Source: Radio-Canada (Québec), 9 mai 2006.
À la suite de plaintes de citoyens, la police de Québec durcit le ton face aux squeegees avec un projet intitulé Respect [billet précédent], lancé il y a deux semaines. Ce projet vise l’application stricte du code municipal.
Les laveurs de pare-brise des voitures immobilisées aux feux rouges risquent désormais de faire face à des accusations criminelles. Les policiers vont comptabiliser le nombre de contraventions émises contre chaque individu. Après cinq ou six constats, ils pourraient être accusés d’avoir troublé la paix.
10 mai 2006 à 09 h 15
Allo Jean, j’ai rajouter une catégorie sur le site, « Qualité et milieu de vie » Ceetains billets pourrait entrer dans cette catégorie.
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10 mai 2006 à 13 h 17
Complètement ridicule! Surtout que ces plaintes ont surement été porté par les petits bourgeois du coin , non mais franchement accusé au code criminel , ces gens la sont deja dans rue ou presque!Cette situation me dégoute et j’espère que malgrès ca y vont leur laissez la paix a eux!
Pauvre ville d’attardés.
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10 mai 2006 à 13 h 39
Bien content qu’on fasse enfin le ménage! La rue St-Jean est devenue un vrai lave-auto à ciel ouvert!
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10 mai 2006 à 17 h 43
Encore une fois, on privilégie la répression pour tenter de règler une situation. Il faudrait plutôt aller à la source du problème et aider ces jeunes, les écouter, travailler à les intégrer.
Et non, on préfère envoyer de valeureux policiers faire le tour des garages pour burinner les raclettes et on se frotte les mains en attendant d’envoyer ces dangeureux criminels en cour et ensuite en prison. Wow, c’est brillant!
Il y en a plusieurs qui ont besoin d’un sérieux coup de squeedjee dans leurs lunettes à oeillères.
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10 mai 2006 à 20 h 29
Bon j’ai beaucoup de difficulté avec la déresponsabilisation…mon père m’a pas aimé c’est pour cela que je suis devenu squigee!!!! Bof….c’est pas très fort comme argument…..
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10 mai 2006 à 23 h 04
Je ne sais pas combien coûtent leurs coiffures et leurs bottes mais j’ai déjà vu pire comme « délaissés ». Il y a une vérité en ce moment dans la société que personne ne veut voir: une certaine quantité de jeunes qui chialent pour chialer, des enfants-roi qui cherchent à passer pour victimes.
Les organismes pour venir en aide aux jeunes sont nombreux mais je peux vous en passer un papier, de mon expérience personnelle ainsi que de beaucoup de parents que je connais: beaucoup de jeunes (pas tous, heureusement) se mettent eux-mêmes dans la merde pour mieux chialer tout en refusant l’aide qui leur est offerte.
Comme dit JP, la déresponsabilisation, il y a une maudite limite.
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10 mai 2006 à 23 h 10
Suite:
Je m’excuse mais ces jeunes n’ont AUCUNE raison de faire la rue, pour la grande majorité. Plusieurs ont lâché l’école et le marché du travail est florissant, pour peu qu’ils se grouillent le derrière. Quand on en est rendu là, il faudrait voir où est leur problème. C’est bien beau ne pas vouloir « entrer dans le rang », prétendre que le système est pourri mais durant ce temps, ils font quoi, eux?
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11 mai 2006 à 07 h 13
Vous me volez les mots de la bouche…
C’est très « in » chez les jeunes dde jouer les exclus…
L’une des raisons pour laquelle ces jeunes préfèrent cette « profession » est tout simplement parce que c’est de l’argent facile…très facile…à gagner.
Une journée de travail peut rapporter facilement entre 150$ et 200$ et plus…clair d’impot!!!!
Alors arrêtons avec la victimisation….
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11 mai 2006 à 12 h 05
À lire certains commentaires ici , on pourrais PRESQUE croire que vous en connaissez personnellement hein? Vous agissez comme si vous étiez spécialistes d’la situation quand dans l’font vous avez jamais parler a ces gens la , en passant l’autre qui dis que c’est de l’argent facile HAHAHA écoute bonhomme ya 1000 autres facon de faire beaucoup plus d’argent que ca , fake si tu pense que c’est une question d’argent oublie ca tout suite.
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11 mai 2006 à 12 h 19
Premièrement on se calme……la colère est mauvaise conseillère et risque de vous embrumer l’esprit….
