qui semble �tre la norme des complexes r�sidentiels construits depuis trois d�cennies dans la r�gion...

Voir aussi ce billet.

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Communiqu� de presse (via Yvan Dutil):

D�s le vendredi 15 septembre, un nouveau tunnel reliant le Centre des congr�s de Qu�bec au stationnement D'Youville sera mis en service et accessible tous les jours, de 6 heures � 24 heures. R�alis� au co�t de 1,5 M$ par la Soci�t� immobili�re du Qu�bec (SIQ), ce lien int�rieur s'ajoute � celui qui relie d�j� le Centre des congr�s au stationnement de l'�difice Marie-Guyart. Ainsi, les stationnements de la Soci�t� Parc-Auto du Qu�bec (SPAQ) pr�s du Centre des congr�s (Place Qu�bec, Marie-Guyart et D'Youville) offrent quelque 3 775 places, toutes accessibles facilement par voie int�rieure.

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Source: Fairchild aerial survey Co.

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Source: R�seau du forum social de Chaudi�re-Appalaches, 8 septembre 2006.

16 Septembre, 2006 - 2:00pm Lieu historique national Cartier-Br�beuf 175, rue De L'Espinay

Arpentez les rues du quartier en compagnie d'un historien. Au fil de la balade, d�couvrez les richesses patrimoniales et historiques qui ont forg� le paysage et la personnalit� du Vieux-Limoilou.

Renseignements et r�servations : 641-6601, poste 3676.

� consulter aussi, ce billet.

Merci � Julien Dallaire, guide historique, pour ses pr�cisions concernant cette int�ressante activit� qui reviendra l'an prochain!

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Source: site Semaine des transports collectifs et alternatifs 2006.

Pour une troisi�me ann�e cons�cutive, la Ville de Qu�bec se joint au mouvement international En ville sans ma voiture!. Nous vous invitons, le vendredi 22 septembre 2006, � venir profiter du secteur sans voiture du Vieux-Qu�bec de 9h30 � 23h. (...)

La programmation de la Semaine sans voiture. Voir aussi ce billet (STCA 2005).

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 13 septembre 2006

Le ministre responsable de la r�gion et ministre des Transports, Michel Despr�s, estime que le projet de Tramway � Qu�bec n'est pas une priorit�. Le projet semble cependant b�n�ficier d'un capital de sympathie � Qu�bec. En juin dernier, la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, �tait d'ailleurs all�e faire l'essai du nouveau tramway � Bordeaux et elle en �tait sortie ravie.

Voir la suite.
Voir autre billet.

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Source: Pierre Couture, Le Soleil, 12 septembre 2006.

Apr�s des mois d�attente, la Maison Simons a finalement eu le feu vert pour doubler la superficie de son magasin de Place Sainte-Foy.

� On va en faire notre vaisseau amiral �, a indiqu� hier au Soleil le pr�sident Peter Simons.

Le magasin de Place Sainte-Foy, qui s�av�re l�un des plus rentables de l�entreprise sp�cialis�e dans la vente de v�tements de milieu et haut de gamme, passera graduellement de 56 000 � 100 000 pieds carr�s d�ici l��t� 2009. Les travaux devraient d�buter au printemps prochain.

Voir aussi ce billet.

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Tel est le titre de la longue missive que je viens de recevoir, dont voici l'introduction. J'ai pens� qu'il �tait tout � fait pertinent de la reproduire dans son int�gralit� en regard de ce r�cent billet... et pour l'amour de la musique � Qu�bec!

Bonjour Monsieur Cazes,
voici un texte d'opinion co-sign� par une vingtaine d'employ�s/musiciens concernant la fermeture du Caf�-Bar. Nous l'avons fait parvenir aux principaux m�dias �crits francophones, mais croyons qu'il est susceptible de vous int�resser puisque vous avez pr�c�demment abord� la question sur Qu�bec Urbain.

L�Emprise du jazz � Qu�bec�

La fermeture envisag�e du Caf�-Bar L�Emprise de l�H�tel Clarendon, � Qu�bec, a de quoi surprendre. Ce lieu, qui servit de d�cor au long m�trage de L�a Pool, La femme de l�h�tel, est surtout r�put� pour avoir pr�sent�, durant plus de 25 ans, des artisans du jazz s��tant inscrit dans l�univers musical de plus d�une g�n�ration. Cette petite Mecque du jazz a ainsi re�u, au fil du temps, des artistes tels Vic Vogel, Steve Amirault, Fran�ois Marcaurelle, Diana Krall, John Zorn, Ray Downes, Dave Douglas, Garrisson Fewell, Michel Donato, Jan Jarcyk, Maurane, Renaud et bien d�autres. La fermeture probable secoue d�autant plus le milieu du jazz qu�b�cois, que tous ont � l�esprit l�achalandage de l�endroit, son ambiance unique mais surtout la qualit� des performances qui s�y d�roulent. Pourtant, il ne serait pas si inusit� que culture et commerce ne fassent pas, une fois de plus, bon m�nage. Mais il est tout de m�me saisissant de constater qu�un endroit aussi envo�tant, non pas seulement par l��loquence de son architecture art-d�co ou son ambiance feutr�e, que par sa l�gendaire diffusion des musiciens jazz qu�b�cois, en vienne � remettre en question l�existence m�me de ce petit joyau culturel. Petit, certes, mais pourtant de renomm�e internationale.

