Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Architecture résidentielle du Mesnil (secteur Lebourgneuf)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 septembre 2006 8 commentaires

Avenue Le Massif, direction E. Photo: Jean Cazes, 30 août 2006.

On déteste, ou on aime: Lebourgneuf fait souvent l’objet de commentaires dans Québec Urbain!

Ces deux photos, de même que celle-ci, illustrent le type de développement en cours depuis quelques années au nord du boulevard Lebourgneuf. À noter, ci-haut, à droite, le nouvel immeuble Le Laurimé et au premier plan, le rond-point et sa sculpture.

Rappelons qu’on est bien loin, ici, du concept futuriste « à la Mérici avec métro aérien » tel qu’imaginé en 1974 [billet]…

À consulter aussi, ce billet.

Rue du Colombier, direction SE. Photo: Jean Cazes, 30 août 2006.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Art urbain, Condo, Nouvel urbanisme, Voyage dans le temps.


8 commentaires

  1. Benoît

    22 septembre 2006 à 10 h 52

    Que c’est beau des ‘tits châteaux…

    :-/

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  2. Jeff

    22 septembre 2006 à 12 h 30

    Personellement, je trouve que ça fait trop « immitation » du style victorien, qui est pourtant un style que j’aime quand il est bien exploité. J’ai l’impression que les gens ne sont pas très exigeants dans l’apparance extérieur des bâtiments.

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  3. jaco

    22 septembre 2006 à 14 h 21

    Je ne ferai pas de commentaire sur ce dev. particulier;
    possiblement qu’il n’est pas pire qu’un autre…

    Ce que je déplore comme beaucoup d’autres, c’est le manque de variétés de style.
    Il y a une redohndance qui devient lassante!

    Il me semble avoir vu dans la banlieu d’Ottawa des ensembles de logements pas mieux construits,pas mieux recherchés ni plus beaux finalement MAIS avec une variété de styles a tous les coins de rues.
    Par ex.
    20 unités d’habitations de style « carré » et gris puis
    24 unités d’habitations de style « a rotonde » de couleur verte, puis
    30 unités d’habitation de style « Victorien » rouge puis
    35 unités d’habitation de style « le Marinier » de couleur bleu-ciel etc etc etc

    Ici a québec , on a l’impression que les developpeurs (ou les clients) ont PEUR de de sortir de la norme du simili- Victorien !
    On est pas loin de l’indigestion!

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  4. Manu

    22 septembre 2006 à 14 h 33

    En effet, il y a pas mal de redondance. Mais il ne faut pas croire que c’est pire aujourd’hui qu’avant. Prennez par exemple St-Jean-Baptiste (le résidentiel). La plupart des bâtiments debout aujourd’hui doivent dater d’environ 1850-1900 (je n’ai pas les dates, je lance ça un peu au hasard). Force est de constater que le style est assez homogène. Les bâtiments de la même époque dans St-Saveur (ceux qui ont survécu aux incendies) ont aussi le même style, les mêmes matériaux, etc.

    Et maintenant, si on parle aujourd’hui de style victorien, c’est qu’à cette époque aussi on construisait pas mal toujours dans le même style…

    On a bien essayé de faire différent par moments, notamment avec des constructions de béton aux formes les plus diverses dans les années 60, mais c’est généralement ce que les gens trouvent le plus laid dans les styles d’architectures passés.

    Peut-être que les promoteurs ne veulent juste pas répéter leurs erreurs?

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  5. louisch

    22 septembre 2006 à 16 h 11

    Personellement, je trouve ca pas très beau. je trouve que ça jure les différents styles architecturaux. Ca me fait penser dans le coin de l’hôpital de charny. Tout les batiments sont en harmonie avec le C.H. et au bout du boulevard des petits chateaux victoriens gris alors que tout est plus rouge brique dans le secteur

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  6. Lisette

    22 septembre 2006 à 16 h 43

     » J’ai l’impression que les gens ne sont pas très exigeants dans l’apparance extérieur des bâtiments « .

    Je ne crois pas que l’apparence extérieure d’un domicile soit ce qui prévaut dans le ch-oix d’un condo ou d’une maison. Personnellement, en ce qui me concerne c’est secondaire. Ce qui est important pour moi, c’est que l’endroit où j’habite soit sécuritaire, à l’épreuve du feu, bien insonorisé, planchers de bois, beaucoup d’espaces de rangement, stationnement intérieur, 2 salles de bain, système de caméra de surveillance en circuit fermé, de bonnes fenêtres étanches, un grand balcon si possible etc.

    Depuis 1984, j’ai fait l’acquisition de 3 domiciles ; une maison en rangée dont l’extérieur était tout en bois (murs et balcons) ce qui fût énormément d’entretien.

    Au bout de 7 ans, la vente de celle-ci m’a permis, avec le profit empoché, de me faire construire un cottage dont l’extérieur était en brique et aluminium (brique couleur champagne, le revêtement d’aluminium était crème et les fenêtres blanches).

    La vente de celle-ci m’a permis de faire l’acquisition d’un condo tout neuf pour lequel je suis pas mal fière, (brique rouge).

    En définitive, les 3 habitations étaient d’un type tout à fait différent.

    Ce que je n’aime vraiment pas, ce sont les jumelés du début des années 80 et les bungalows (plain-pied).

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  7. Jeff

    22 septembre 2006 à 19 h 24

    Personellement, j’accorde beaucoup d’importance à l’apparance extérieur. Ça embelli le paysage que l’on voit de l’intérieur par sa fenêtre. Ça fait des promenades à l’extérieur plus agréables pour soit et pour les autres. Après tout, on est jamais contant de voir une construction qu’on aime pas se bâtir dans son voisinage. Dans la vie urbaine, je considère l’esthétique exétieur comme un aspect des relations de bon voisinage.

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  8. Jean

    25 septembre 2006 à 11 h 08

    D’accord avec Jeff: l’apparence extérieure a son importance. Déambuler dans un quartier dit neuf, tel celui apparaissant sur la photo, a quelque chose de triste: c’est impersonnel et asseptisé.
    Autre tristesse : cette architecture passéïste. Pourquoi replonger contemment dans ce type d’esthétique ? Et ces pointes au haut des tours sont carrément ratées. Par ailleurs : où sont les trottoirs ?

    Pour notre part, lorsque nous cherchions une maison (de type duplex), nous avions donné à notre agent certains critères extérieurs à éviter, dont les façades de briques blanches. Ce que nous avons acheté n’est pas la panacée et fait partie d’un groupe d’immeubles construits dans les années 20-30 sur des plans semblables. Par contre, les détails décoratifs dans la brique, différents de ceux des voisins, nous plaisent beaucoup.

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