Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les yeux du monde tournés vers BedZED

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 septembre 2006 4 commentaires

Pourquoi est-on en retard sur le reste de l’Amérique du Nord et de l’Europe en matière d’urbanisme environnementale ? Est-ce du à un manque de dynamisme, d’ouverture au changement, de paresse et/ou de léthargie ? … Bref.

J’imaginerais bien quelque chose de ce genre à la pointe-au-lièvre ou dans un autre endroit qui pourrait recevoir ce genre de projet sans trop souffrir du «pas dans ma cour ». Considérant l’impact de l’humain sur l’écosphère, ce serait intéressant de changer de façon de faire pour être plus en symbiose avec notre milieu.

Source: Isabelle Audet La Presse, 16 septembre 2006

Au sud de Londres, le lotissement BedZED détonne… et étonne. Le complexe à l’architecture futuriste est l’un des plus verts au monde. Son efficacité énergétique est telle que l’hiver, ses résidants n’ont qu’à se faire un thé pour réchauffer leur appartement. Des architectes et des entrepreneurs de partout étudient ce succès britannique en vue d’importer le concept dans leur pays. À quand un BedZED canadien ? La Presse s’est rendue en Angleterre, histoire de visiter ce complexe envié et imité partout dans le monde.

Dans une banlieue du sud de Londres, 200 personnes habitent dans un complexe ultra-écologique. BedZED est un modèle d’architecture verte et de développement durable. Tant et si bien que ses résidants vivent malgré euxsous les feux de la rampe. Allemands, Chinois, Nord-Américains… les nombreux visiteurs se posent la même question:comment les créateurs du complexesont-ils arrivés à créer une communauté aussi verte?

Voir la suite.
Voir aussi ce lien.

Voir aussi : S'inspirer d'ailleurs.


4 commentaires

  1. MAMZELLE MARIE

    17 septembre 2006 à 18 h 46

    J’espère voir un jour un tel projet se mettre en place à Québec. Ce serait absolument génial.

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  2. Ludovic

    18 septembre 2006 à 13 h 04

    Vraiment sympa!

    Je note cependant une faiblesse importante: 15% de l’électricité est solaire, alors que 85% provient de la combustion de branches provenant de l’émondage des arbres des quartiers environnants.

    À petite échelle, on peut voir ça comme du recyclage (le CO2 de la combustion serait de toute façon éventuellement libéré, peu importe l’utilisation faite de ces branches), mais à grande échelle, il est impossible de reproduire le modèle. Aussi, ne pas calculer l’énergie obtenue de la combustion des branches dans le bilan énergétique du complexe me semble un peu malhonnête.

    À part ce détail, je trouve l’ensemble très beau et très innovateur et effectivement, je verrais d’un bon oeil un tel projet au Québec!

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  3. JT

    18 septembre 2006 à 21 h 44

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  4. Jean Cazes

    18 septembre 2006 à 21 h 48

    J’ai lu le dossier complet dans La Presse de samedi. Excelllente idée d’en parler dans Québec Urbain, Carol!

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