Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’absence de transport en commun à l’aéroport Jean-Lesage suscite le mécontentement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 octobre 2016 38 commentaires

Radio-Canada

La grève des taxis à Québec a permis de réaliser que l’absence de transport en commun entre l’aéroport Jean-Lesage et le centre-ville peut représenter un casse-tête pour les voyageurs. Québec est la seule capitale canadienne de plus de 500 000 habitants qui n’offre pas de service d’autobus.

Au début octobre, des centaines de voyageurs ont été pris en otage à l’aéroport lors de la grève de l’industrie du taxi. Cette situation a été particulièrement problématique à l’auberge de jeunesse de Québec, la plus achalandée au pays avec plus de 40 000 visiteurs annuellement.

Le 5 octobre, un employé a dû se porter volontaire pour transporter les voyageurs à l’aéroport. Quand il n’y a pas grève, l’auberge propose à ses clients de partager des taxis pour économiser de l’argent, faute de transport par autobus.

La course pour l’aéroport coûte 35 $, soit 13 $ de plus que le prix d’une nuit en dortoir, explique le président du conseil d’administration Yannick Fortier.

La suite

Radio-Canada

Voir aussi : Transport en commun.


38 commentaires

  1. Marc Guy

    31 octobre 2016 à 12 h 07

    Une occasion unique de transporteur priver efficace qui rejoin des points d’activité ecomomique Hotels gare et centre d’affaire de Quebec

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  2. JFGo

    31 octobre 2016 à 12 h 41

    À partir du boul. Laurier, le 800 ou le 801 pourrait continuer vers les échangeurs, emprunter Duplessis, marquer un arrêt à la hauteur de Quatre-Bourgeois, un autre à la hauteur du ch. Ste-Foy, traverser la zone du cinéma et remonter vers l’aéroport. Ou mieux encore, à quand un Métrobus super express avec un arrêt à l’aéroport, un sur le boul. Laurier, un autre à Belvédère, puis Colline parlementaire, Place d’Youville et finalement St-Roch? Peut-être que le tronçon vers l’aéroport serait peu rentable, mais le reste le compenserait amplement, j’en suis sûr.

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  3. Marc Guy

    31 octobre 2016 à 12 h 50

    La competition au RTC est pour bientot et les citoyens vont etre gagnant . Pour le meme prix un meilleur service qui roule a demande donc qui pollue moins qu’un bus qui roule vide.
    pour en savoir plus voir ;
    http://www.citylab.com/commute/2016/10/the-end-of-public-transit/505952/

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  4. JeanDuez

    1er novembre 2016 à 08 h 42

    Les chauffeurs de taxi ont tendance a imposer leur loi.
    Pas de navettes pour l’aéroport;
    Fin de l’écolobus gratuit dans l’arrondissement historique (ce genre de service est fréquent en Europe);
    Pas de service Uber à Québec.
    Quel est leur prochain ukase ?

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  5. Jp-Duval

    1er novembre 2016 à 08 h 46

    Petite question….

    Se pourrait-ilqu’il n’y ait pas de services pour la simple raison que la perspective d’achalandage y est anémique?

    C’est bien beau se dire qu’il nous faudrait un service de transport collectif mais si on désire se doter d’un tel service publique il faut avoir en têtes la donnée suivants:

    – Un aéroport fonctionne 24 heures sur 24. Cela signifie que la clientèle pour un tel service peut arriver n’importe quand. Cela implique de donner un service continu.

    Autre point….C’est facile de demander l’ajout d’un nouveau service. Mais est-ce que quelqu’un a déjà pensé au cout qui y est relié?

    – Cout du chauffeur.
    – Cout du véhicule.
    – Cout du carburant.
    – Cout de l’entretient.
    – Cout administratif pour gérer les points précédents.

    Est-ce que collectivement nous avons les moyens de nous donner un tel service?

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    • Doyle

      1er novembre 2016 à 13 h 19

      Peut-être que faire un service adapté en temps réel à l’achalendage de l’aéroport serait plus rentable? Ex. avoir un service de minibus lors des petits vols et de metrobus lors des arrivées de gros vols?

      À noter aussi qu’il n’est pas rare de voir un tarif plus élevé pour les navettes d’aéroport (ex 4-6 dollars), ce qui facilite le financement et reste 10x moins cher que le taxi.

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    • Marc Guy

      1er novembre 2016 à 13 h 22

      c’est le probleme de tout srevice gratuit ou publique subventioné il a pas besoin d’etre efficace ou de qualité pour assuré sa survie.
      Un service priver de transport en commun se doit de respecté la clientelle qui le fait vivre.

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      • Jean-Philippe Doyle

        1er novembre 2016 à 13 h 54

        Le RTC a déjà été dernier classe dans le passé, mais je ne serais pas si critique de son service actuel.

