Le prochain thème : À grande vitesse
Dans un français difficile (j’aurais préféré qu’il parle en anglais, mais c’est une conférence organisée par le Bloc québécois…), James P. RePass, PDG de National Corridor Initiative aux États-Unis, discute de la possibilité d’implémenté un réseau de trains à grande vitesse aux États-unis. Et si ce réseau était connecté à Québec?
Monsieur RePass débute en traitant humoristiquement de l’électrification du corridor du Nord-Est.
Il désire concentrer un système de rail en Nouvelle-Angleterre et dans l’est du Canada.
Il s’attarde sur le mythe du rail, comme le fait que l’Amérique du Nord ne peut se comparer à l’Europe en terme de densité de population, ce qui serait un obstacle au rail selon ses détracteurs. Les participants approuvent par applaudissement.
Montréal New York par TGV? 3 heures de voyage. 2 heures seulement avec un système à l’européenne. « Pourquoi oublier Québec, une des plus belles villes du monde, » ajoute le conférencier.
Il faut coupler le retour du rail à un redéveloppement des centres-villes. Les gares peuvent facilement être installé en plein centre-villes, contrairement par exemple au aéroport.
22 octobre 2006 Ã 13 h 08
Vivant en France depuis un an, je ne peux que constater, toutes les semaines, que les transports en commun sur rail (métro, train… et à plus forte raison TGV) sont d’extraordina outils de développement du territoire. Régulièrement je m’interroge: si on avait fait de la « rentabilité » de la SNCF un critère pour développer tous ces rails, gare, horaires fréquents, etc… est-ce que la France serait celle que nous connaissons aujourd’hui et qu’on nous sert continuellement (avec raison) comme modèle à cet égard. Est-ce que nous sommes prêts aujourd’hui à subventionner des services ferroviaires de première qualité en se disant que les « retombées sociales et économiques » seront telles qu’il sera acceptable, le cas échéant, de subventionner à jamais le service? J’aimerais beaucoup avoir l’opinion du Bloc sur le sujet.
Par ailleurs, en ce qui a trait à la langue du conférencier… ce qui me fascine en Europe depuis mon arrivée c’est que presque toutes les salles de conférence (même de taille moyenne) possède dans leur architecture même tous les équipements nécessaires permettre l’interprétation simultanée. Il me semble que c’est quelque chose que nous devrions faire à Québec pour permettre à un nombre croissant d’intervenants, venant de tous les coins du monde, de venir partager avec nous leurs bonnes idées… dans la langue avec laquelle ils sont le plus confortable.
Valoriser l’expression en langue française c’est bien… c’est nécessaire, mais pas si cela se fait au détriment de l’ouverture sur le monde dont nous avons tous bien besoin par les temps qui courent.
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22 octobre 2006 Ã 13 h 08
Vivant en France depuis un an, je ne peux que constater, toutes les semaines, que les transports en commun sur rail (métro, train… et à plus forte raison TGV) sont d’extraordina outils de développement du territoire. Régulièrement je m’interroge: si on avait fait de la « rentabilité » de la SNCF un critère pour développer tous ces rails, gare, horaires fréquents, etc… est-ce que la France serait celle que nous connaissons aujourd’hui et qu’on nous sert continuellement (avec raison) comme modèle à cet égard. Est-ce que nous sommes prêts aujourd’hui à subventionner des services ferroviaires de première qualité en se disant que les « retombées sociales et économiques » seront telles qu’il sera acceptable, le cas échéant, de subventionner à jamais le service? J’aimerais beaucoup avoir l’opinion du Bloc sur le sujet.
Par ailleurs, en ce qui a trait à la langue du conférencier… ce qui me fascine en Europe depuis mon arrivée c’est que presque toutes les salles de conférence (même de taille moyenne) possède dans leur architecture même tous les équipements nécessaires permettre l’interprétation simultanée. Il me semble que c’est quelque chose que nous devrions faire à Québec pour permettre à un nombre croissant d’intervenants, venant de tous les coins du monde, de venir partager avec nous leurs bonnes idées… dans la langue avec laquelle ils sont le plus confortable.
Valoriser l’expression en langue française c’est bien… c’est nécessaire, mais pas si cela se fait au détriment de l’ouverture sur le monde dont nous avons tous bien besoin par les temps qui courent.
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23 octobre 2006 Ã 11 h 47
Quand on considère que les compagnies ferrovières paient pour les rails contrairement, aux compagnies de transport routier, il y a une inéquité absurde du point de vue environnemental.
Même chose pour les avions qui polluent sans en payer le prix. Avec leurs émissions en haute altitudes, leur impact sur les changements climatiques est significatif.
Je le redis : Paris-Lille (210km) = 45 min. Montréal – Québec = (250km) 1h. Pas de trafic, pas de GES, pas de perte de temps. Avant de faire un TGV vers New York, il me semble que ce serait plus utile pour les Québécois vers Montréal. Il n’y a pas de doute par contre qu’un trajet vers NY serait un instrument de développement économique pour Qc.
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23 octobre 2006 Ã 19 h 15
Si un TGV Québec-New York se fait, ca se fera probablement Québec-Montréal-Boston-New York. Le tronçon Boston-New York existe déjà et ce sera plus facile de construire Montréal-Boston que Montréal-New York (C’est plus court, et il y a plus de villes d’importance en chemin)
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23 octobre 2006 Ã 19 h 15
Si un TGV Québec-New York se fait, ca se fera probablement Québec-Montréal-Boston-New York. Le tronçon Boston-New York existe déjà et ce sera plus facile de construire Montréal-Boston que Montréal-New York (C’est plus court, et il y a plus de villes d’importance en chemin)
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25 mars 2007 Ã 13 h 26
Je suis Francais vivant a montreal depuis 4 ans bientot, et je vous assures que le TGV me manque pas mal.
je le prennais 2 fois par mois, Un BORDEAUX-PARIS en 2h30, c’etait vraiement le Fun.
Depuis que je suis a Montreal, j’aimerai partir plus souvent pour Québec, Toronto, BOSTON et New-york.
Eh ben ca ne me tente pas, car en Bus, oublions ca, c’est pas mal long, en avion, ca reste court, mais trop cher et trop poluant…. et puis les aéroports se trouvent toujours loin des centres villes…
Bref, Les gouvernements parlent toujours d argent, que ca couterait cher…. bla bla bla…..
Je vous assures que les retombés économiques seraient énormes, autant pour New-york, boston, Toronto, Quebec que Montréal.
Car les gens ne le prendraient pas seulement pour partir en vacance, mais aussi pour affaire.
Moi j’y crois et je croise fort les doigts pour que cela se réalise.
Eric
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