Les administrateurs de l�H�tel Clarendon jonglent avec l�id�e de mettre fin � la programmation jazz du Caf�-Bar L�Emprise d�s le mois d�octobre. Or, il y a fort � parier que la r�action du public de la Vieille Capitale ou de la client�le touristique et locale qui fr�quente son restaurant gastronomique, Le Baillairg�, ainsi que les charmantes chambres de cet h�tel quatre �toiles, tous surpris par la rumeur, puissent leur rappeler que le jazz est exactement ce qui distingue le Clarendon de ses comp�titeurs. Il n�est pas rare d�entendre les clients de l�h�tel dire qu�ils ont choisi d�y loger parce qu�on leur avait recommand� les soir�es jazz qui s�y d�roulent. Et nombreux sont les clients qui pr�f�rent fr�quenter la plus vieille salle � d�ner au Canada afin de pouvoir b�n�ficier des premi�res notes du spectacle, tenu dans le bar adjacent. Nous questionnons ainsi l�impact qu�aurait la fermeture du bar sur l�achalandage de l�h�tel et de ses diff�rents services. Car il n�y a pas que dans l�imaginaire collectif des gens de la r�gion que Clarendon rime avec Jazz : presque tous les week-ends, musiciens et m�lomanes canadiens, am�ricains et europ�ens passent prendre le pouls de la vivacit� du jazz qu�b�cois � L�Emprise�

Mais alors, pourquoi attenter � une tradition si solidement ancr�e, � une exp�rience des plus in�dites � l��poque des h�tels-boutiques et autres formules ax�es sur une approche distinctive plut�t que sur une consommation homog�ne de masse ? Il semble bien que ce soit d� � une r�cente diminution des recettes. L�id�e d�exiger un co�t d�entr�e, aussi s�duisante puisse-t-elle para�tre, pourrait aussi ne pas entra�ner les r�sultats escompt�s : se r�fugiant derri�re ce pr�texte, plusieurs clients seraient tent�s de diminuer leur consommation pr�tendant, non sans raison, avoir d�j� acquitt� leur juste part. Adjoindre le bar � la salle � d�ner, afin d�ainsi accro�tre l�auditoire potentiel pour les soir�es jazz, ou encore augmenter la visibilit� de ce lieu de diffusion par de la publicit� cibl�e, voire m�me renouveler un mobilier vieillissant sont autant de solutions envisag�es par les habitu�s de L�Emprise. �Malgr� le fait que la majorit� de la client�le du Clarendon b�n�ficie d�un acc�s Internet, raconte un client, il est toujours impossible de consulter la programmation � venir sur le site de l�H�tel�. Un s�rieux coup de barre devient imp�ratif afin de mieux accorder le lieu aux attentes et particularit�s de sa client�le.

Les co�ts relatifs � la tenue de soir�es jazz sont sommes toutes assez limit�s comparativement aux nombreux b�n�fices pour les autres services offerts par l�h�tel, notamment en ce qui concerne l�image distinctive que projette ce type d��v�nements. Il s�agit certes d�un b�n�fice symbolique, intangible � premi�re vue et difficilement quantifiable. Mais consid�rant qu�il y a plus de vingt-cinq ans que l�H�tel Clarendon �uvre dans le milieu du jazz de la Vieille Capitale, parions que c�est exactement cette particularit� qui enveloppe le plus vieil h�tel de Qu�bec d�un esprit si vivant. Ainsi que le disait un musicien am�ricain, qui se produit chaque ann�e � L�Emprise depuis pr�s de dix ans : �Jazz gives a soul to this place!�. Et les musiciens locaux ne peuvent qu��tre de son avis.

Il est effectivement surprenant � quel point le nombre de musiciens jazz de qualit� s�accro�t dans une r�gion o� l�on retrouve pourtant si peu de sc�nes consacr�es � leur art. La fermeture de L�Emprise viendrait donc assombrir le milieu du jazz, ne pouvant d�sormais plus compter sur un diffuseur r�gulier et capable d�offrir une visibilit� qui va parfois bien au-del� des fronti�res. �Avant m�me d�entreprendre ma formation, je r�vais de jouer au Clarendon� me disait une des plus charmantes voix de la r�gion. Trouver une sc�ne sur laquelle promouvoir son talent exige souvent un niveau d�organisation et des ressources auquel trop peu de musiciens de la r�gion peuvent aspirer. Consciemment ou non, c�est exactement cette mission de diffuseur du jazz local que joue le Clarendon. Mais il est dommage que ce ne soit qu�accul�e au pied du mur, une fois menac�e de fermeture, que l�on doive s�apercevoir du r�le primordial de cette petite sc�ne sise au c�ur du Vieux-Qu�bec.

Bien au-del� de ces solutions envisag�es, un fait demeure; l�existence de ce temple du jazz repose d�abord et avant tout sur ceux et celles qui ont contribu�s � ce que s�y forge, durant plus d�un quart de si�cle, une tradition. C'est-�-dire sur vous, m�lomanes/clients de tous statuts, de toutes origines ayant pour trait commun d�aimer se laisser envo�ter par les ambiances jazz.

Par : Dave G. Pelletier, Vincent Gagnon, Fran�ois C�t�, Guillaume Bouchard, Raynald Drouin, Michel C�t�, Renaud Paquet, Pierre C�t�, Danielle Viens, Virginie Hamel, Annie Poulain, Danya Ortmann, Jasmin Cloutier, Denis Pouliot, Simon L�vesque, Martine Bouinot, Mireille Boily, Dominic Gobeil, Philippe C�t�, Yves Jacques�

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Peut-�tre suis-je impatient, voire pessimiste...

Le 26 avril 2006, Qu�bec urbain rapportait la construction imminente de deux importants immeubles rutilants sur le boulevard Laurier pour occupation en 2007 [billet]. Pourtant, lors de mon passage le 24 ao�t dernier dans le secteur, rien n'avait boug�, m�me que le Bureau en Gros occupant un horrible et surtout tr�s plat �difice d'allure pr�fabriqu� (photo ci-haut, � droite) affichait dans ses vitrines divers rabais pour la rentr�e scolaire...

