Dans les belles années du Saint-Roch de mon adolescence, ce local était occupé par la boucherie Carrier et Goulet. D’ailleurs l’enseigne est toujours là.
Francis, je me pose une question.
Est-ce que tu te promènes avec ton appareil allumé? … Prêt à cliquer? … Un pied déjà ouvert? …
Comment fais-tu pour saisir des instants si fugitifs avec autant de qualité dans l’image?
J’ai presque toujours mon sac avec moi. Soi sur mon dos si je marche, soi dans ma voiture si… ben si je suis en voiture :)
Lorsque je suis à la recherche d’une scène urbaine, alors là oui j’ai l’appareil à la main, ouvert, en mode « priorité ouverture » à environs f4.
Mardi, j’avais environs une heure de libre entre la fin de mon travail et un souper chez une amie. J’ai donc décidé d’aller dans St-Roch et de prendre un marche à la recherche de scènes.
Ici, j’ai été chanceux. Quoiqu’un photographe fait toujours sa chance… J’ai passé une première fois devant cette vitrine originale en prenant un plan général de l’immeuble (les 3 vitres sont peinturées). C’est, en théorie, la photo que vous auriez dû voir. En revenant à la voiture, je repasse devant l’édifice et, soudainement, la femme s’arrete, s’accotte dans la vitrine, et essais de voir ce qu’il y a l’intérieur. J’étais près: Je n’avais qu’a porter le viseur à mon oeil. J’ai appuyé 5-6 sur le déclancheur.
J’ai pris environs 45 photos en 45 minutes. Les autres vont suivre dans les prochains jours :)
Je me répète, certes, mais j’y tiens: il y a, dans le choix de tes photos, un je-ne-sais-quoi qui me rejoint beaucoup, sans compter la pertinence de tes commentaires!
Merci encore de nous faire partager ton sens de l’observation, de l’esthétisme, de même que ta grande sensibilité!
Chanceux Francis? Oui et non. Il n’y a pas de mystère, le photographe doit toujours avoir son appareil à la main, ou presque, et il ne doit pas avoir peur de déclencher, de tourner autour du sujet, se l’apprécier sous plusieurs angles et surtout d’avoir l’esprit ouvert et en éveil.
Pour ceus qui on visionné : The Bridges Of Madison County, de Clint Eastwood, le réalisme était si fort que les lecteurs, ont demandé par centaines au National Geographic à quand remontait la parution de l’article sur ces ponts. En août 1995, (pages 58 et suivantes) un article a été publié explicant le vrai travail de ses reporterd-photo-
grphes.
Un commentaire intéressant dans cette article nous apprend qu’en 1993 les photographes du magazine ont utilisés 46 769 rouleaux de 36 poses pour un total d’environ 1 683 600 clichés. De ce nombre seulement 1 408 ont été publiées, soit 0,0008363%.
Ma coclusion, même si nous n’avons pas les même moyens financiers, c’est qu’il faut toujours être au aguets, avoir un sens de l’observation et d’anticipation très développé.
À voir le tavail de Francis,pas de doute qu’il possède ces atouts. Et avec le numérique, plus besoin de se préoccuper du nombre de vues enregistrées et encore disponibles sur le 36 pose. Sur mon NIKON D70, avec les paramètre au maximum, j’ai 291 clichés possibles sur une carte de 1GB, en mode normal je dispose de 573 vues, assez pour une bonne petite sortie.
Mon Cher Francis, à n’en pas douter tu as l’oeil. A voir l,originalite de ta production, je ne suis pas, mais pa dutout inquiet pour « la suite du Monde »
17 mars 2005 à 09 h 30
C’est au Lieu ça?
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17 mars 2005 à 09 h 34
Je ne sais pas comment ça s’appelle, mais c’est là où on s’est vue la première fois sur la rue Dupont, là où toi et tes Déclancheurs avez exposé.
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17 mars 2005 à 09 h 43
Alors oui c’est ça, le centre d’art Le Lieu.
