Durant mon absence en début de semaine, Québec subissait une autre forte tempête (caractérisée cette fois par des vents violents) qui encore aujourd’hui, cause quelques désagréments aux piétons en raison de la forte accumulation de neige. La situation était particulièrement pénible à l’est pour les voyageurs lors du congé des Fêtes, comme à Montmagny (photo ci-bas, lundi après-midi) où il est tombé près de 40 cm d’une belle poudreuse poussée par des vents de plus de 90 km/h…
Quatre jours de nettoyage
Source: Jean-François Néron Le Soleil, 27 décembre 2005.
Comme si ce n’était pas suffisant de recevoir plus de 30 centimètres de neige, il fallait que la tempête s’abatte le jour de Noël. Un élément non négligeable qui complique et augmente le coût des opérations de déneigement dans la capitale.
« Toutes nos équipes devraient être complètes », se voulait rassurant, hier, Jacques Perron à la Ville de Québec. C’est que la période des Fêtes, c’est aussi l’occasion des congés fériés. Depuis deux jours, la majorité entrent au boulot « à temps double ». Conclusion, ça coûte plus cher. (…)
La suite, et cet autre article sur la tempête dans l’Est du Québec.
… et cette autre scène, prise sur la même rue le lendemain matin, pour faire plaisir à Gérald Gobeil! ;-)
Voir aussi billet précédent.
29 décembre 2005 à 12 h 57
La photo du haut (fille ds la tempête) est assez géniale;
Je la verrais ,cette photo, au minmistere de l’immigration canadienne et ca dirait ceci:
» Vous voyez-vous a la place de cette jeune fille?
Si la réponse est OUI, c’est que le Canada est fait pour vous…Venez sans hésiter! »
Si Non, eh bien! Pensez-y 2 fois…
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29 décembre 2005 à 13 h 20
Les tempêtes de neige québécoises m’ont toujours fasciné. Celà me rappelle sans doute mon enfance en Beauce où nous demeurions en pleine campagne et où les tempêtes étaient mémorables! Je me souviens encore de la hauteur des bancs de neige, du vent qui siffle et de la maison qui gémit.
La photo de Jean Cazes illustre fort bien ces moments uniques de notre pays. Merci!
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29 décembre 2005 à 23 h 37
Moi, quand je vois ces tempêtes, sans doute à cause de ma passion pour l’Histoire et pour la généalogie, je ne peux m’empêcher de penser à ces immigrants français du XVIIième et du XVIIIième et plus tard, des anglos, irlandais, écossais qui sont venus bâtir ce pays, souvent dans la misère en mangeant du chou et des patates, admettons, et qui ont dû se geler les orteils et tout le reste dans de misérables maisons, avec de très humbles récoltes et du feu jamais assez chaud. Ils devaient se dire, des fois: qu’est-ce que je fais dans ce mautadit pays??!!
Aujourd’hui, on retient le même message, à côté de notre radio chiâleuse, de notre télé dérisoire, de nos calorifères généreux, de nos souffleuses et voitures confortables.
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29 décembre 2005 à 23 h 41
Moi, quand je vois ces tempêtes, sans doute à cause de ma passion pour l’Histoire et pour la généalogie, je ne peux m’empêcher de penser à ces immigrants français du XVIIième et du XVIIIième et plus tard, des anglos, irlandais, écossais qui sont venus bâtir ce pays, souvent dans la misère en mangeant du chou et des patates, admettons, et qui ont dû se geler les orteils et tout le reste dans de misérables maisons, avec de très humbles récoltes et du feu jamais assez chaud. Ils devaient se dire, des fois: qu’est-ce que je fais dans ce mautadit pays??!!
Aujourd’hui, on retient le même message, à côté de notre radio chiâleuse, de notre télé dérisoire, de nos calorifères généreux, de nos souffleuses et voitures confortables. En buvant un café du sud ou sirotant une bière usinée.
Mautadit qu’on fait pitié… !!
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1er janvier 2006 à 18 h 44
Je viens de passer une semaine à Saint-Augustin, dans la neige parfois jusqu’aux genoux, à entendre des bulletins météo geignard, toujours en alerte pour le moindre centimètre de neige.
Pourtant, la construction du fort était amusante, la glissade grisante et la marche de jour ou de nuit magnifique.
Sans compter les quelques heures passées à St-Jean, Île d’Orléans: superbe fin 2005.
De retour à Ville-Émard, j’envie l’hiver de Québec et ses environs. Pourtant, c’était bien parti avec nos 40 centimètres…
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