Pour appuyer l’article qui suit, cette scène prise sur la rue Saint-Jean lors de la fête du Faubourg de cette année…
Source: Marline Côté et Marcel Poliquin, L’Infobourg, juillet 2006.
Augmentation de la circulation dans les rues attenantes ou perte d’espaces de stationnement dans l’ensemble du quartier, les arguments contre une réappropriation de la rue Saint-Jean par les piétons ne font pas le poids devant la volonté citoyenne. Une très forte majorité de citoyen-nes et de commerçant-es de la rue Saint-Jean aimeraient voir la rue Saint-Jean devenir piétonne au moins une journée par semaine pendant la période estivale, confirme un sondage de l’Infobourg. (…)
23 juillet 2006 à 12 h 19
Ca a été une belle fête!
Il y avait ce groupe, qui jouait de la musique un peu de style gitane (je pense)… des mères dansaient avec leurs petites filles, un père avec son petit garçon… Le Faubourg avait vraiment des allures familiales, mais une vie familiale qui semble idéale: tout le monde avec un grand sourire, les enfants fascinés par les lapins et les chèvres, ravis de faire leur premier tour de poney, intrigués par les animateurs déguisés en Pirates des Caraïbes… si ça pouvait être toujours ainsi!
Plus loin, une bande de jeunes de 14-15 ans jouaient avec brio de vieux classiques du metal..
il y en avait pour tous les goûts, et j’ai fait le plein de photos :) D’ailleurs, j’aimerais bien savoir qui de Québec Urbain j’ai pu croiser avec leurs appareils photos!
Pour ce qui est du sondage et de la rue piétonnière une journée par semaine, je n’ai pas été consulté (j’habite pourtant l’un des édifices que l’on voit sur la photo), mais go go go!
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23 juillet 2006 à 16 h 35
Oups! Désolé pour la photo: dans mon empressement, j’ai fait un mauvais lien… Je vais réparer ça bientôt! ;-)
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24 juillet 2006 à 00 h 55
Faire dans le faubourg le même chose que l’on fait déjà dans le vieux la fin de semaine, c’est vraiment une bonne idée! Les automobilistes ont bien des alternatives pour passer ailleurs (exemple : boulevard René-Lévesque).
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24 juillet 2006 à 10 h 16
Il n’y a toutefois pas que les automobiles… Dévier les autobus (vers l’est) sur St-Oliver ou René Lévesque est faisable, malgré les désagréments que cela puisse causer. Ça devient toutefois plus compliqué pour les véhicules d’urgence. Le temps d’intervention est critique dans ce secteur, surtout pour le feu, et on ne peut pas se permettre de perdre 2 ou 3 minutes pour se frayer un chemin à travers la foule et les étals des commerçants.
J’imagine que les quelques fois par années où l’on ferme la rue, la ville met plus de ressoures en disponibilité, question d’etre plus apte à intervenir. Il faudra donc voir si c’est possible de faire cela plus souvent.
Ce serait à mon avis intéressant qu’elle soit fermée à la circulation un peu plus souvent.
Ceux par contre qui aimeraient qu’elle soit tout le temps fermée n’habitent sûrement pas la rue St-Jean! Les commerçants doivent pouvoir recevoir leurs livraisons de marchadise, et cela vaut aussi pour les résidents, qui doivent se faire livrer ou se départir de meubles, électros, etc. sans compter ceux qui déménagent.
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24 juillet 2006 à 20 h 54
J’ai beaucoup de peine d’avoir manqué la fête. De la façon dont les gens en parlent, ça semble encore mieux que par les années passées.
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