Cette activité « citoyenne » a fait l’objet de nombreuses discussions et reportages dernièrement, notamment à Christiane Charette (à défaut de Bazzo et de son équipe, qui me manquent cruellement pour ma culture…), mercredi dernier.
Source: Radio-Canada (Montréal), 23 novembre 2006.
Un camp de réfugiés temporaire a été érigé place Émilie-Gamelin, autour du métro Berri-UQAM, à Montréal. À toute heure du jour et de la nuit, les sans-abri peuvent y dormir au chaud et se mettre quelque chose sous la dent.
Sous l’un des deux chapiteaux chauffés, l’organisme Homelessnation.org recueille des témoignages des gens de la rue et Médecins du monde offre une clinique de santé. « Et c’est là qu’ont lieu les conférences et l’heure du conte », explique Annie Roy, cofondatrice de l’État d’urgence.
Fondé en 1998, cet événement annuel vise à la fois à faire le bien et à sensibiliser le public au sort des gens de la rue. Il est une initiative de l’Action terroriste socialement acceptable(ATSA)… (…)
24 novembre 2006 à 10 h 12
Charette!!!
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24 novembre 2006 à 10 h 36
« Charest »…
Beau lapsus… corrigé! ;-)
Merci, François
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24 novembre 2006 à 20 h 29
Propagande de merde. Rien à voir avec Québec, la ville.
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24 novembre 2006 à 20 h 52
« Propagande de merde. Rien à voir avec Québec, la ville. »
Peut-être. Mais il faudrait préciser davantage, et si possible en faisant usage d’un vocabulaire « civilisé »…
Au fait, à qui ai-je l’honneur de répondre? ;-)
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23 novembre 2007 à 11 h 50
Eric croit probablement que c’est de la propagande parce que ça contient le mot Montréal et qu’il se sent petit.
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