Source: Pierre Couture, Le Soleil, 7 novembre 2006.

La Maison Simons poursuit ses emplettes dans le Vieux-Québec en acquérant un édifice de 13 000 pieds carrés voisin à son magasin de la côte de la Fabrique.

Il y a quelques jours, Simons a acquis de l’homme d’affaires Grégoire Biron l’édifice du 24, côte de la Fabrique. Le bâtiment de deux étages, voisin du Simons du Vieux-Québec, abritrait notamment la boutique La Corriveau.

Cet été, M. Biron avait d’ailleurs manifesté publiquement son désir de se départir de son commerce en raison d’une baisse soutenue de visiteurs ces dernières années dans la capitale.

Hier, personne chez Simons n’était en mesure de commenter la transaction de 3 millions $ complétée la semaine dernière.

Voir ces deux billets.

Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 7 novembre 2006.

Les projets ne manquent pas à l’aéroport de Québec. En plus de la modernisation de l’aérogare, la direction de l’aéroport Jean-Lesage envisage la construction d’un hôtel de 100 à 150 chambres relié par une passerelle à la future aérogare revampée. (…)

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Source: Radio-Canada (Québec), 7 novembre 2006.

Pour souligner les 400 ans de la fondation de Québec, le Louvre a donné mardi les détails de ce qui est qualifié de collaboration sans précédent, et qui donnera lieu à une grande exposition au Musée national des beaux-arts de Québec.

Intitulée Le Louvre à Québec: les arts et la vie, cette exposition sera présentée du 5 juin au 26 octobre 2008. (…)

La suite. Aussi, ce billet.

Une vue rapprochée sur un fond de ciel gris, à partir du pont Samson en fin de journée vendredi dernier…

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 7 novembre 2006

La Ville de Québec n’a pas fini d’être serrée dans ses finances ; ses dépenses grimpent tellement plus vite que ses revenus qu’elle fera face à un manque à gagner de 24 millions $ dès l’an prochain, et de 106 millions $ en 2020.

L’étude réalisée par le Conference Board du Canada — un organisme privé spécialisé en analyses économiques — pour le caucus des grandes villes du Québec a de quoi décourager n’importe qui. Si rien ne change, les villes de Québec, Lévis, Sherbrooke, Trois-Rivières, Gatineau et Saguenay seront placées devant un choix déchirant : sabrer dans les services ou continuer de négliger les infrastructures.

À Québec, le Conference Board évalue que la faible croissance de la population et son vieillissement abaisseront le nombre de mises en chantier d’ici à 2020.

S’il est vrai que bien des résidants du centre-ville développent des préjugés envers les « banlieusards », reconnaissons que l’inverse est aussi vrai parmi ces derniers…

Pourquoi s’acharner à promouvoir l’idée que « la ville, c’est pas fait pour les enfants », surtout quand on n’a jamais vécu la réalité de la vie de quartier? C’est drôle, mais les jeunes que je croise quotidiennement dans mon coin n’ont vraiment pas l’air de s’ennuyer, profitant de toutes les ruelles « sales et transversales », des parcs et des centres de loisirs qui font le charme et l’intérêt de Limoilou!

Plusieurs lignes de l’article « Montréal, ville pour enfant? » (Mario Girard, La Presse, 27 septembre 2006) se transposent naturellement au cas des quartiers centraux de Québec, en particulier dans l’extrait sous-titré « Vive les ruelles » reproduit dans la page suivante. Un plaidoyer pour l' »engagement citoyen »!
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Source: Gilles Angers, Le Soleil, 3 novembre 2006

Plus de citadins que jamais veulent s’installer à la campagne ou s’en approcher, tout en étant près des services. Les autres rêvent d’un solarium ou d’une verrière qui s’avance dans la cour. Un sondage, effectué dernièrement par Léger Marketing pour le compte de la Société d’habitation du Québec (SHQ), révèle que les propriétaires qui veulent déménager (46%) d’ici les cinq prochaines années préféreraient une maison située à la campagne (35%) ou en banlieue (24%). Contre 22% et 24% chez les locataires qui accéderaient à la propriété. Ce qui dénote une lassitude de la ville et de son agitation.

La maison de sondage est plus affirmative encore:dans cinq ans, l’attrait de la campagne aura surpassé celui de la banlieue et de la ville pour les propriétaires qui déménageront ou qui envisageront de le faire.

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Source: Site TVA/Canoë, 3 novembre 2006

La Ville investit 50 millions $ pour rénover son incinérateur et allonger sa durée de vie. L’incinérateur est déjà vieux de 32 ans et on s’accordait pour dire qu’il était encore bon pour une dizaine d’années. Avec cet investissement, on croit pouvoir prolonger sa vie utile d’entre 25 et 30 ans. À noter qu’en cette ère de recyclage et de revalorisation, la capacité de traitement de l’incinérateur ne sera pas augmentée.

Source: Radio-Canada Québec, 3 novembre 2006

Le Réseau de transport de la capitale (RTC) met en place dès dimanche un nouveau parcours, le 75, sur le prolongement de l’autoroute du Vallon. Ce service sera offert tous les jours et permettra un lien direct avec les Galeries de la Capitale et les terminus Les Saules et Beauport.

La semaine prochaine, les usagers pourront utiliser le service gratuitement. Entre temps, des activités inaugurales sont prévues, samedi, aux abords du nouvel axe routier du Vallon. Des autobus du RTC feront la navette, aux 20 minutes, à partir des bureaux d’Hydro-Québec.

La mairesse de Québec, Andrée Boucher, le ministre des Transports, Michel Després, et le premier ministre Jean Charest inaugureront dans la même journée ce nouveau segment de 4,2 kilomètres. Ils profiteront de cette inauguration pour officialiser le changement de nom de l’autoroute qui portera désormais le nom de Robert-Bourassa.

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 4 novembre 2006

L’inauguration hier du nouvel axe Robert-Bourassa à Québec a souligné la dégradation du réseau routier québécois. Fraîchement prolongée de 4,2 km, l’autoroute devra subir une importante cure de rajeunissement sur son principal échangeur, a reconnu le ministre des Transports, Michel Després.

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