La Ville a présenté ce matin les plans d’aménagements du centre culturel de Val-Bélair. Grâce à ces nouveaux équipements, la population aura désormais accès à des installations modernes qui répondront à ses besoins en matière d’activités culturelles et d’animation communautaire et sociale.
« Depuis 1995, plusieurs projets d’aménagement d’un centre culturel ont été élaborés sans toutefois avoir pu être réalisés, a expliqué le conseiller du district électoral de Val-Bélair, M. Jean-Marie Matte. Plusieurs aménagements ont été réalisés au cours des derniers mois et la construction d’une salle multifonctionnelle, qui a débuté récemment, complètera les nouvelles installations. »
Le centre culturel de Val-Bélair occupera une grande partie de l’ancien hôtel de ville de Val-Bélair. En effet, les salles du conseil et de la Cour municipale ont été réaménagées, à coût nul, offrant ainsi de nouveaux espaces pour la réalisation de diverses activités. Le sous-sol a également été modifié afin de permettre l’installation d’ateliers d’artistes et de locaux d’entreposage.
Cet équipement à vocation culturelle offrira une salle de 400 m2 qui pourra être subdivisée ainsi que des installations permettant la tenue d’activités variées, notamment vestiaires et toilettes, entrepôts, salles de réunion, cuisinettes, etc. Selon l’échéancier prévu, les nouvelles installations d’une superficie totale de 1225 m2 devraient être accessibles pour les citoyennes et citoyens en octobre 2004.
7 juin 2004 à 21 h 21
Comme par hasard, à l’approche du référendum sur le démembrement de la ville…
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7 juin 2004 à 21 h 33
Et tu n’as même pas vue les passages du communiqué de presse que j’ai retirés ;)
C’était dans le très « comme nous sommes beau, fin et à l’écoute de la population »
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8 juin 2004 à 13 h 20
Le plus drôle dans tout cela, c’est que une défusionné Val-Bélaire devra se construire une nouvelle mairie!
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8 juin 2004 à 15 h 18
Et la défusionnée Sillery aussi !
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8 juin 2004 à 15 h 44
Si on était certain que la loi 9 puisse tenir la route sans que son auteur, le gouvernement libéral, ne la modifie après coup, on pourrait presque souhaiter les défusions.
Prise au pied de la lettre, la loi 9 empêcherait les nouvelles anciennes villes de se soustraire à leurs obligations financières d’agglomération.
Ensuite, les fusions ont eu un effet pervers, celui de donner plus de pouvoir qu’avant à la banlieue (car telles que les choses se présentent, c’est un éternel marchandage entre les anciennes banlieues et le centre – marchandage qui va se traduire par des pleins camions de bonbons à la banlieue et un régime frugal au centre-ville, de crainte d’attiser le feu.
Ce marchandage va jouer lors des référendums, des élections, et ces dernières reviennent souvent.
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