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Pour les lecteurs de Qu�bec Urbain, les toitures solaires existe � Qu�bec, pas beaucoup certe, mais il y en a ! Juste de souhaiter que cela se r�pande et que les prix continus � descendre... Pourrait-on avec l'autonomie �nerg�tique enlever nos pyl�nes hydro�lectrique ? On peut r�ver quoi !

On peut r�ver aussi de l�autonomie � plus grande �chelle, voir m�me d'�tre moins d�pendant d'un syst�me qui peut comme durant la crise du verglas, se planter. Quel changement cela aurait t�il sur le paysage urbain � Qu�bec.

Source: Gilles Angers, Le Soleil, 8 septembre 2006

Dans quelques ann�es, plusieurs entreprises de construction du Qu�bec des plus s�rieuses ajouteront � leur palette de produits les toitures solaires. Non seulement le directeur g�n�ral adjoint du programme Qualit�-Habitation de l�Association de la construction du Qu�bec (ACQ), Robert Linteau, en est persuad�, mais cela lui para�t in�vitable.

Apr�s Novoclimat dont elles se r�clament g�n�ralement, continue-t-il, ces entreprises viendront soutenir l�autonomie �nerg�tique r�sidentielle fond�e sur cette source d��nergie propre, in�puisable et gratuite. Plus de particuliers s�y int�ressent d�ailleurs eu �gard � la flamb�e appr�hend�e des prix de l��nergie et aux id�aux li�s au Protocole de Kyoto.

Voir la suite.

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Source: Damien Rousseau, Qu�bec Hebdo, 25 ao�t 2006.

Le d�part presque simultan� des Fernand Gignac et Claude Blanchard permet aux Qu�b�cois d'�voquer le souvenir d'une �poque marquante de la vie de la capitale, celle o� le night life contribuait largement � sortir la ville de la torpeur caract�ristique de l'apr�s-guerre. Si les drames humains frappaient � qui mieux mieux les quartiers pauvres du centre-ville, l'espoir s'allumait � travers les performances artistiques ou sportives de saltimbanques qui souvent provenaient eux aussi des couches populaires. (...)

La suite.

Merci � Pascal pour nous avoir signal� cet excellent article!

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Source: Ville de Qu�bec

Je clique sur Qu�bec! regroupe 69 photographies prises par des �l�ves de 5 �coles secondaires de Qu�bec, soit Cardinal-Roy, Fran�ois-Bourrin, la Relance, de Rochebelle et le Petit S�minaire de Qu�bec. Les �l�ves ont explor�, appareil photo � la main, les arrondissements historiques de Beauport, de Sillery et du Vieux-Qu�bec � la recherche d'images illustrant le mieux leur patrimoine.

Il y a de bonne prise de vue, et aussi d'original. � visiter pou d�couvrir peut-�tre de futur photographe� Voir aussi ce lien Internet.

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La Fr�gate canadienne NCSM Fredericton quitte la ville de Qu�bec en direction de Montr�al lundi le 11 septembre 2006

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Chacun a droit � son opinion; on n'est pas oblig� de la partager, et c'est mon cas ici. Il m'�tait difficile de passer sous silence ce texte publi� dimanche. Provocation? Ignorance, m�connaissance totale de l'histoire urbaine de la haute-ville? Simplement l'opinion r�pandue du "vrai monde"? N'importe quoi...

N'importe quoi (R. Mayrand, Le Soleil, Carrefour des lecteurs, 10 septembre 2006.)

Depuis quelque temps, on parle beaucoup d'un projet de construction d'une sorte de HLM [sic] sur l'�lot Berthelot, situ� tout pr�s de la colline parlementaire. �trangement, la pertinence m�me d'un tel projet ne semble pas remise en question. Il faut, dit-on, faire absolument quelque chose avec ce terrain "non productif"... Mais pas n'importe quoi!

Personnellement, j'imagine mal un HLM � cet endroit. Je ne vois pas quelle affinit� il peut y avoir entre une client�le d'assist�s sociaux [sic] et un tel environnement.

Pourquoi ne pas am�nager un parc sur cet emplacement jusqu'� ce qu'on puisse lui trouver un usage plus appropri�? Ce serait s�rement plus facile et moins co�teux � recycler qu'un HLM avec tous les probl�mes de droits acquis. Quand je pense � la ministre Normandeau qui s'est oppos�e au projet initial, le trouvant trop co�teux, quelle suggestion g�niale a-t-elle propos�e? Une construction plus cheap [sic] tout simplement. Ouah! il n'y a rien de trop cheap en effet sur l'environnement de la colline parlementaire.

� consulter aussi, ce billet.

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Source: Alain Bouchard, Le Soleil, 8 septembre 2006.

Les � parvenus � de Saint-Roch qu�a r�cemment d�nonc�s la manifestation R�clame ta rue ne sont pas des capitalistes ennemis de la pens�e progressiste, estime le philosophe Jocelyn Maclure, de Qu�bec. Ils sont plut�t des � bourgeois boh�mes � qui am�liorent la vie du quartier, dit-il.

Le Soleil a sollicit� l�avis de ce jeune penseur de 32 ans sur un certain discours ultra-radical selon lequel Saint-Roch devrait plus ou moins appartenir aux infortun�s. Assistant professeur � l�Universit� Laval, M. Maclure a une affection particuli�re pour les centres-villes, pour avoir grandi dans Limoilou. (...)

Si les manifestants en cause ont voulu indiquer que l�embourgeoisement de Saint-Roch ne doit pas se faire au d�triment des r�sidants d�avant la revitalisation, ils ont raison, commente l�homme. Mais s�ils veulent en chasser les bourgeois boh�mes, ils ont tort.

� La pr�sence de ces nouveaux r�sidants, soutient Maclure, contribue � faire de Saint-Roch un quartier branch�, dynamique et cr�atif capable de constituer un nouveau p�le d�attraction. Soit exactement ce qui manquait � Qu�bec lorsque je suis parti il y a sept ou huit ans. � (...)

