Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 14 novembre 2006
Si vous vous aventurez dans les quartiers centraux de Québec un soir de déneigement, vous devrez faire disparaître votre voiture de la rue plus tôt. Et, partout en ville, le remorquage coûtera trois fois plus cher. Ah, les joies de l’hiver…
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16 novembre 2006 à 10 h 40
Ah les joies de l’hiver… j’ajouterais: Ah! les joies d’avoir une voiture…:)
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