Source: Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, 5 mars 2006.
Elles sont majoritairement scolarisées, bien rémunérées et intégrées sur le marché du travail. Pourtant, c’est dans la capitale que le taux de détresse psychologique des femmes est le plus élevé, comparé au reste de la province. Une autre « énigme de Québec » difficile à expliquer, selon Claire Minguy, agente de recherche au Conseil du statut de la femme (CST). (…)
6 mars 2006 à 19 h 22
Tous sexes confondus, la notion de « taux de détresse psychologique », de surcroît à Qc, me fait sourire…
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7 mars 2006 à 10 h 12
Il faut avoir été fonctionnaire pour comprendre
à quel point c’est souffrant psychologiquement…
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7 mars 2006 à 23 h 38
En effet Francis… sarcasme ou pas.
Il y en a qui se démènent comme des fous puis qui dépriment après quelques années en se rendant compte que leurs effort et leur travail ne sont ni reconnus ni utile (parce que ça bouge pas autour, parce que les ministères et les projets sont abandonnés et « remixés », etc.).
Il y en a d’autre qui perdent la moitié (si c’est pas plus) de leur temps pour cause de mauvaise distribution du travail (personne n’a vraiment le contrôle et personne n’est vraiment imputable au grouvernement. Donc ça avance comme un tonneau de Jell-O qui déboule une côte… un peu au harsard!). De quoi déprimer là aussi à ne pas s’accomplir et se sentir inutile.
Dans les deux cas, ou bien ils trouvent un autre poste, ou bien ils foutent le camp en courant.
Finalement, y a tous les autres qui ne savent pas exactement pourquoi ils sont là, qui ne travaillent pas tant que ça, mais qui n’ont pas vraiment d’ambition non plus, comme un chien qui branle la queue sans se demander pourquoi il est heureux. Ceux-là ne voient pas le problème et s’en tirent sans détresse psychologique.
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8 mars 2006 à 02 h 06
« ou bien ils foutent le camp en courant » … à Belleville, ouais ;)
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