Alors que la structure des condos Le Contemporain est pour ainsi dire terminée, les logements pour personnes âgées, en avant-plan sur la photo, sortent tout juste de terre. Nous sommes au coin de la rue du Campanile et de Laudance
Alors que la structure des condos Le Contemporain est pour ainsi dire terminée, les logements pour personnes âgées, en avant-plan sur la photo, sortent tout juste de terre. Nous sommes au coin de la rue du Campanile et de Laudance
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.
27 février 2005 à 16 h 02
Ou la chronique du massacre d’un secteur qui avait tout un potentiel.
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27 février 2005 à 20 h 28
Quel gâchis, vraiment, pour un coin qui tendait au départ vers un développement à l’échelle plus humaine. La qualité du quartier va en prendre pour son rhume.
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28 février 2005 à 08 h 09
Définition de la rue du Campanile :
Quartier entièrement mis à la disposition des personnes âgées, handicapées ou en perte d’autonomie. Quartier, où au coin de la rue on y retrouve : Épicerie, 5 restaurants, 1 bar, clinique médicale, clinique denturologique, dentiste, pharmacie, caisse populaire, cabinet d’avocats, assurances générales, mercerie pour homme, prêt à porter pour dames, lingerie féminine, parfumerie, salon d’esthétique, salons de coiffure, chiropraticien, nettoyeur à sec, couturière, librairie, boutiques de cadeau, bar laitier et chocolaterie, cordonnerie, régie des alcools, bijouterie etc…
On n’a jamais à prendre notre automobile. On a même pas à se déplacer pour aller faire notre épicerie si on le désire, tout peut se faire par téléphone avec livraison à domicile. Il en est de même pour nos médicaments à la pharmacie.
Tout cela dans le respect. En plus, avec la nouvelle construction de la rue du Campanile, nous aurons également un gym….
Nous vivons dans des condos de luxe, bien isolé, excessivement bien insonorisés et de qualité supérieure pour ajouter au plaisir de vivre au Campanile. La qualité de mon quartier, de ma rue en sera rehaussé et la valeur de mon magnifique condo aussi. Quoi dire de plus. Il est vraie qu’il est plus facile de se prononcer lorsqu’on y vit.
En revanche, si vous me demandez si j’aime ce gros building qui ne devait jamais être construit….. NON. Par contre, bien des personnes âgées viendront s’y installer dans le plus grand des conforts avec toutes ces nombreuses commodités qui leur seront désormais accessibles.
Et que dire des nombreux et magnifiques parcs et terrasses à quelques pas de chez moi, enfin…. Si c’est cela en prendre pour son rhume, je fournis les kleenex.
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28 février 2005 à 13 h 21
Les parcs et terrasses, les trottoirs qui circulent entre les terrains ainsi que l’omniprésence de zones boisées font de ce quartier un lieu où il fait bon vivre (même si je n’y habite pas!), d’autant plus que les services de proximité se retrouvent tous à distance de marche, effectivement.
Je ne crois pas que des blocs aussi imposants contribuent à améliorer la valeur déjà existante de ce quartier, ils risquent plutôt de densifier le coin, de générer du bruit, de la circulation et de la pollution. Je ne conteste pas le besoin des gens âgés de s’établir à cet endroit mais j’aurais mieux vu des blocs de cette grosseur cadrer dans un environnement plus urbain déjà densifié.
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28 février 2005 à 15 h 24
Densifier ne veut pas dire qu’on doive ghettoîser. Simon en a glissé un mot : la présence de la nature. Or, elle s’est réduite comme une peau de chagrin dans le secteur et bientôt, le Parc des Compagnons ne sera qu’un petit îlot. Il y a des moyens de concilier un meilleur rapport entre les milieux naturel et bâti, mais paresseux comme nous sommes, nous préférons couper pour mieux replanter.
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28 février 2005 à 21 h 21
Ghettoîser, ça veut dire quoi au juste ? Je suis curieux c’est tout.
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28 février 2005 à 21 h 24
Créer un ghetto. Qu’est-ce qu’un ghetto? ;)
– Quartier des juifs; quartier où les juifs étaient obligés de demeurer. Le ghetto de Varsovie.
– Lieu où vit une minorité qui est isolée du reste de la population. Les ghettos noirs de New York.
– Situation d’un groupe social refermé sur lui-même. Le ghetto gay. Un ghetto intellectuel.
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28 février 2005 à 22 h 21
Ghettoïser, c’est dans ce cas ci un mot pour dire qu’on développe à outrance le secteur pour une clientèle âgée, en ayant négligé de consacrer des zones à l’unifamilial ou le bi-générationnel. Ça aurait été chouette de faire côtoyer plusieurs générations, créer un environnement naturel plus convivial et ça existe des lieux dans des quartiers où les personnes du 3e âge rencontrent des jeunes pour les devoirs, faire partager leur expérience.
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1er mars 2005 à 08 h 17
Allo François,
J’habite au Campanile, j’ai 48 ans. Il y a beaucoup plus de jeunes que tu crois dans ce quartier mais la plupart sont des gens à mobilité réduite et handicapées. Les autres sont des retraités de 65 ans et plus et beaucoup de retraités de 55 ans et plus. Le Campanile n’est tout de même pas un hospice…. C’est beaucoup plus diversifié que tu le crois.
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1er mars 2005 à 08 h 21
Il y a même des « ti-jeune » de 30 ans ;)
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1er mars 2005 à 09 h 58
Et bien et bien, j’espère un jour te croiser sur la rue Francis. L’été dernier, j’étais sur la rue le Marié coin des Pommeraies et il y avait un charmant jeune homme à la chevelure brune qui prenait une photo d’un bel arbre. Lorsque je suis passée près de lui en promenant mon petit chien, il s’est arrêté de photographier, ma regardé et ma sourit. C’était peut-être toi Francis !
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1er mars 2005 à 12 h 42
« Le Campanile n’est tout de même pas un hospice…. » Je sais bien et mon propos n’allait pas dans ce sens ; vous admettez qu’il y a beaucoup de retraités et j’ai écrit qu’il est dommage qu’il n’y ait pas plus de mixité entre les clientèles. Ces jeunes retraités ont un merveilleux bagage à partager et on aurait dû favoriser une meilleure mixité du bâti pour favoriser l’installation de jeunes familles et les échanges entre eux.
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1er mars 2005 à 12 h 52
Lisette: Cela pourrait fort bien être moi. Je suis brun (et charmant! hehehe) et j’ai déjà photographié l’arbre à l’entré du passage piétonié sur cette rue. Celui qui a comme été « broché ».
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17 mars 2005 à 10 h 19
On devrait fermer le rue commercial aux automobiles.
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18 mars 2005 à 09 h 13
Fermer la rue aux automobiles, pas fou comme idée mais infaisable à mon avis. Imaginez-vous aller faire votre commande d’épicerie à l’Intermarché du Campanile. Votre auto est stationnée sur une rue voisine. Vous achetez pour plus de 150$ par exemple ce qui n’est pas rare de nos jours, et vous auriez à trimbaler tout ces sacs d’épicerie jusqu’à votre auto ? Non, personne ne ferait cela. Ce qui arriverait, les gens iraient plutôt faire leur épicerie à Place des Quatre-Bourgeois ou bien à Place Naviles…. Au moins en sortant de là avec un panier plein, l’auto est à proximité.
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