Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Scène Rurale Oups! Scènes urbaines: Étalement Urbain

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 juin 2006 2 commentaires


Quartier Lebourgneuf 9 mai 2006 format 800x600 Carol Proulx

Cette photo est un prétexte pour discuter de l’étalement urbain. Ce qu’on a appelée la banlieue dans les années 70, est-ce devenu la semi-banlieue ? ou intégré au centre-ville ? Un peu comme Ste-Foy dans les années 1940-45 qui était considéré comme la banlieue de Québec, car encore dans un contexte semi-rural.

Cette grange est situé sur un terrain dans le quadrilatère Pierre-Bertrand, St-Joseph, Lebourgneuf et des Gradins, ou ce qui en reste (±1 km carré) car il y a eu beaucoup de développements domiciliaires (grosse cabane) depuis deux ans. De plus en plus de champs, vestige d’une autre époque, disparaissent dans la pelle du constructeur.

Voir aussi : Étalement urbain, Photographies citadines, Scènes urbaines.


2 commentaires

  1. francois thériault

    6 juin 2006 à 00 h 42

    Cet étalement urbain n’est t’il pas causé, en partie, par notre ‘onsommation d’espace’ , c’est-a-dire ce désir de chacun d’avoir son espace vert gazonné bien a lui? Alors pour l’obtenir,on étale la ville de plus en plus loin vers ce qui fut, il n’y a pas si longtemps, la campagne. Avec les couts économiques, sociaux et environementaux que cela comporte.

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  2. Manu

    6 juin 2006 à 01 h 05

    C’est déjà beaucoup moins pire à mon avis « d’installer » la banlieue à un tel endroit (où on complète la trame urbaine plus qu’on l’étale) que de le faire à Shannon, St-Augustin, Stoneham, Ste-Brigitte, etc.

    On retrouve un exemple encore plus frappant sur Chauveau, juste à l’est du coin St-Jacques, où quelques mètres à peine séparent une veille grange (encore utilisée?) et les nouvelles maisons contruites ou à construire.

    De plus, si mes impressions sont bonnes, plusieurs propriétaires (ex-propriétaires) de ces terres nr les utilisaient guère à des fins agricoles depuis des années. Profitant de la hausse fulgurante des coûts du terrain, ils ont vendu leur lot « divisible » (permettant d’y faire plusieurs terrains), ou du moins la partie inhabitée de celui-ci, et ont rajouté un gros coussin à leur retraite déjà entammée.

    Considérant que les terrains se vendent aujourd’hui de 7,50$ à 12$ du pied carré dans ce secteur, même si ce n’est pas comparable à Sillery par exemple, ça fait quand même un bon « motton » par arpent de terre vendu…

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