200$ par jour payer en dessous de la table c’est une bonne paye….Mes sources sont des gens qui ont à cotoyer ces jeunes….
L’argent n’est pas la seule raison qui les pousse à faire ce boulot…mais avouez que c’est quand même une bonne source de motivation.
Certains de ces jeunes ont vécu ( ou vivent ) de sérieux problêmes socio-affectifs….Mais ce n,est pas en les laissant faire le squeege que nous allons leur porter secours.
Lorsqu’un homme a faim….L,idée de lui donner à manger est naturelle…mais il serait peut-etre plus utile de lui enseigner à se nourrir!
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11 mai 2006 à 12 h 52
Je l’ai déjà admis ici: après avoir milité longtemps (et je le fais encore à ma façon) dans des organismes de défense des droits sociaux, je dois reconnaître que ma position, au départ de gauche, a viré un peu plus « centriste » ces quatre dernières années concernant la bonne volonté de certains jeunes chômeurs chroniques de s’en sortir honorablement sans faire entre autres du « squeedjee », surtout si l’on présume qu’ils sont au départ intelligents (puisqu’on dit qu’ils sont très débrouillards) et visiblement en bonne forme!
Pourquoi mon opinion? J’ai en à superviser souvent du nouveau personnel en étant coresponsable d’une partie des serres d’un centre jardin de la région. L’autre côté de la médaille, quoi…
J’ai trouvé insupportable d’en voir se traîner les pieds dès les premiers jours de leur embauche, prenant des pauses de 30 minutes, accumulant des retards à tous les jours, pris sur le fait à fumer dans un coin, tout ça, sans se soucier le moindrement des répercussions de leurs gestes sur l’ensemble d’une équipe qui se doit ABSOLUMENT d’être tricotée serrée et RESPONSABLE dans le « rush »!
Ok! le salaire y est au départ minimum, c’est un emploi saisonnier avec des semaines de six jours, mais rien de justifie de tels comportements d’individus qui, c’est à prévoir, auront bien sûr à cracher leur lot de commentaires négatifs sur « les méchants patrons exploiteurs »… après leur renvoi tout à fait justifié à mes yeux!
Certes, et heureusement, il s’agit d’une minorité, mais qu’on arrête de les déresponsabiliser, d’autant plus que dans le milieu où je travaille encore à temps partiel, on est très ouvert à l’originalité, on évolue dans un environnement magnifique, et ce, dans un climat où la bonne humeur règne autant chez la majorité des autres employés que chez les clients heureux d’aller acheter leur fleurs!!
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16 mai 2006 à 01 h 06
hey jhonny
hey Andrée
Hey faux culs!
VOUS VIVEZ DANS UNE VILLE GANG!
ARRIVEZ EN VILLE!
L’ADAPTATION vous conaissez?
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21 mai 2006 à 00 h 28
J’en connais plusieurs des squeedgees et ils font ça simplement pour pouvoir se payer de la droye… ils me font pas vraiment pitié. Je veux pas généraliser, certains sont surement dans la vraie misère. Mais y’a d’autres façons de se sortir de la marde que de chercher la marde. Je l’ai pas toujours eu facile dans cette vie, mais pourtant j’me suis bottée le cul pour pas me ramasser comme ça!
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23 octobre 2006 à 11 h 12
Je côtois des squeegees à tous les jours en raison de mon travail. En effet, il ne faut pas généraliser, mais je vous garantis que plusieurs d’entre eux proviennent de bonne famille, mais ils ont décidé de quitter l’école et le nid familial, car ils sont tannées d’être régis par des lois et veulent vivre à leur façon. Belle façon de penser! Il y a des lois ou règlements que je n’apprécie guère, mais je ne les enfreins pas pour autant disant que je préfère vivre à ma façon. De plus, faites ce petit test et vous m’en redonnerai des nouvelles. Observez quelques instants un squeegee pour voir ce qu’ils feront avec leur argent. Ils mangeront une pointe de pizza du petit resto du coin à 0.99$ et le reste sera pour de la bière et/ou de la drogue. Finalement, pourquoi pensez-vous qu’il y a une certaine tolérance de la sollicitation d’itinérants et squeegees sur le trottoir, mais aucune tolérance dans la rue: trop grand risque d’accidents! Plusieurs accidents sont survenus du fait que les squeegees sont dans la rue et se font accrochés!
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