Veuillez me pardonner ce soir ce commentaire bien personnel de « snob bien assumé », mais surtout, et avant tout, fier de Québec et de sa qualité de vie (au-delà de sa réputation « carte postale ») : j’espère que cette autre bonne nouvelle clouera définitivement le bec à tous ces démagogues sans culture, populistes, à l’esprit étroit de MA ville qui ne cessent de laisser sous-entendre depuis des lustres qu’ici, c’est l’enfer, et que le paradis se trouve évidemment dans l’Ouest… ou au sud de la frontière! ;-)
Source: Radio-Canada Québec, 27 septembre 2006.
La ville de Québec est classée meilleure ville au Canada pour faire des affaires, selon le palmarès annuel du magazine Canadian Business. Les villes de Charlottetown, Saguenay, Laval et St. John’s suivent dans l’ordre.
Québec doit son titre à l’importante croissance du nombre de permis de construction d’édifices commerciaux, ainsi qu’à la baisse de son taux de chômage.
Le coût de la vie et les frais d’exploitation des entreprises peu élevés, ainsi que le faible taux de criminalité ont aussi permis à Québec de se démarquer parmi les 25 plus grandes villes canadiennes et 15 autres de moindre envergure.
28 septembre 2006 à 08 h 54
Wow!… Jean se déchaîne… ;-)
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28 septembre 2006 à 10 h 24
Je suis tout à fait d’accord avec les idées contenues dans le préambule de Jean Cazes. Il m’enlève les mots de la bouche. Bravo!
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28 septembre 2006 à 14 h 50
On constate de plus en plus que les rédacteurs de Québec Urbain ne tolèrent plus ceux qui ont des opinions différentes des leurs!
Pour répondre à ce préambule de M. Cazes, il y a peut-être des démagogues sans culture et à l’esprit étroit, mais il y a aussi des utopistes qui se pètent les bretelles pour pas grand chose!
«l’importante croissance du nombre de permis de construction d’édifices commerciaux» – c’est vrai qu’il s’est construit à peu près 25 Power Centres, Wal-Mart, et autres géants, ce qui est démesuré par rapport à notre population, et qui de toute façon vont tous fermer d’ici 10 ans!
«baisse de son taux de chômage» – c’est vrai que le commerce au détail, secteur très payant et valorisant, crée beaucoup d’emploi (il faut bien des commis pour les faire rouler ces power centres!!!)
D’ailleurs, si Québec est si alléchante, pourquoi n’a-t-on aucun vol en première classe qui arrive à Québec et que notre aéroport continue d’accuser un si important retard?
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28 septembre 2006 à 15 h 01
Je m’enthousiasme des résultats fantastiques pour Québec-ville économique, mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est LE PASSÉ qui explique ce PRÉSENT emballant!
LE PASSÉ
Pierre Boucher , président de la Capitale nationale responsable du dev. de la colline parlementaire et de la ville-centre
Claude Larose , reponsable du centre-ville Saint-Roch , riv st-charles, etc
Maire Lallier responsable de la politique de reconversion industrielle et politique et culturelle de la ville
LE PRÉSENT
Jacques Langlois président de la CCN (nomination politique notoire sans concours). Anti-fusioniste et pour une politique de « parchemins » comme moyen de valoraisation urbaine
André Boucher, mairesse,responsable des fêtes de 2008 tout en étant contre ! contre aussi la participation de la ville au dev économique (ce n’est pas son role) élue principalement comme gestionnaire des infrastructures (egouts, déneigement)
Hugo Lépine, président de l’association des entrepreneurs appelé a jouer le role de porte -parole du dynamisme d’affaires de la ville »
Ex-candidat démissionnaire aux élections municipales devant le peu d’appuis recus…allié de Mme Boucher mais se démarquant de celle-ci par une politique de grosses infrastructures comme moteur de dev (colisée et aéroport)
Conclusion;
Le passé explique le succes présent mais est-ce que le présent est garant de l’avenir?
la vigilence s’impose plus que jamais pour garder cette belle éclaircie économique!
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28 septembre 2006 à 15 h 13
« On constate de plus en plus que les rédacteurs de Québec Urbain ne tolèrent plus ceux qui ont des opinions différentes des leurs! »
Mais encore !?
