Source: Damien Rousseau, Québec Hebdo, 25 août 2006.
Le départ presque simultané des Fernand Gignac et Claude Blanchard permet aux Québécois d’évoquer le souvenir d’une époque marquante de la vie de la capitale, celle où le night life contribuait largement à sortir la ville de la torpeur caractéristique de l’après-guerre. Si les drames humains frappaient à qui mieux mieux les quartiers pauvres du centre-ville, l’espoir s’allumait à travers les performances artistiques ou sportives de saltimbanques qui souvent provenaient eux aussi des couches populaires. (…)
La suite.
Merci à Pascal pour nous avoir signalé cet excellent article!