� consulter aussi, ce billet.

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Source: Jean-Nicolas Patoine Le Soleil, 8 septembre 2006

Ch�teau-Bigot s�est b�ti en pleine for�t, dans le nord-est de Charlesbourg, autour des ruines d�un manoir. Dans cette coquette banlieue, les l�gendes survivent depuis des si�cles. D�ailleurs, d��tranges soupirs la hantent nuit et jour.

Voir la suite.

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Mont�e spectaculaire de la valeur fonci�re
R�gys Caron
Journal de Qu�bec

La Ville de Qu�bec d�posera vendredi le prochain r�le d'�valuation fonci�re, qui s'appliquera comme base de taxation dans l'agglom�ration pour les ann�es 2007, 2008 et 2009. La forte hausse des valeurs observ�e sur les propri�t�s depuis trois ans risque d'avoir un impact sur les comptes de taxes.

La Chambre immobili�re de Qu�bec confirmait, en mars de cette ann�e, que le prix moyen des propri�t�s r�sidentielles avait bondi de 38 %, pour atteindre 149 916 $, de 2002 � 2005. Cette augmentation a �t� observ�e dans tous les secteurs de la Ville, avait pr�cis� la Chambre immobili�re.

Dans le domaine commercial et industriel, les valeurs ont progress� de 30 %, avait affirm� �mile Larochelle, de la firme d'�valuateurs Racine, Larochelle et associ�s. Le prochain r�le viendra confirmer ou infirmer, le 15 septembre, la progression de valeurs pour les 160 000 unit�s d'�valuation (dont 150 000 r�sidences) inscrites.

La Ville de Qu�bec pourra r�duire ses taux de taxation fonci�re, de fa�on � ce que la hausse des valeurs ait un effet nul dans ses coffres. C'est d'ailleurs ce que la Ville avait fait, � la suite du d�p�t du dernier r�le d'�valuation, en 2002, lequel indiquait une progression moyenne des valeurs de 11 % pour le secteur r�sidentiel et de 8 % pour le secteur commercial et industriel.

Certains contribuables avaient pu b�n�ficier d'une r�duction de leur compte de taxes municipales, tandis que d'au-tres avaient vu leur facture bondir de 27 %, notamment dans la haute-ville de Qu�bec. Il faudra attendre le d�p�t du budget pour l'ann�e 2007, en d�cembre, pour conna�tre l'impact sur les comptes de taxes municipales. Les comptes de taxes scolaires seront toutefois major�s dans la m�me proportion que la hausse des valeurs fonci�res.

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Place des Nations, par une soir�e froide. Centre-ville de Sherbrooke.

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Difficile de ne pas �voquer l'�v�nement dans Qu�bec urbain! Voici mes trois suggestions de sites Web "incontournables" � consulter...

Au fait, que faisiez-vous le matin du 11 septembre 2001?

1) World Trade Center (de l'encyclop�die Wikip�dia);

2) World Trade Center: le site officiel o� on peut voir entre autres les projets r�cemment r�actualis�s du M�morial et de la Freedom Tower;

3) Archived Front Pages (du site Today's Front Pages): 110 pages frontispices de grands journaux au lendemain des attaques.

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Source: R�gis Tremblay, Le Soleil, 8 septembre 2006.

Depuis deux semaines, une affiche inusit�e attire le regard sur le boulevard des Capucins, coin la Canardi�re. Sur un �difice d�saffect� longeant la voie ferr�e, un gros point de mire �voque la t�l� des ann�es 50 et accompagne cette inscription : � La Mire TV Productions �. Des offres d�emploi sont placard�es dans la vitrine : on y demande des acteurs, actrices, techniciens et � mannequins � pour tourner dans de nombreux longs m�trages � Qu�bec, d�s cet automne. (...)

La suite. � consulter aussi, ce billet.

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Source: Ville de Qu�bec

Le conseil de l�arrondissement de Sainte-Foy�Sillery consulte actuellement la population sur l�avenir des propri�t�s conventuelles situ�es dans le secteur de Sillery. Il souhaite se donner des orientations qui baliseront la protection, la mise en valeur et le d�veloppement de ces endroits. Comme il tient � associer �troitement la population au processus, il a pr�vu une consultation en trois �tapes.

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Je sais que certain lecteur de Qu�bec Urbain r�pondront que c�est utopique de penser maison �cologique en plein centre-ville. Mais je pense de plus en plus qu��cologie et urbain peuvent rimer ensemble, juste question d�ouverture et de souplesse�Et aussi de patience� On verra dans le futur rapproch�, si Qu�bec s�ouvrira � des nouveaut�s.

Source: Andr� Pich� La Presse, 5 septembre 2006

Ne cherchez pas une maison de paille dans le paysage qu�b�cois, vous ne la rep�rerez probablement pas. � moins de pousser l'audace et l'indiscr�tion jusqu'� v�rifier de l'ext�rieur l'�paisseur des rebords de fen�tres, �quivalents � la largeur d'un ballot de paille. Le ballot �tant ici utilis� comme isolant principal encastr� dans une ossature de bois.

Malgr� un modeste volume, cette habitation suscite de plus en plus d'int�r�t. Mine de rien, il y aurait quelques centaines de maisons de paille au Qu�bec, diss�min�es un peu partout en zones rurales et urbaines. Pour le moment, une seule d'entre elles a lev� de terre � Montr�al, en 1999, dans le quartier Centre-Sud.

Voir la suite.

Voir aussi ce lien.

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� la demande g�n�rale, je ferai � l'occasion des billets sur ce qui devrait �tre en principe, bient�t, un important chantier de construction au coeur de Qu�bec...

On voit ici, sous deux angles diff�rents, l'arri�re de l'ex-Patro Saint-Vincent-de-Paul qui fera place � l'h�tel Bor�al. De la structure originale du b�timent, � toute fin pratique, seule la fa�ade de la partie "�glise" sur la c�te d'Abraham subsistera comme l'illustrent ces deux autres photos.