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28 septembre 2006 à 16 h 03
« Le coût de la vie et les frais d’exploitation des entreprises peu élevés. »
Je crois que le mot clé ici est « exploitation. » C’est bon pour les hommes d’affaires mais c’est pas nécessairement bon pour le québécois moyen.
Arrétons de s’emballer. Québec est une ville isolée qui attire peu d’étrangers et connais pas de croissance démographique.
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28 septembre 2006 à 19 h 39
On remarquera que la performance économique exceptionnelle de québec s’est faite sans un Aéroport agrandie et sans un Colisée NEUF…
C’était pourtant la recette magique et « sine qua none » de bien des maires en herbe!
(dont hugo Lepine et Bellemare et a un degré moindre Labeaume)
Mais , cela confirme la théorie « Duvallienne » que c’est Le besoin qui crée le service et non l’inverse :
» une croissance économique soutenue comme québec connait actuellement POURRAIT permettre un aéroport d’envergure, et autres infrastructures… »
En terminant-
Qu »est-ce qui va exercer le plus d’attraction pour un immigrant ou un petit investisseur:
1- Un Aéroport ou un colisée plus grand ?
2-Une économie florissante ou « l’argent roule » et avec un marché de l’emploi en demande ?
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28 septembre 2006 à 20 h 04
« On constate de plus en plus que les rédacteurs de Québec Urbain ne tolèrent plus ceux qui ont des opinions différentes des leurs! »
Plein de gens discutent de points de vue différents dans ce furum. Cependant, sur le dynamisme économique de Québec, moi et plusieurs autres on se surprend de la vigueur que certains mettent à convaincre tout le monde que Québec est économiquement merdique, malgré tous les indicateurs qui montrent de bons signes.
D’ou vient cette perception?
Je soupçonne le marché radiophonique des années précédentes d’avoir laissé des traces… je pense évidamment aux Jeff Filli.on et André Arthure qui sont prêt à débiter toutes les vraisemblances, demie-vérités et points de vue qui ne montrent que ce qu’ils veulent bien prouver. Y’en a chez qui la persuasion est proportionelle à la puissance de leur gueule ;-)
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28 septembre 2006 à 20 h 51
Pauvre Patrick qui écrit »Arrétons de s’emballer. Québec est une ville isolée qui attire peu d’étrangers et connais pas de croissance démographique. »
Totalement faux !!! Québec (RMR) gagne environ
6 000 habitants pas année.
Alors… on s’informe s.v.p.
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29 septembre 2006 à 12 h 48
« On constate de plus en plus que les rédacteurs de Québec Urbain ne tolèrent plus ceux qui ont des opinions différentes des leurs!
Pour répondre à ce préambule de M. Cazes, il y a peut-être des démagogues sans culture et à l’esprit étroit, mais il y a aussi des utopistes qui se pètent les bretelles pour pas grand chose! »
Je pense qu’au contraire, il y a plusieurs tendances d’opinions chez les rédacteurs de Québec Urbain, et il est arrivé que certains d’entre eux ont confronté leurs idées… dans le respect! ;-)
Il est vrai que Québec Urbain n’est pas, dans ma définition, un site « engagé »; il est vrai aussi que j’aime parfois (et de plus en plus) émettre certains commentaires en introduction de billets (mis en italique). ainsi, malgré tout le plaisir que j’éprouve à mettre à jour ce site, je dois avouer que je songe à créer éventuellement mon propre blogue qui ne couvrira que Saint-Sauveur, Saint-Roch et Limoilou. Dans ce blogue, je n’hésiterai pas à exposer souvent mes valeurs et convictions bien personnelles, en particulier si j’entends ou lis des âneries sans fondement qui nuisent à la réputation de ma ville. Mais en attendant, je fais mon possible ici, avec Carol et les autres collaborateurs.
Pour revenir aux « démagogues sans culture et à l’esprit étroit », je ne sais pas si le fléau perdure encore, celui des « animateurs radio extrêmes » (dont certains s’exprimaient de façon pitoyable), puisque que depuis le départ de Gillet, je n’écoute plus la radio commerciale…
Je suis fier de Québec, certes, mais il y a encore quelques déceptions à surmonter et des irritants à combattre: le balayage Conservateur au printemps, l’accroissement de la misère dans les quartiers centraux et le culte voué à l’automobile en matière de cho-ix de vie et de développement urbain, à titres d’exemples.
Bonne journée!
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