Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Fermeture du Zoo: la suite (5)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er février 2006 8 commentaires

Grand format 800 X 600. Photo: Martin Otis.

Réactions partagées à l’imposition possible d’une taxe spéciale

Source: Radio-Canada (Québec), 31 janvier 2006.

Même si les hôteliers de Québec n’apprécient pas que leur soit imposée une taxe spéciale pour éponger le déficit du jardin zoologique cette année, ils ne s’y opposeront pas. (…)

La chambre de commerce de Québec, pour sa part, s’oppose à cette taxe que la mairesse de Québec, Andrée Boucher, veut imposer sur les immeubles non résidentiels. (…)

Pour sa part, la Coalition pour la sauvegarde du Jardin zoologique du Québec renvoie la balle au gouvernement du Québec, l’actuel propriétaire. (…)

La suite. Voir aussi cet autre billet. Photo: Martin Otis.

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg.


8 commentaires

  1. PAM

    1er février 2006 à 09 h 20

    SE PLAINDRE ET NE PAS PAYER…

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  2. jaco

    1er février 2006 à 14 h 09

    … »SE PLAINDRE ET NE PAS PAYER… »( Pam)

    C »est un commentaire que je n’aurais osé dire!

    C’est agréable quand quelqu’un le fait a notre place; on peut alors « jouer » le Grand Sage qui apporte les nuances par la suite!

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  3. Sébastien

    1er février 2006 à 18 h 24

    Une belle gang de sans-dessein la Chambre de commerce et la Coalition de sauvegarde!?

    C’est ben beau de se plaindre en effet mais y a des limites à tout faire payer à l’État!

    Ils ont du culot la Coalition pour la sauvegarde, de redemander au Gouvernement de payer un 4M supplémentaire! en empruntant en plus!?

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  4. Serge Alain

    1er février 2006 à 22 h 58

    Sébastien, ton opinion a moins d’effet quand tu traites les gens de « sans-dessin ». Ce n’est pas nécessaire. Dis ton opinion et laisse faire les gros mots. Ça passe beaucoup mieux, crois-moi. Quand on s’emporte, les gens ne portent plus attention à ce qu’on dit mais bien à la façon dont on le dit.

    Ceci dit, j’ai quand même compris ton opinion et je la partage jusqu’à un certain point. Mais de grâce, on se calme.

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  5. Manu

    1er février 2006 à 23 h 50

    Comment dirais-je… l’évidence devient évidente. À part les commerçants intimements liés au tourismes, rares sont ceux qui retirent un quelconque bénéfice de la présence du zoo. Une tabagie de Courville ou une couturière de pointe Ste-Foy n’en ont vraiment rien à cirer (en tant que commerçant je précise, et non en tant qu’habitant de la région)

    Ainsi, ils n’ont aucun intérêt et pas vraiment de raison valable pour devoir payer pour ce « bien commun ». Ça peut motiver quelques touristes, certes, mais ça profite surtout à la population de la région.

    Du côté de cette dite population, si elle voulait réellement conserver le zoo, elle aurait ramassé un 20$ de chacun des contribuables et le tour aurait été joué. Force est d’admettre que ce n’est pas le cas.

    De toute façon, et les gens d’affaire le savent trop bien, on aura beau investir pour « compléter » le zoo, avoir une affluence tout juste rentable pour un an ou deux, mais tôt ou tard, ça va probablement nous retomber sur le nez avec un déficit opérationnel année après année, qu’il faudra alors à nouveau quêter à un peu tout le monde…

    Alors?

    Le zoo n’est pas rentable et ne semble pas l’être, sinon les investisseurs s’y seraient présentés. C’est un fait. Toutefois, en tant que société, on peut quand même tolérer que des biens publiques ne soient « pas tout à fait » rentables. Par exemple, un musée n’est généralement pas rentable et ne constitue pas vraiment non plus un investissement à long terme, comme pourrait l’être le transport en commun (pas rentable lui non plus).

    CEPENDANT, il faut savoir tracer une ligne, une limite acceptable de déficit opérationnel à combler par les contribuables (les différents paliers de gouvernement, etc.). Où elle est cette ligne? on ne le sait pas trop. Mais malheureusement, je doute qu’on puisse demeurer du bon côté de celle-ci, même après l’achat d’un nouveau respirateur artificiel à 4M$. My two cents.

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  6. Manu Dalton

    2 février 2006 à 10 h 28

    « Du côté de cette dite population, si elle voulait réellement conserver le zoo, elle aurait ramassé un 20$ de chacun des contribuables et le tour aurait été joué. Force est d’admettre que ce n’est pas le cas. »

    Ici vous soulevez un point!!! Un très bon point!!! Je ne comprend pas très bien non plus pourquoi la coallition n’a pas fait de campagne de financement avec de petit drapeau : « Le zoo, que l’on continue! » :)

    Je déconne certes sur la forme mais je suis sérieux sur le contenu!

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  7. Francois

    2 février 2006 à 12 h 34

    Je me questionne sur le processus ayant mené à l’entente qui semble bipartite, plutôt qu’un échange de vues et de solutions entre les acteurs concernés.

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  8. Serge Alain

    2 février 2006 à 20 h 50

    « Ici vous soulevez un point!!! Un très bon point!!! Je ne comprend pas très bien non plus pourquoi la coallition n’a pas fait de campagne de financement avec de petit drapeau : « Le zoo, que l’on continue! » :) »

    En effet!! Il faudrait sans doute un genre de leader, soit-il radiophonique, pour inciter les gens à acheter un genre de fanion, où un bel oiseau sympathique remplacerait le scorpion porteur de mauvaises nouvellesl!!!

    ;-)

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