� consulter aussi, ce billet.

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Certains diront peut-�tre que ce sujet n'a pas "rap" avec Qu�bec Urbain. Et pourtant...

La nouvelle qui suit me trouble profond�ment. Je me pose cette question toute simple: quel est maintenant l'avenir d'autres groupes environnementaux face au pouvoir p�cuniaire des grosses entreprises pollueuses?

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 8 septembre 2006.

L'Association qu�b�coise de lutte contre la pollution atmosph�rique (AQLPA) est contrainte de fermer ses portes. � moins d'un revirement, la fermeture surviendra vendredi prochain. L'organisme fond� il y a 24 ans doit baisser pavillon faute d'assureur.

L'AQLPA est confront�e � une poursuite en libelle diffamatoire de 5 millions de dollars intent�e par l'entreprise AIM. L'an dernier, en obtenant une injonction du tribunal, l'AQLPA a r�ussi � freiner la construction de l'usine de la soci�t� AIM � L�vis, parce que le terrain choisi pour son usine de d�chiquetage de m�taux �tait contamin�. AIM a ainsi r�pliqu� par cette poursuite strat�gique. (...)

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Ci-haut: vue en direction ouest. En bas: dans la cour... des Cours!

� consulter aussi, ce billet.

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Ci-haut, l'immeuble en construction annex� au CHUL en date du 24 ao�t 2006. En bas, vue vers le SE � partir du boulevard Laurier.

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Source: Claude Vaillancourt Le Soleil, 6 septembre 2006

La hausse du prix de l�essence a eu son effet sur la client�le du R�seau de transport de la Capitale qui a augment� de 6,3 % durant les sept premiers mois de cette ann�e. � tel point que le RTC commande 20 nouveaux autobus, au co�t de 9,7 millions $, et il appuie sur le d�marreur pour le d�veloppement de trois nouveaux r�seaux de type M�trobus.

Le pr�sident du RTC, Guy Marcotte, n�avait que de bonnes nouvelles � annoncer, hier, lors de la r�union mensuelle de l�organisme de transport en commun. � Tout s�enligne, dit-il, pour que notre strat�gie visant � porter de 38 millions � 53 millions le nombre annuel de passagers en 2014 porte fruits. �

Car le RTC vise gros : 62 autobus articul�s sont sous commande et devraient �tre livr�s pour la fin de 2008. La construction d�un garage, pour accueillir ces mastodontes, sera annonc�e sous peu.

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Louise L�vesque profites de sa pause-d�ner pour faire un brin de lecture sur les remparts de la Batterie Royale de Qu�bec jeudi le 7 Septembre 2006

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Personnellement en g�n�ral je trouve le syst�me en place bon, mais cela n�emp�che point des am�liorations. M�me si j�ai d�j� v�cu d�avoir attendu un autobus qui n�est jamais pass�.

Source: Jean-Fran�ois Racine Le Journal de Qu�bec, 7 septembre 2006

Le service d'autobus du RTC est aux prises avec un s�rieux probl�me de fiabilit� et cet aspect majeur repr�sente plus de la moiti� des plaintes des usagers insatisfaits en 2005. Dans son rapport annuel d'activit�s 2005 publi� hier, la Protectrice de la client�le du RTC, Claudette Harvey, lance un signal d'alarme et soul�ve � nouveau un grave probl�me de fiabilit� du service de transport en commun dans la r�gion de Qu�bec.

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Source: Gilbert Leduc Le Soleil, 6 septembre 2006

La venue d�un comp�titeur du c�t� de L�vis n�inqui�te pas le Centre des congr�s de Qu�bec. Tout au plus, la directrice des communications, Ann Cantin, s�attend � perdre � un ou deux petits �v�nements par ann�e �.

� Notre concurrent, c�est le Palais des congr�s de Montr�al �, a-t-elle affirm� en soulignant que la capacit� du futur �tablissement de L�vis �tait d�un peu plus de 1000 convives alors que celle de celui de Qu�bec pouvait atteindre jusqu�� 7500 personnes. Selon Mme Cantin, le Centre des congr�s de L�vis jouera davantage dans les plates-bandes des h�tels, notamment ceux situ�s � l�entr�e des ponts, qui accueillent les congressistes.

Se r�jouissant de l�annonce, hier, d�un investissement de 8 millions $ de la part des diff�rents gouvernements pour la construction du Centre des congr�s de L�vis, le pr�sident de la Chambre de commerce de Qu�bec, Louis Duquet, a n�anmoins tenu � souligner que les deux �tablissements devront travailler en � synergie �.

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Source: Guy Benjamin Le Soleil, 6 septembre 2006

Le dernier �difice � r�nover � la place Royale, la maison Robert-Par�, sera pr�t � temps pour les F�tes du 400e anniversaire de Qu�bec. Il aura fallu plus de 40 ans pour compl�ter les travaux dans le secteur consid�r� comme le berceau de la civilisation fran�aise en Am�rique.

Voir la suite.

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Source: Daphn�e Dion-Viens Le Soleil, 6 septembre 2006

Chaque matin, des centaines d��tudiants et d�employ�s prennent le chemin de l�Universit� Laval, seuls dans leur voiture. Mais la situation pourrait changer gr�ce � un nouveau service de covoiturage, Alter �co. Il suffit de visiter le site Internet www.altereco.ulaval.ca pour s�inscrire. Gr�ce � votre code postal, un logiciel rep�rera les personnes qui habitent pr�s de chez vous, avec qui vous pourrez communiquer par courriel.

La Conf�d�ration des associations d��tudiants de l�Universit� Laval (CADEUL) chapeaute le projet, r�alis� en partenariat avec Acc�s transports viables. � L�objectif, c�est de faire un geste pour l�environnement et de d�sengorger les stationnements de l�universit� �, selon Nicolas Fontaine, pr�sident de la CADEUL.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 6 septembre 2006.

