Pendant que la phase III des travaux de renaturalisation des berges de la Saint-Charles [billet] avance à grands pas du côté du pont Marie-de-l’Incarnation (arrière-plan), plus à l’ouest, près du pont Scott, les salicaires font passablement bien « la job » dans l’attente des pelles mécaniques!
12 juillet 2006 à 23 h 55
Bien présenté et bien vu Jean.
Bravo.
Pierre
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13 juillet 2006 à 09 h 24
La nature reprendra toujours ses droits, quel
que soit l’idiotie que fera l’espèce humaines…
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13 juillet 2006 à 11 h 37
Néanmoins, cette plante fort jolie mais très envahissante, n’est pas indigène de notre continent et elle est ici depuis deux siècles ou moins… suite à l’intervention humaine!
D’après Mosquin et Whiting (1992), la salicaire est une des cinq plantes envahissantes étrangères dont l’introduction a eu de graves répercussions sur les écosystèmes naturels du Canada. (copié de
http://www.cws-scf.ec.gc.ca/publications/inv/p5_f.cfm, voir le reste du texte si vous voulez en savoir plus)
Béton ou salicaires, ça demeure donc de l’intervention humaine!
Mais l’être humain est aussi un produit de la nature, tout comme le castor qui détruit des habitats naturels et en recrée d’autres en faisant un barrage, tout comme la « tourbe » qui tue un lac en le recouvrant, etc. Là je ne suis pas sûr de pouvoir distinguer ce qui est de la « nature » de ce qu’il ne l’est pas, mais je suis pas mal sûr que les rats, les corneilles, les mouches noires et les pissenlits vont exister encore le jour où notre espèce s’éteindra.
Petit réflexion en passant…
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13 juillet 2006 à 13 h 28
En effet la salicaire pourpre a détruit bien des écosystème, à petite et moyenne échelle. Elle a rendu bien des milieux pratiquement stériles.
Cette plante, au même titre que les ormes malades ou la moule zébrée, doit être éliminée aussitôt qu’elle apparait sur un terrain.
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