Article provenant du journal La Tribune, On parle de Sherbrooke, mais cela pourrait -être une autre ville… Québec ?
Source: Denis Dufresne La Tribune, 4 août 2006
L’effet dévastateur des fortes pluies des derniers jours serait-il accentué par la destruction des forêts et des milieux humides pour le développement immobilier? Les goupes environnementaux en sont persuadés.
« Il est certain que les grands développements résidentiels où le sol est dénudé et aplani contribuent au problème. Dès que l’on détruit un habitat naturel on vient créer une érosion potentielle parce que l’eau cherche à aller vers le point le plus bas », explique Josée Bernard, coordonnatrice du secteur environnement à la Corporation de gestion CHARMES.
Voir la suite.
6 août 2006 à 22 h 19
Bravo aux promoteur du Marigot pour la perte d’un dernier milieux humides de la région (et pour leur architecture de M…) pour les power center avec leur développement anti-durable, et vivement des toits verts à québec pour contrer ces effets pervers
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7 août 2006 à 08 h 23
A quand les collecteurs pluviaux géants comme à Los-Angeles?
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7 août 2006 à 12 h 55
Les normes de construction devraient être modifiées pour exiger que les eaux de pluie soient recueillies pour remplir un réservoir utilisé pour l’eau des toilettes, des douches et des systèmes d’arrosage, voire de la piscine.
D’après moi, ça récupererait autant d’eau qu’un toit vert à meilleur coût, en plus d’être plus facile à rendre systématique (un toit vert, c’est pas évident sur une pseudo-victorienne de Charlesbourg).
Et ne serait-ce que par respect pour les peuples qui ont soif, il serait judicieux de flusher nos toilettes, prendre nos douches et arroser notre terrain avec de l’eau de pluie plutôt que de l’eau potable traitée.
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7 août 2006 à 16 h 21
« Bravo aux promoteur du Marigot pour la perte d’un dernier milieux humides de la région »
Pour ça faudrait plutôt blâmer l’ancienne Ville de Charlesbourg, qui ont autorisé ce projet, dont le très dinosauresque Ralph Mercier, membre du Comité exécutif de Mme Boucher…
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9 août 2006 à 00 h 47
Même si on réutilise l’eau de pluie pour certain usages ménagers, elle se ramasse quand même dans les égoûts. Il s’agit au moins des égoûts sanitaires et non pluviaux, et il y aura donc un contrôle sur le débit de ceux-ci (après traitement) dans les cours d’eau, contrairement aux égoût pluviaux qui se retrouvent plus rapidement dans le réseau hydrographique.
Encore mieux, on devrait quant à moi implanter plus de bassins de rétention, question de draîner les eaux de surface et de les éponger, le temps qu’elles soient absorbées par le sol, comme cela se fait naturellement sur un sol perméable. On pourrait peut-être même installer de tels « tampons » entre les can.alisations d’eaux de pluie et les cours d’eau, question d’absorber les débits auterment trops grands.
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9 août 2006 à 00 h 47
Même si on réutilise l’eau de pluie pour certain usages ménagers, elle se ramasse quand même dans les égoûts. Il s’agit au moins des égoûts sanitaires et non pluviaux, et il y aura donc un contrôle sur le débit de ceux-ci (après traitement) dans les cours d’eau, contrairement aux égoût pluviaux qui se retrouvent plus rapidement dans le réseau hydrographique.
Encore mieux, on devrait quant à moi implanter plus de bassins de rétention, question de draîner les eaux de surface et de les éponger, le temps qu’elles soient absorbées par le sol, comme cela se fait naturellement sur un sol perméable. On pourrait peut-être même installer de tels « tampons » entre les can.alisations d’eaux de pluie et les cours d’eau, question d’absorber les débits auterment trops grands.
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9 août 2006 à 00 h 48
Excusez mon parkinson lorsque j’ai cliqué sur « Publier »…
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