Le projet de stade de soccer couvert relance les querelles au conseil d'agglom�ration de Qu�bec.

Les Villes d�fusionn�es de Saint-Augustin-de-Desmaures et de L'Ancienne-Lorette refusent toujours de payer pour la construction du stade de soccer int�rieur au parc Chauveau.
(...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Le "Complexe Sant�" a ouvert ses portes l'automne dernier.

Voir ce billet.

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Bonjour,

Il nous fait plaisir de vous inviter � l'�dition 2006 du rallye des
Contreforts, qui se tiendra le 10 septembre prochain dans les rues du
Vieux-Qu�bec. Vous pouvez vous inscrire le jour m�me et d�buter le rallye
entre 10h et 12h au pont de parade du NCSM Montcalm, � la Pointe-�-Carcy. Il
y a de nombreux prix � gagner!

Vous trouverez plus d'information sur l'affiche ci-jointe. De plus, plusieurs activit�s sont pr�vues pour cette fin de semaine des 9 et 10 septembre en raison de la venue du HMCS Fredericton. Nous vous faisons donc parvenir �galement l'horaire de ces activit�s, que vous pourrez combiner au rallye pour une journ�e bien remplie! N'h�sitez pas � communiquer avec nous si vous avez des questions.

Au plaisir de vous accueillir pour le rallye,

Andr� Kirouac
Directeur, Mus�e naval de Qu�bec

Nathalie Bilodeau
Coordonnatrice, Rallye des Contreforts

Merci � Jean-Pierre Chamard pour m'avoir transmis cette information!

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 6 septembre 2006

Le gouvernement du Qu�bec met sur pied le Fonds du patrimoine culturel qu�b�cois, dont la cr�ation a �t� annonc�e lors du d�p�t du budget en mars. Les modalit�s de ce programme ont �t� d�voil�es par le premier ministre Jean Charest et la ministre de la Culture, Line Beauchamp, � Qu�bec.

Voir la suite.

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Source: Yvon Larose, Au fil des �v�nements, 31 ao�t 2006.

Le campus compte un nouveau b�timent. Depuis quelques semaines, une �verri�re� quatre-saisons, situ�e au centre de la cour int�rieure du pavillon Charles-De Koninck, accueille les personnes venues prendre un repas � la caf�t�ria du pavillon et d�sireuses de se retrouver dans un lieu spacieux, calme et baign� de lumi�re naturelle. Une passerelle vitr�e relie directement la caf�t�ria au nouveau b�timent de 560 m�tres carr�s construit au co�t de 3,5 millions de dollars (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Source: Marc Allard, Le Soleil, 4 septembre 2006.

Pour une quatri�me ann�e, quelques centaines de manifestants ont bloqu� la circulation dans les rues de Qu�bec, hier, � l�occasion de l��v�nement R�clame ta rue. Pourquoi, au juste ? La formule fait l�unanimit� : � prendre cong� de capitalisme �.

Ce n�est pas un hasard si le d�part a eu lieu cette ann�e sur le parvis de l��glise Saint-Roch.

� La Ville veut amener des nouveaux parvenus dans le quartier, laisser la rue aux riches �, expliquait l�organisateur Thomas B. Lis�e. En choissisant cet emplacement, les organisateurs souhaitaient d�noncer l�embourgeoisement de Saint-Roch.

Entra�n�s dans les rues de la Couronne, de la Reine et Dorchester, les participants ont ensuite d�fil� en d�ployant de larges banderoles altermondialistes et en jouant du tam-tam, sous le regard amus� des passants. Dans les rues o� les policiers avaient d�vi� la circulation, des bouchons se sont form�s.

Voir cet autre billet.

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Un nouvel immeuble � bureaux est-il en train de "pousser" sur le terrain au nord de l'autoroute de l'Atrium? Aucune affiche pour le confirmer, lors de mon passage dans ce secteur la semaine derni�re...

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 5 septembre 2006

Afin de contourner le probl�me, certains automobilistes changent d'itin�raire pour se rendre au travail ou pour retourner � la maison ou simplement partent plus t�t. La Ville de Qu�bec de Qu�bec admet que les chantiers sont nombreux, mais pr�cise qu'ils sont n�cessaires en raison des infrastructures qui datent pour la plupart des ann�es 70.

L'�t� prochain sera aussi actif de fa�on � ce qu'en 2008, il n'y ait aucun chantier majeur sur le r�seau routier de l'agglom�ration de Qu�bec.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 5 septembre 2006

L'incin�rateur de Qu�bec arrive au troisi�me rang des sources majeures nord-am�ricaines d'�missions de dioxines et de furannes, deux substances toxiques. C'est ce que r�v�le le dernier inventaire de la Commission de coop�ration environnementale de l'ALENA.

Cons�quemment, le Front commun qu�b�cois pour une gestion �cologique des d�chets demande � la Ville de Qu�bec de r�duire la combustion de ses d�chets. L'organisation incite la Ville � hausser son taux de r�cup�ration et de recyclage, qui plafonne autour de 33 %. Or, la politique provinciale exige l'atteinte d'un taux de r�cup�ration de 60 % pour 2008.

Voir aussi ce billet.

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Point de vue vers le sud, au Lac des Nations, centre-ville de Sherbrooke.
Les lumi�res vives, c'est le Mont-Bellevue, avec ses pistes de ski alpin.

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Source: Sofie bienvenue, Voir Qu�bec, 31 ao�t 2006.

