C’est l’orgasmotron (tunel StarWars) de l’université Laval qui fait le lien entre le pouliot et le vachon (qui sont relié par un pseudo tunel) vers le Bonenfant.
J’oubliais: il y avait une succession de couleurs dans ce tunnel, ainsi que dans celui partant du PEPS…
Ceci dit, je rappelle l’un de mes « fantasmes urbains »: relier ce réseau de « tunnels universitaires » à Place Sainte-Foy (via l’ancien « pavillon de services »), lequel communiquerait enfin avec des passerelles à Place de la Cité et Place Laurier!
Tient moi aussi j’ai déjà eu ce « fantasme urbain ». Dans une autre vie peut-être verra-t-on ce projet se réaliser …
Tunel StarWars, ça va bien avec l’effet de lumière qu’on y trouve. Moi, je lui ai assigner le sobriquet de « sous-marin » parce on y est probablement aussi coincer que dans un sous-marin.
Il y avait (et j’image qu’il y a encore) certaines choses intéressantes à y faire :
– marcher vers vers Vachon/Pouliot en fixant le téléphone rouge au bout du tunnel jusqu’à ce que ;les « rainures » chaque côté se transforment en une succession plus ou moins hallucinante de noir et de blanc…
– compter les rainures (combien de départements on fait faire cela aux initiations… un peu plus de 900 il me semble)
– convaincre son cerveau qu’il est normal de voir quelqu’un marcher au bout du tunnel et d’entendre ses pas (surtout en talon haut) avec un décalage d’une demi-seconde
Toutes des activités très éducatives qu’on découvrait en sortant d’un Vachon le jeudi soir…
Trève d’anecdotes, on m’a toujours dit au sujet de ce tunnel que le passage de piétons à cet endroit était teporaire, le temps qu’il fassent un « vrai » tunnel. En fait, l’université dispose de certains autres tunnels de service (un genre de réseau « parallèle ») et celui-ci devait ultimement en être un.
C’était l’époque où on ne faisait que la moitié des « chemins » (autant les tunnels que les autoroutes…) et qu’on construisait l’autre moitié à moindre coût, sous forme de « solution temporaire le temps de faire la vraie solution plus coûteuse ». Cela n’arriva évidemment jamais…
Mais bon, à part quand venait le temps de croiser les gens d’entretien sur leurs p’tits « carts », ce tunnel fut une expérience agréable (je n’ai pas eu à respirer de la mousse d’amiante qui décollait…) et ils ont bien fait de le laisser là, juste pour son aspect plutôt hors de l’ordinaire.
Effectivement, il y a une réseau paralèle de tunnel de service deux fois plus imposant que le réseau piéton. Ces tunnels sont du type eusophage et il y une longue section ou l’on doit marcher de coté tant que c’est étroit.
Les tunnels de l’Université Laval récèlent des archives absolument extraordinaires de graffitis qui, dans plusieurs cas, persistent ou se superposent depuis plus de trente ans!!
Il y a quelques années, je les croisais régulièrement. À titre d’exemples: « Les p’tites anglaises sont chaudes » (allusion aux cours d’immersion en été), « Les femmes contestent… les cons qui les testent » (années 80), « Non(o) au référendum » et autres perles!
Quel beau sujet de thèse, pour un étudiant en anthropologie, et quel sujet de reportage photo amusant aussi! ;-)
6 juillet 2006 à 22 h 22
Je dirais dans un tunnel de service de l’Université Laval…
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6 juillet 2006 à 22 h 23
Université Laval, le tunnel entre le Bonenfant et Pouliot… ou le Vachon. La mémoire flanche…
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6 juillet 2006 à 22 h 30
François a la réponse! :-)
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6 juillet 2006 à 22 h 31
C’est l’orgasmotron (tunel StarWars) de l’université Laval qui fait le lien entre le pouliot et le vachon (qui sont relié par un pseudo tunel) vers le Bonenfant.
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6 juillet 2006 à 22 h 36
À l’époque de mon baccalauréat en géographie, il y avait encore de l’amiante, au plafond de ce tunnel. Autres temps, autres moeurs…
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6 juillet 2006 à 22 h 42
J’oubliais: il y avait une succession de couleurs dans ce tunnel, ainsi que dans celui partant du PEPS…
Ceci dit, je rappelle l’un de mes « fantasmes urbains »: relier ce réseau de « tunnels universitaires » à Place Sainte-Foy (via l’ancien « pavillon de services »), lequel communiquerait enfin avec des passerelles à Place de la Cité et Place Laurier!
