Source: Karine Gagnon Journal de Québec, 8 juillet 2006
Des restaurateurs se désolent des airs de «taverne à ciel ouvert» que revêt la Grande Allée depuis que la Ville de Québec en autorise la fermeture à l’occasion d’événements pendant l’été. «Avant, il y avait une grande fierté lorsqu’on parlait d’aller sur la Grande Allée. Aujourd’hui, c’est pour venir prendre un coup», déplore Antoine Xénopoulos, propriétaire de l’Auberge Louis-Hébert.
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9 juillet 2006 à 10 h 55
Je trouve ça étrange de se plaindre que la Grande Allée est trop festive. Quand j’y suis passer vendredi et samedi soir j’ai plus tôt aimer l’ambiance qu’on y retrouverait. Rue piétonnaire, un peu d’animation, terrasses pleines à ras bord … Ça fesait vivant, estival, bref ça avait l’air d’autre chose qu’une ville qui dort au gaz.
C’est sur qu’à la fermeture des bars il peut y avoir des problèmes, mais ce n’est pas la première fois qu’on en entend parler et cette situation ne semble pas exclusive à la saison estival. Il faudrait aussi vérifier si ces problèmes affectent les autres hôteliers du secteur parce que dans l’article c’est comme si il était le seul à faire face à ça.
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9 juillet 2006 à 23 h 11
La Grande-Allée n’a jamais été hôte de « grande classe ». À la limite, on y trouve du faux-chic pour les touristes à prix tout aussi faux (ceux qui croient que c’est plus « class » parce que c’est plus cher…). Mais ça n’a jamais été un endroit pour prendre un petit souper tranquille…
Y a des centaines de personnes qui se saoulent au Dagobert, qui promènent leur 350W de sons partout où les rues ne sont pas fermées, qui festoient aux Voûtes et s’empiffrent au Asthon. Ça fait longtemps qu’il en est ainsi, ça fait longtemps que les gens s’y amusent, et ça ne risque pas de changer.
Si les restaurateurs ont du mal maintenant à faire valoir leur « faux », c’est leur problème…
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10 juillet 2006 à 10 h 16
J’adore le commentaire de Manu et je l’appouve à 100 %
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