Limoilou sera en f�te du 7 au 9 septembre gr�ce au Festival Envol et Macadam et � la f�te du Vieux-Limoilou, cette ann�e sous le signe des arts et m�tiers. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Raffarin au pays pour parler du 400e de Qu�bec et de francophonie

Source Cyberpresse

L'ancien premier ministre fran�ais Jean-Pierre Raffarin arrivera au Qu�bec aujourd'hui afin d'aborder cette semaine avec des �lus qu�b�cois certains dossiers de la francophonie et celui du 400e anniversaire de la fondation de la ville de Qu�bec, en 2008.

Il sera notamment re�u demain, � Qu�bec, par le premier ministre Jean Charest. Jeudi, il sera l'invit� de la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher.

M.Raffarin pr�side le comit� fran�ais responsable des f�tes de 2008. La principale contribution de la France � cet �v�nement est l'am�nagement du parc de l'Am�rique fran�aise, � Qu�bec.

L'ancien premier ministre sera �galement re�u dans les Cantons-de-l'Est, au campus de l'Universit� de Sherbrooke, o� on lui remettra un doctorat honorifique.

Il terminera sa visite au Qu�bec vendredi, � Montr�al, o� il doit avoir quelques entretiens avant de rentrer en France

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Ci-haut, vue vers le NE sur la tour principale de l'immeuble � partir du Centre M�re-Enfant (� droite). En bas, des laveurs de vitres � l'oeuvre.

Voir aussi ce billet.

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Source: Catherine Bergeron Journal de Qu�bec, 2 septembre 2006

Dix-huit g�ants des mers et leurs 19 000 passagers sont attendus, cet automne, dans le port de Qu�bec au grand plaisir des amateurs. Les citoyens de la Vieille Capitale pourront notamment admirer le Sea Princess, le 18 septembre, le Queen Elizabeth 2, le 25 septembre, et le Queen Mary II, le 17 octobre. Il y aura �galement le MS Alexander Von Humbold, le 15 septembre, qui en est � sa premi�re visite dans la capitale nationale.

Plusieurs dates sont � retenir; notamment le 18 septembre, o� trois gros paquebots feront leur entr�e dans le port; il s'agit du Amsterdam, le Sea Princess et le MS Alexander Von Humblond. Le paquebot Sea Princess s'adonnera d'ailleurs � des op�rations d'embarquement-d�barquement de passagers.

Voir la suite.

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Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 2 septembre 2006

La fermeture du Jardin zoologique fait le bonheur des animaux... de compagnie. Plusieurs propri�taires de chien se sont r�jouis hier de disposer enfin d�un parc pour promener leur b�te en laisse.

Des centaines de personnes ont particip� hier � l�ouverture officielle du parc des Moulins, sur les terrains de l�ancien zoo. Pr�sent d�s 8 h 30 hier matin, le pr�sident de la Commission de la capitale nationale, Jacques Langlois, esp�re que les citoyens s�approprieront le parc. Une quinzaine d�opposants � la fermeture du Jardin zoologique ont paisiblement manifest� pendant l��pluchette. Pancartes en main, ils distribuaient des tracts pour inviter la population � r�clamer la r�ouverture de l��tablissement.

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Louis-Guy Lemieux Le Soleil, 2 septembre 2006

Il y a un sujet, pourtant encore d�actualit�, dont personne ne veut se souvenir � Qu�bec. C�est l��pouvantable crise du logement social qui a frapp� la ville apr�s la Seconde Guerre mondiale. Pour la contrer, on avait parqu� des dizaines de familles d�munies dans des huttes militaires install�es dans ce que les militaires appelaient les � Cove Fields �, au beau milieu des plaines d�Abraham.

Ce sera le premier bidonville de Qu�bec install� dans son plus beau parc public. Une plaie dans le logement social que la m�moire collective locale a choisi d�occulter. Au moment o� la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, et la ministre de l�Habitation, Nathalie Normandeau, s�interrogent sur le logement social, � travers la coop d�habitation L�Escalier, de l��lot Berthelot, il n�est pas inutile de revenir en arri�re et de consulter l�histoire contemporaine locale.

Voir aussi cet autre article de l'auteur.

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Chemin de fer, pr�s du centre-ville de Sherbrooke.

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Parc des v�t�rans au centre-ville de Lac-M�gantic, par un bel apr�s-midi tranquille.

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Ci-haut, l'agrandissement du pavillon Ferdinand-Vandry [billet]. En bas, le Centre d'optique, photonique et laser, qui devrait ouvrir ce mois-ci.

Voir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 1er septembre 2006.

La rentr�e venue, le tabac sort des cours d'�cole.

Il est d�sormais interdit de fumer sur les terrains des garderies pr�-scolaires et des �tablissements d'enseignement primaire et secondaire du Qu�bec, aux heures de la journ�e o� y sont accueillis des �l�ves.

C'est le 1er septembre, comme pr�vu, que sont entr�es en vigueur certaines des nouvelles dispositions de la Loi sur le tabac, modifications vot�es par l'Assembl�e nationale en juin 2005. La loi renforce aussi l'interdiction de fournir du tabac aux mineurs. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Il y a un an �tait d�moli au m�me endroit le b�timent qui abritait le premier "McDo" du coin...

Voir ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 1er septembre 2006.

Qu�bec donne le feu vert � la Commission scolaire de la capitale pour son projet de nouvelle �cole dans le secteur du Vieux-Limoilou.

Cette �cole sera construite au co�t de 5,6 millions de dollars sur le terrain de l'actuelle �cole Saint-Fran�ois-d'Assise. Cette derni�re sera d�molie d�s cet automne pour laisser place au projet.

D�s janvier 2008, la nouvelle �cole pourra accueillir 350 �l�ves de la maternelle et du primaire. (...)

La suite. Aussi, cet autre billet.

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(NOTE: Je r�actualiserai ce billet � l'occasion, en y r�sumant � la fin vos suggestions... ou en ajoutant les noms de volontaires. Merci pour votre collaboration!)