        Pour avoir utilisé des autobus d’entreprises privées (ex. Orléans au Québec ou Alsa en Espagne), je dirais que les autobus publics du RTC sont en général en meilleur état, plus récentes, plus propre et mieux conduites. Au frais des contribuables oui, mais je suis fier que nous ayons ce service.

        Les entreprises d’autobus privées sont dans un marché très compétitif et la qualité du service n’est pas nécessairement la priorité numéro un.

        En plus je vous rappelle qu’au Québec les entreprises de service d’autobus sont réglementées par la commission des transports et ce n’est pas entièrement un libre marché, car ils sont obligés de maintenir des trajets déficitaires. L’entreprise Orléans Express a d’ailleurs reçu une subvention de 450 000$ pour maintenir ses services en région.

        Je ne crois pas qu’une entreprise privée pourrait décider demain matin de monter un service de navette à l’aéroport (je serais curieux de savoir).

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    • Simon Bastien

      1er novembre 2016 à 16 h 52

      JP Duval,
      Pour répondre à toutes ces questions, j’imagine qu’il faudrait regarder les solutions qui sont utilisées présentement dans des aéroports de grosseur similaire au pays. Il semble que des endroits comme Winnipeg, Halifax et Edmonton pourraient nous servir d’exemples. Québec étant la seule à ne pas être desservie, j’imagine que ces villes ont contourné ces problèmes pour offrir du transport. De plus, l’aéroport de Québec roule très peu la nuit, ce qui peut justifier l’arrêt du service de transport la nuit.

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    • Vincent

      1er novembre 2016 à 23 h 30

      Est-ce que collectivement nous avons les moyens de nous donner un tel service?
      C’est un service essentiel !
      On n’a pas les moyens de s’en passer

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      • Jp-Duval

        2 novembre 2016 à 12 h 08

        Tout service donné par l’état devient essentiel pour l’ensemble de la population.

        Mais la question qu’il faut se poser est la suivante: Ce service est-il réellement essentiel?

        Petits détails concernant l’article:

        1- Le plaignant est le gestionnaire de l’auberge de jeunesse. À ce que sache on ne parle pas ici d’un important complexe hotelier.

        2- Si tu as les moyens de prendre l’avion pour te déplacer tu dois avoir les moyens de pouvoir te payer un taxi.

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      • Vincent

        2 novembre 2016 à 23 h 31

        À Jp-Duval
        J’ai les moyens de payer un taxi, mais je préfère le transport en commun.
        J’ai pris le transport en commun entre l’aéroport et le centre-ville dans plusieurs villes et c’est non seulement moins cher , mais aussi plus rapide et plus confortable. Eh oui, plus confortable! À Miami les autobus sont climatisés alors que les chauffeurs de taxi Haïtiens ne mettent pas l’air climatisée dans leur voiture.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        2 novembre 2016 à 23 h 39

        De toute façon, comment peut-on s’appeler « Aéroport international Jean-Lesage » et ne pas avoir du transport en commun disponible entre le centre-ville et l’aéroport ?

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      • Jp-Duval

        3 novembre 2016 à 09 h 00

        Que l’aéroport soit desservie par une forme quelconque de transport collectif m’apparait souhaitable….

        Mais est-ce essentiel? Y at-il une clientèle qui justifierait cet investissement. Et à quel cout??

        En affaire c’est le besoin qui crée le service et non l’inverse. Corrigez moi si je me trompe, mais cela fait des décennies que cette destination n’est pas desservie par le RTC. On doit en déduire que le besoin n’était pas criant!!!

        Autre point.

        J’aimerais que l’on m’explique le lien entre la nomenclature aéroport international et transport en commun….

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        3 novembre 2016 à 12 h 16

        International ? Il me semble approprié de croire qu’un aéroport dit « international » a un système de navettes vers le centre-ville comme tous les aéroports dits « internationaux ».

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  6. Nathan

    1er novembre 2016 à 11 h 11

    Un liens à faire absolument

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  7. Louis M.

    1er novembre 2016 à 18 h 39

    Ce n’est pourtant pas compliqué! Plutôt que de se renvoyer la balle, le RTC et l’aéroport peuvent s’entendre sur un service selon différents paramètres: offrir un service durant les heures d’achalandages (peu de vols de nuit à Québec) et se partager la facture. L’aéroport, avec l’argent qu’elle fait avec les stationnements par exemple, pourrait couvrir l’éventuel déficit d’opération ou l’équivalent du tarif de x passagers.
    Mais comme personne ne veut mettre d’eau dans son vin, on continue de payer 35-40$ l’aller pour un taxi ou on «quête un lift» à son entourage…

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    • etienne

      1er novembre 2016 à 21 h 20

      @Louis M. cela n’arrivera JAMAIS. Vous oubliez les juridictions. Le RTC est un service municipal et l’aéroport est sous gouverne fédérale. Ce n’est pas une question de logique ou de pensée vite vite que les revenus de stationnement Y payeraient le déficit X mais une question de droit; de juridiction.