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7 juillet 2006 à 09 h 49
Tient moi aussi j’ai déjà eu ce « fantasme urbain ». Dans une autre vie peut-être verra-t-on ce projet se réaliser …
Tunel StarWars, ça va bien avec l’effet de lumière qu’on y trouve. Moi, je lui ai assigner le sobriquet de « sous-marin » parce on y est probablement aussi coincer que dans un sous-marin.
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7 juillet 2006 à 12 h 16
J’ai toujours voulu y touner une scène de Star Trek
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7 juillet 2006 à 15 h 57
De mon côté, on l’appelait l’oesophage….
Il y avait (et j’image qu’il y a encore) certaines choses intéressantes à y faire :
– marcher vers vers Vachon/Pouliot en fixant le téléphone rouge au bout du tunnel jusqu’à ce que ;les « rainures » chaque côté se transforment en une succession plus ou moins hallucinante de noir et de blanc…
– compter les rainures (combien de départements on fait faire cela aux initiations… un peu plus de 900 il me semble)
– convaincre son cerveau qu’il est normal de voir quelqu’un marcher au bout du tunnel et d’entendre ses pas (surtout en talon haut) avec un décalage d’une demi-seconde
Toutes des activités très éducatives qu’on découvrait en sortant d’un Vachon le jeudi soir…
Trève d’anecdotes, on m’a toujours dit au sujet de ce tunnel que le passage de piétons à cet endroit était teporaire, le temps qu’il fassent un « vrai » tunnel. En fait, l’université dispose de certains autres tunnels de service (un genre de réseau « parallèle ») et celui-ci devait ultimement en être un.
C’était l’époque où on ne faisait que la moitié des « chemins » (autant les tunnels que les autoroutes…) et qu’on construisait l’autre moitié à moindre coût, sous forme de « solution temporaire le temps de faire la vraie solution plus coûteuse ». Cela n’arriva évidemment jamais…
Mais bon, à part quand venait le temps de croiser les gens d’entretien sur leurs p’tits « carts », ce tunnel fut une expérience agréable (je n’ai pas eu à respirer de la mousse d’amiante qui décollait…) et ils ont bien fait de le laisser là, juste pour son aspect plutôt hors de l’ordinaire.
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7 juillet 2006 à 21 h 34
Effectivement, il y a une réseau paralèle de tunnel de service deux fois plus imposant que le réseau piéton. Ces tunnels sont du type eusophage et il y une longue section ou l’on doit marcher de coté tant que c’est étroit.
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7 juillet 2006 à 22 h 43
L’oeusophage ça lui va bien…
C’est drôle, j’ai justement fait de la photo dans ce coin là il y a 3 semaines. C’est inspirant comme environnement pour du portrait entre autre.
http://www.cybershack.qc.ca/photographie/tunnel.jpg
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7 juillet 2006 à 23 h 07
Les tunnels de l’Université Laval récèlent des archives absolument extraordinaires de graffitis qui, dans plusieurs cas, persistent ou se superposent depuis plus de trente ans!!
Il y a quelques années, je les croisais régulièrement. À titre d’exemples: « Les p’tites anglaises sont chaudes » (allusion aux cours d’immersion en été), « Les femmes contestent… les cons qui les testent » (années 80), « Non(o) au référendum » et autres perles!
Quel beau sujet de thèse, pour un étudiant en anthropologie, et quel sujet de reportage photo amusant aussi! ;-)
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8 juillet 2006 à 10 h 17
Ça doit être co-ol se ramasser là pendant une panne de courant! Louche on peux pas mettre le mot coo-l dans un message! haha
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10 juillet 2006 à 16 h 58
dautres grafitis qui valent la peine:
1980: j’entre enfin à l’université…
et a lautre bout du meme corridor..
1988: je sors enfin de l’université!
…
et en tant que scientifique j’aime bien celui qui dit qqchose come:Dieu dit » x/?si+ ? » et la lumière fut.
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