Depuis mai 2005, c�est avec un plaisir sans cesse renouvel� que moi, Carol Proulx, G�rald Gobeil et Serge Alain assumons la rel�ve de Francis Vachon, photojournaliste qui a fond� Qu�bec urbain au printemps 2002...

Qu�bec urbain, c'est actuellement environ 100 000 visiteurs par mois, et s�rement le m�dia le plus dynamique portant sur le d�veloppement urbain de la ville de Qu�bec. (iXm�dia, 30 mai 2006)

D�entr�e de jeu, soyez rassur�s : nous souhaitons poursuivre notre engagement b�n�vole, encourag�s par vos commentaires enthousiastes ainsi que par l�appui et la confiance de l�h�bergeur du site, iXm�dia, sous la pr�sidence de Carl-Fr�d�ric De Celles. Mais pour que Qu�bec urbain puisse conserver, voire am�liorer ses qualit�s maintes fois reconnues, en particulier celle d��tre justement un excellent m�dia de r�f�rences quotidiennes en mati�re d�actualit�s urbaines, il est temps pour nous d�avoir, disons, un peu beaucoup de renforts...

Certes, la mission et les objectifs de Qu�bec urbain m�riteraient pour la premi�re fois d��tre clairement d�finis (tout en laissant place, bien s�r, � l�am�lioration, le site �tant par d�finition �volutif), ce que nous planifierons sans doute dans les prochaines semaines. En attendant, ceux et celles qui parcourent r�guli�rement Qu�bec urbain connaissent bien les principaux th�mes �voqu�s : il y a bien s�r l�urbanisme (Au fait, qu�est ce que l�urbanisme � l�aube du 21e si�cle � Qu�bec?), l�architecture et l��volution des r�cents projets immobiliers ou d�am�nagement (par exemple, la naturalisation des berges de la rivi�re Saint-Charles), de m�me qu'en t�te de liste la culture en g�n�ral et l�environnement coupl� � la qualit� de vie. Il serait d�ailleurs int�ressant de d�velopper ces deux derniers th�mes, question de sensibilisation, vu que des personnalit�s politiques semblent nous lire...

Il suffit de fouiller un peu dans Qu�bec urbain et surtout, d�y taper un ou des mots cl�s (par exemple, � rue Saint-Joseph �, dans le champ � Chercher �) pour constater la richesse, l�abondance des informations accumul�es (30 r�f�rences pour cet exemple depuis mars 2004, excluant celles contenues dans les archives de l�ancien syst�me) et la rapidit� � laquelle on y acc�de... m�me en utilisant un � ordinosaure � branch� sur ligne t�l�phonique!

Qu�bec urbain est donc v�ritablement un � carnet informatif � qui a fait ses preuves, consult� aussi par des journalistes professionnels. La force et la r�putation de Qu�bec urbain repose avant tout sur l'assiduit� de ses collaborateurs qui ensemble, sur une base quasi quotidienne, survolent diff�rents sites d�actualit�s (les principaux �tant Radio-Canada Qu�bec, Cyberpresse - Le Soleil et Cano�) tout en pr�cisant toujours les sources et les auteurs des photos et extraits d'articles qui agr�mentent les billets. Nous avons d�j� r�f�renc� plus d�une vingtaine de sites qui ne demandent qu�� �tre r�guli�rement consult�s pour alimenter en information fra�che Qu�bec urbain! Cette t�che de recherche sur le Web est tout � fait stimulante pour tous ceux et celles qui sont le moindrement cr�atifs, curieux ou qui ont a c�ur l��volution positive de leur ville; une t�che facile et stimulante, bien s�r, surtout si elle est partag�e entre plusieurs joueurs. Voil�!

Vous d�sirez maintenant offrir vos services b�n�voles de collaborateur � Qu�bec urbain? Nous vous proposons les deux formules suivantes, et ce, m�me si vous n�avez qu�une heure par semaine � consacrer au site:

1) Collaborateur � gestionnaire de billets � (en priorit�!!). Vous poss�dez un minimum de connaissance en html ou du moins, vous savez d�j� comment mettre � jour un blogue? Soyez le bienvenu! Il suffit au pr�alable de contacter Carl-Fr�d�ric De Celles pour vous enregistrer sur la page d�administration afin que vous puissiez par la suite, de fa�on autonome, r�diger vos propres billets! Vous verrez, c�est plut�t facile et au besoin, on vous donnera bien s�r des trucs tout en vous proposant des mod�les codifi�s de billets tir�s d�exemples d�j� en ligne...

2) Collaborateur � informateur �. Sur une base r�guli�re (ce qui suppose aller sur le Net � chaque jour, ou presque), vous souhaitez nous faire part par courriel d�un article paru dans notre source de sites (ou tir� de vos propres r�f�rences) susceptible d�int�resser les lecteurs de Qu�bec urbain? Vous avez un reportage de votre cru � nous soumettre, accompagn� ou non de photos en format 800X600 pixels? Cette formule toute simple est pour vous!

Qu�bec urbain a besoin d��tre enrichi par les � trouvailles � de ses lecteurs, leurs images urbaines ou leurs suggestions quant � leur vision de ce que pourrait �tre, par exemple, une ville � l��chelle humaine o� il fait bon vivre. Bref, peu importe le type d�engagement qui vous int�resse, n�h�sitez pas � nous joindre, moi, Carol ou Carl-Fr�d�ric. Au plaisir de recevoir votre candidature!

� consulter aussi, les billets suivants :
Je change de vie; J�ai besoin de vous pour que Qu�bec urbain (Francis Vachon, 13 mars 2005), Longue vie � Qu�bec Urbain! (Jean Cazes, 31 d�cembre 2005) et Premi�re mise � jour compl�t�e (iXm�dia, 30 mai 2006).

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Le nom de ce nouvel immeuble? "Le Saint-Roch"!

Voir le dernier billet en date du 18 janvier 2006.

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