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      • Jean-Philippe Doyle

        2 novembre 2016 à 09 h 57

        Ouvrez vos livres d’histoire : les aéroports ne sont plus sous gouverne du fédéral depuis 1992, justement pour favoriser plus d’investissements et détacher les aéroports du politique.

        Les aéroports du Canada sont des organismes indépendants sans but lucratif et sans action avec un mandat de desserte.

        Bref ils pourraient bien négocier l’entente qu’ils veulent avec le RTC ou n’importe qui pour améliorer les services de leur aéroport.

        http://www.cacairports.ca/fr/content/les-aéroports-du-canada

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      • etienne

        2 novembre 2016 à 18 h 29

        @ Jean-Philippe Doyle

        Je persiste et signe que les aéroports sont sous juridiction fédérale monsieur. Ce sont les règles de droits du niveau fédérales qui gouverne les aéroports. Que ça soit un OBNL, une compagnie, un pantin qui gère ton aéroport ils sont régis par le fédéral. Cette histoire de juridiction date bien avant 1992 !!! Elle est constitutionnelle… autour de 1867 ??

        Pour ma culture personnelle, connaissez-vous un aéroport au Canada qui a investi dans des infra structures municipales ?

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      • Louis M.

        2 novembre 2016 à 20 h 56

        Merci M. Gobeil de rétablir les faits.

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      • Jean-Philippe Doyle

        2 novembre 2016 à 21 h 11

        Il semble que vos affirmations soient contredites par au moins un exemple bien canadien.

        L’aéroport de Vancouver (YVR) a investi directement 300 millions pour l’extension de la ligne SkyTrain vers l’aéroport et les résultats sont bons pour eux.

        http://www.richmond-news.com/news/weekly-feature/flight-plan-how-yvr-is-growin-up-and-growin-out-1.2360359

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      • Jean-Philippe Doyle

        2 novembre 2016 à 21 h 33

        PS Vous avez raison que les aéroports canadiens sont encadrés par des lois fédérales (1), mais leur financement et leur gestion est globalement assez indépendante.

        La plupart des contraintes fédérales qui touche la gestion ont attrait aux changements des tarifs, aux minimums pour les appels d’offres publics, etc. Pas la gouvernance et les choix d’investissement.

        Je vous cite 2 passages de cette recherche très intéressante du service d’information du Parlement (2) :

        > La commercialisation des aéroports canadiens a été entreprise dans le but de financer l’agrandissement du réseau, de rendre les aéroports plus concurrentiels et plus viables, et de donner aux collectivités la possibilité de s’en servir comme outils de développement économique.

        C’est en 1992 que cette commercialisation a été faite.

        > Bien que certaines pratiques commerciales soient régies par le bail foncier, les AAL et AAC ne sont pas assujetties à des règlements économiques découlant d’une loi. De plus, le bail n’impose ni examen externe, ni approbation, ni processus d’appel concernant les prix que les autorités aéroportuaires fixent pour le stationnement, le loyer, les atterrissages, l’utilisation de l’aérogare, etc.

        Bref, on peut comprendre pourquoi l’aéroport de Vancouver et tout autre aéroport Canadien a le droit d’investir comme bon lui semble dans ses infrastructures ou des infrastructures connectées qui permettent de favoriser le développement économique de la région (ex. un transport en commun).

        Ce n’est pas le cadre législatif qui limite, il semble plutôt que ce soit un manque de volonté. De qui? Je ne sais pas, je ne crois pas que pointer du doigt le RTC ou l’aéroport ou la ville soit utile. Mais il faudrait que quelqu’un presse le dossier.

        (1) https://www.tc.gc.ca/fra/lois-reglements/lois-aerien.htm
        (2) http://www.lop.parl.gc.ca/content/lop/researchpublications/prb0712-f.htm

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  8. MRM

    1er novembre 2016 à 21 h 39

    À titre comparatif, l’aéroport de Victoria qui a un achalandage très similaire à celui de Québec est déservi par une ligne d’autobus vers le centre-ville. De plus, l’aéroport de Victoria est situé à 25 km du centre-ville alors que celui de Québec est situé à 9 kilomètres du boulevard Laurier et à 15 kilomètres de la colline parlementaire. La région de Québec est aussi plus de deux fois plus grosse que celle de Victoria. Pour commencer, un service aux 45 minutes entre 6h et 8h le matin, aux 20-30 minutes entre 8h et 22h et aux 45 minutes entre 22h et minuit pourrait faire du sens. Ce trajet pourrait emprunter l’autoroute duplessis pour rejoindre le boulevard Laurier et se connecter sur les métrobus. L’idée d’un métrobus express est aussi intéressante avec des arrêts sur Laurier, à l’Université Laval, sur la colline parlementaire et à Saint-Roch.

