Source: François Simard, Québec hebdo, 29 novembre 2006.
(…) Environ 150 personnes ont pris part à cette assemblée qui avait lieu au sous-sol de l’église Saint-Thomas-d’Aquin.
Avant de donner la parole aux citoyens, Sonia Tremblay, urbaniste à la Ville de Québec, a dressé un bref historique de la Maison Gomin depuis l’inauguration de la prison des femmes en 1931 jusqu’à son acquisition par le promoteur. Elle a aussi expliqué les deux règlements qui faisaient l’objet de la consultation et qui, une fois adoptés par le conseil municipal, paveront la voie à la transformation du bâtiment en funérarium et à la construction d’un édifice de six étages comptant une soixantaine de condominiums. (…)