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17 mars 2005 à 09 h 49
Dans les belles années du Saint-Roch de mon adolescence, ce local était occupé par la boucherie Carrier et Goulet. D’ailleurs l’enseigne est toujours là.
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17 mars 2005 à 15 h 23
Francis, je me pose une question.
Est-ce que tu te promènes avec ton appareil allumé? … Prêt à cliquer? … Un pied déjà ouvert? …
Comment fais-tu pour saisir des instants si fugitifs avec autant de qualité dans l’image?
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17 mars 2005 à 15 h 32
J’ai presque toujours mon sac avec moi. Soi sur mon dos si je marche, soi dans ma voiture si… ben si je suis en voiture :)
Lorsque je suis à la recherche d’une scène urbaine, alors là oui j’ai l’appareil à la main, ouvert, en mode « priorité ouverture » à environs f4.
Mardi, j’avais environs une heure de libre entre la fin de mon travail et un souper chez une amie. J’ai donc décidé d’aller dans St-Roch et de prendre un marche à la recherche de scènes.
Ici, j’ai été chanceux. Quoiqu’un photographe fait toujours sa chance… J’ai passé une première fois devant cette vitrine originale en prenant un plan général de l’immeuble (les 3 vitres sont peinturées). C’est, en théorie, la photo que vous auriez dû voir. En revenant à la voiture, je repasse devant l’édifice et, soudainement, la femme s’arrete, s’accotte dans la vitrine, et essais de voir ce qu’il y a l’intérieur. J’étais près: Je n’avais qu’a porter le viseur à mon oeil. J’ai appuyé 5-6 sur le déclancheur.
J’ai pris environs 45 photos en 45 minutes. Les autres vont suivre dans les prochains jours :)
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17 mars 2005 à 23 h 10
Bonsoir, Francis
Je me répète, certes, mais j’y tiens: il y a, dans le choix de tes photos, un je-ne-sais-quoi qui me rejoint beaucoup, sans compter la pertinence de tes commentaires!
Merci encore de nous faire partager ton sens de l’observation, de l’esthétisme, de même que ta grande sensibilité!
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18 mars 2005 à 00 h 07
Chanceux Francis? Oui et non. Il n’y a pas de mystère, le photographe doit toujours avoir son appareil à la main, ou presque, et il ne doit pas avoir peur de déclencher, de tourner autour du sujet, se l’apprécier sous plusieurs angles et surtout d’avoir l’esprit ouvert et en éveil.
Pour ceus qui on visionné : The Bridges Of Madison County, de Clint Eastwood, le réalisme était si fort que les lecteurs, ont demandé par centaines au National Geographic à quand remontait la parution de l’article sur ces ponts. En août 1995, (pages 58 et suivantes) un article a été publié explicant le vrai travail de ses reporterd-photo-
grphes.
Un commentaire intéressant dans cette article nous apprend qu’en 1993 les photographes du magazine ont utilisés 46 769 rouleaux de 36 poses pour un total d’environ 1 683 600 clichés. De ce nombre seulement 1 408 ont été publiées, soit 0,0008363%.
Ma coclusion, même si nous n’avons pas les même moyens financiers, c’est qu’il faut toujours être au aguets, avoir un sens de l’observation et d’anticipation très développé.
À voir le tavail de Francis,pas de doute qu’il possède ces atouts. Et avec le numérique, plus besoin de se préoccuper du nombre de vues enregistrées et encore disponibles sur le 36 pose. Sur mon NIKON D70, avec les paramètre au maximum, j’ai 291 clichés possibles sur une carte de 1GB, en mode normal je dispose de 573 vues, assez pour une bonne petite sortie.
Mon Cher Francis, à n’en pas douter tu as l’oeil. A voir l,originalite de ta production, je ne suis pas, mais pa dutout inquiet pour « la suite du Monde »
Et merde pour le futur.
Andr.:)
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19 mars 2005 à 12 h 41
Tel est pris…
Il ne manquerait plus que le photographe soit pris en flagrant délit par un autre photographe.
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