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    • Jeff M

      2 novembre 2016 à 14 h 01

      Oui, j’ai déjà arrêté à Victoria moi aussi. Faut dire là bas que prendre l’avion c’est comme prendre un taxi pour la liaison Victoria-Vancouver, donc traffic régulier. On pourrait imaginer un parcours express entre l’aéroport et les métrobus de Ste-Foy, mais je me questionne sur les prévisions de la demande à tel ou tel moment de la journée. L’horaire ne serait peut être pas régulier pour que ce parcours soit un peu rentable.

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    • paradiso Utilisateur de Québec Urbain

      2 novembre 2016 à 16 h 02

      L’aéroport est un pôle d’emploi important, et il y a certainement beaucoup de travailleurs qui aimeraient prendre les transports en commun en fin de soirée ou tôt le matin. Je pense aux bagagistes, employés de concessions alimentaires, etc.

      Mais au-delà de la rentabilité du service de bus, c’est la réputation de Québec qui est en jeu. Malgré son expansion spectaculaire, YQB reste dans la même catégorie que Wabush au plan de l’accessibilité. Pour une ville qui se targue d’être une capitale, ça fait vraiment pitié.

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      • Jp-Duval

        3 novembre 2016 à 09 h 11

        En 2015 le nombre de passagers qui a transité se chiffrait à 1,6 millions.

        Que resterait-il de cet achalandage si les vols vers les destinations soleil étaient évacués?

        Petit détail….L’administration n’est surement guère intéressé à voir l’arrivée d’un transport collectif. Le cout du stationnement représente sa troisième source de revenu et se chiffre à 6 millions$ par année.

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    • Jeff M

      2 novembre 2016 à 19 h 54

      Je comprends, mais le rtc a ses propres critères et ne veux pas trop sacrifier le service ailleurs.
      À moins d’accorder une subvention spéciale conditionelle à une offre de service à l’aéroport.

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      • Jean-Philippe Doyle

        2 novembre 2016 à 21 h 48

        Le RTC ne devrait pas souffrir de ce service. Ça devrait être rentable et/ou être plus cher que le tarif régulier.

        Ex. pour prendre le bus express 747 à Montréal cela coûte 10$ et pour prendre le SkyTrain vers l’aéroport à Vancouver 5$.

        Je trouve ça vraiment étonnant qu’il n’y ait pas plus d’intérêt du RTC parce que ce n’est pas comme si aucun trajet ne passait déjà proche.

        Dans le cas de Montréal et Vancouver, l’ajout de trajets vers l’aéroport demande un 30-45 minutes de trajet additionnel vs le réseau déjà couvert. Mais ajouter un arrêt à l’aéroport de Québec serait pratiquement déjà sur le territoire servi par le RTC.

        Il y a déjà la 79, la 80 et la 93 et leurs équivalents express qui passent vraiment très proches de l’aéroport : pourquoi ne pas ajuster la configuration de ces parcours pour permettre un arrêt à l’aéroport? Le premier arrêt de la 80 (coin route de l’aéroport et Notre-Dame) est à 4 minutes du débarquement du terminal de l’aéroport.

        https://www.google.ca/maps/dir/46.8124641,-71.3890879/46.7922911,-71.3825531/@46.8081091,-71.4084254,13.65z?hl=fr

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      • Insider

        3 novembre 2016 à 00 h 43

         » la 79, la 80 et la 93″

        C’est quoi cette maladie à Québec d’utiliser la pour désigner un parcours ou un autobus? Dans un cas ou l’autre c’est masculin et nous n’avons pas l’excuse des lignes de métro comme à Montréal pour justifier la confusion.

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      • Jean-Philippe Doyle

        3 novembre 2016 à 21 h 14

        Cet article relate une partie de l’histoire derrière « la » autobus : http://oreilletendue.com/2011/11/19/le-dilemme-de-l%E2%80%99autobus/

        Il semble que même un journaliste comme Patrick Lagacé écrit LA autobus dans ses articles sans s’en rendre compte! Oui c’est grammaticalement incorrect, mais ça reste le français parlé par beaucoup des Québécois.

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  9. Antoine

    5 novembre 2016 à 17 h 02

    info complémentaire : il y a au moins deux parcours de bus (80 et 93) qui passent à prés de 500m de l’aéroport… (certainement pas pratique avec environ 1h de trajet pour le centre ville).

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