[Photo: Sophie Vachon]
Des dizaines de ballons s’envolent dans le ciel du parc Maria Goretti à Québec lors d’une cérémonie des Perséides, un groupe de soutien aux parents en deuil périnatal (perte d’un bébé en cours de grossesse ou en bas âge), samedi 7 octobre 2006. Chaque couple laisse s’envoller un ballon par enfant qu’ils ont perdu. Un bleu pour un garçon, un rose pour une fille, ou un blanc si le sexe était inconnu. Certain couple avait jusqu’à quatre ballons.
Quelque part dans cet envoi multicolore, le ballon bleu de Victor, fils de Francis Vachon et madame Québec Urbain 2.0, né à la 19e semaines de grossese le 24 septembre 2006.
8 octobre 2006 à 01 h 34
Hum.. j’ai resté bête en lisant ce message.. donc je suis allé voir ton blogue et j’ai vu ça… hé bien, j’imagine que ça n’a pas été facile.
Je visite le site Québec Urbain régulièrement et je n’ai jamais laissé de commentaire mais là, je fais une exception. Courage, ça va sûrement rendre ton couple encore plus fort.
Salutations.
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8 octobre 2006 à 06 h 04
Question idiote, les ballons c’est biodégradable ?
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8 octobre 2006 à 07 h 51
Vraiment très émouvant, ce billet, Francis.
Que dire, sinon bon courage à vous deux!
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8 octobre 2006 à 09 h 30
À Cindy et Francis,
Dernier Voyage,
Il faut aimer la vie et en apprécier chaque moment car un jour la mort nous ravit et nous emmène vers d’autres horizons… Cet être qui est parti, Victor, aurait vécu auprès de vous une foule de moments doux qu’il emporte avec lui dans sa nouvelle maison…
Espérant que le temps atténuera votre douleur et que les beaux moments, à jamais gravés dans votre coeur, seront pour vous réconfortants.
Lisette Lambert
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8 octobre 2006 à 19 h 52
Hum mes sincères condoléances, je peux comprendre la perte d’un être cher, vu que j’ai vécu ces derniers mois aussi un deuil…
En tous cas bon courage et foi en la vie…
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10 octobre 2006 à 00 h 28
Je ne sais pas Manu mais je crois que certaines municipalitées dans le monde interdisent ce genre de niaisage car les ballons une fois dégonflés vont servir de nourritures pour des oiseaux sauvages ou autres animaux, ils mourront étouffés ou bien les entrailles bouchés.
Ça ou mort dans l’oeuf…
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10 octobre 2006 à 13 h 03
Il me semble qu’il y a moyen de critiquer l’évennement sans toutefois manquer de respect. Plusieurs parents ont pleuré lors de cette cérémonie qui était pleine de sens pour eux. Il y aurait peut-être moyen de faire les choses différemment, si tu as des suggestions constructives l’organisme des Perséïdes sera probablement ouverte à les écouter.
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10 octobre 2006 à 14 h 23
Bonjour Stephen,
Heureuse de voir que tu as a coeur l’environnement, mais je trouve fort déplorable et d’un froid cruel les termes employés dans ton commentaire. Je ne te souhaite aucunement la perte d’un être cher, voir celle d’un enfant… car crois moi je n’ai jamais eu aussi mal de toute ma vie! J’aimerais simplement que tu puisse comprendre… Le climat lourd de tristesse et de détresse qui régnait en cette journée symbolique. Le cris d’amour de familles et de parents dévastés…
Certe il y a surement un autre moyen de souligner l’événement sans nuire à la faune et à la flore… Mais y’a surement une façon plus délicate et respectueuse de le dire!!! …
d’une maman peinée pour qui son petit ballon bleu avait une importance capitale…
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10 octobre 2006 à 19 h 46
Bravo.
Ya un temps pour les critiques et d’autres simplement pour le respect.
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