Source: Sara Champagne La Presse, 8 juillet 2006
Je remarque que la plupart du temps nous sommes indifférents des coupes d’arbres urbains que nous voyons parfois dans nos quartiers. Exemple de notre léthargie, de notre peu d’intérêt pour notre environnement… Cette article m’interpelle sur notre rôle de citoyen, de notre capacité à faire changer les choses, même minime soit-il. Voir aussi ces deux
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Dans l’espoir de sauver d’un abattage certain une section de forêt urbaine, une Montréalaise menace de s’enchaîner à un arbre et d’entamer une grève de la faim. Et Sophia Kantas ne plaisante pas. La résidante de la rue Goyer, dans Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, s’explique mal comment son arrondissement a pu accorder un permis de coupe à son voisin de cour arrière. Surtout à l’heure où Montréal se targue d’avoir une Politique de l’arbre, souligne-t-elle.
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12 juillet 2006 à 16 h 22
Un peu drastique comme moyen, mais je comprend l’idée, de posée une action, même si parfois cela peut déranger certain… dans leur petit comfort.
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