C’est avec tristesse que j’ai appris cette nouvelle hier matin, me rappelant du même coup une visite de M. Latulippe à l’époque où je fréquentais le cégep F.-X. Garneau.

À l’instar de Luc-André Godbout (hommage d’Agnès Maltais) et de Louis Fortier, ce personnage aura marqué de façon constructive, positive, l’histoire récente de Québec par l’exemple de sa détermination et de son dévouement envers la communauté à la fin des années 70 et dans les années 80.

Source: Radio-Canada (Québec), 25 septembre 2006.

Phil Latulippe est mort dimanche à l’âge de 87 ans. L’athlète de Cabano, dans le Bas-Saint-Laurent, avait décidé à 49 ans de se lancer dans la course de longue distance alors qu’il demeurait à Loretteville. (…)

La suite et cet autre article (Le Soleil).

Dire que « dans mon temps », au sortir de l’université dans le milieu des années 80, il y avait en moyenne un emploi disponible pour 180 postulants – j’exagère à peine! ;-)

Sans vouloir être trop pessimiste, la question demeure d’actualité au sein des groupes qui défendent les droits des personnes vivant la pauvreté au quotidien: jusqu’à quel point ces nouveaux emplois sont bien rémunérés et stables?

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 24 septembre 2006.

Avec un taux de chômage de 4,7 % et un taux de croissance annuel de près de 4 %, la région de Québec affiche l’une des économies les plus florissantes au pays, flirtant même avec les villes de l’Ouest.

En juillet, le taux de sans-emploi est même descendu à Québec sous la barre des 4 %, à 3,9 %. À ce rythme, c’est presque le plein emploi, dit-on chez Emploi-Québec.

Une situation qui tranche avec celle observée à l’autre bout de la 20, alors que le taux de chômage dans la métropole s’élève à 8,3 %.

Dans ce contexte, pas étonnant que certains employeurs ont mal à recruter des forces vives. « C’est serré dans tous les secteurs et cette situation devrait perdurer au cours des prochaines années », prévient Michel Gingras d’Emploi-Québec.

Voir aussi ce billet.

Vendredi dernier marquait l’ouverture du nouveau tunnel reliant le stationnement D’Youville (photos: entrée est et image ci-haut) à Place Québec (entrée ouest et image ci-bas).

Ce lien piétonnier souterrain d’une longueur de 75 m s’ajoute maintenant au réseau reliant les principaux immeubles de la Colline parlementaire.

À consulter aussi, ce billet.

Source: Frédérick Masson Québec Hebdo, 21 septembre 2006

Les artères commerciales de l’arrondissement La Cité s’animeront, le 30 septembre prochain, à l’occasion de la première édition de l’événement «Culture et saveurs dans les rues de Québec». Initiative du Centre local de développement de Québec et des neuf associations de gens d’affaires du secteur, ce grand rendez-vous proposera une panoplie d’activités destinées à toute la famille.

«Chacun des volets inscrits à la programmation de cette journée permettra de découvrir, ou redécouvrir, les artères commerciales. Toutes uniques de par leur architecture et leur histoire, ces dernières se dévoileront au public sous différents thèmes, notamment par l’entremise d’activités toutes aussi originales les unes que les autres»,

Voir la suite.

Entendu hier en fin de journée sur les ondes de Radio-Canada: « Tout le monde avait son excuse pour avoir utilisé la voiture »! Québec a décidément des croûtes à manger pour rattraper le modernisme, en matière de transport urbain, de villes européennes moins populeuses telles que Strasbourg, un exemple parmi tant d’autres…

Consolation: une température superbe pour l’événement, ou plutôt ce geste symbolique tout de même bien organisé, contrairement à l’année dernière où il tombait des clous [billet]…
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La version papier de l’article fait mention de la construction de 250 à 350 unités; un projet de 30 à 50 millions $…

Source: Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, 22 septembre 2006.

Quelque 80 locataires âgés de la Résidence Grande-Allée craignent de se retrouver à la rue, victimes éventuelles d’un vaste projet immobilier financé par le pharmacien Michel Cadrin. La trentaine de travailleurs toujours en poste seraient alors remerciés.

L’incertitude règne dans la résidence privée sise au coin de la rue Turnbull, dans la haute ville de Québec. Au cours de la dernière année, le nombre de chambres occupées a fondu de moitié, le gestionnaire ne relouant plus les logis vacants.

« Ça donne un climat d’insécurité », convient le gestionnaire, Serge Pelletier. Les personnes âgées craignent de perdre leur milieu de vie. Certaines décident d’ailleurs de partir immédiatement.

Voici quelques extraits de la chronique de François Bourque publiée ce matin et intitulé La campagne en ville, en lien avec l’important projet immobilier du promoteur Marc Simard [billet]…

Décidément, M. Bourque m’enlève les mots de la bouche dans son « cri du coeur »! ;-)

Source: Le Soleil, 23 septembre 2006.

(…) C’est là, devant le fleuve, derrière les arbres, que le promoteur veut construire des condos. Ce serait un sacrilège. Un sacrilège de laisser en jachère un si beau terrain, si près de la ville, à une époque où l’on peste contre l’étalement urbain.

Le pré appartenait aux soeurs Notre-Dame d’Afrique. Perdu derrière un boisé, entre le Collège Jésus-Marie et la maison Michel Sarrazin. Invisible. Inutile. Il n’a jamais été accessible au public.

Si la ville de Québec l’autorise, on y construira 120 condos et la bordure de la falaise deviendra une promenade publique.

Les immeubles projetés n’auront pas de voisins immédiats, n’obstrueront aucune vue, ne feront d’ombre à personne. On les remarquera à peine en roulant sur le chemin Saint-Louis.

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Cette nouvelle série de photos date de la semaine dernière. Les changements s’annoncent pour être des plus spectaculaires à l’ouest du pont Dorchester!

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Source: Radio-Canada (Québec), 22 septembre 2006.

Une centaine de chefs de file dans les domaines économiques, politiques et scientifiques de la région sont réunis au Château Frontenac pour manifester leur appui à la création d’un centre de sciences à Québec.

Les dirigeants d’une quarantaine de grandes entreprises de la région, l’Université Laval, les commissions scolaires, les chambres de commerce et plusieurs groupes de recherches appuient notamment le projet.

Cet endroit interactif comprenant des laboratoires vise à favoriser l’éveil des jeunes aux sciences et aux technologies. Ce lieu servirait aussi à la mise en valeur des entreprises scientifiques de la région.

La fondation Alcoa de l’Aluminerie Deschambault annonce un don de 75 000 $ pour la création d’un bureau servant à mettre sur pied le projet qui est dans l’air depuis 2001.

Des vingt plus grandes villes du Canada, Québec est la seule à ne pas être dotée d’un tel centre.

À consulter, ce billet.

Source: Louise Lemieux, Le Soleil, 21 septembre 2006.

De 250 unités de logements qu’il envisageait construire sur l’ancien terrain des Sœurs Notre-Dame d’Afrique du chemin Saint-Louis, le promoteur Marc Simard en construira 150.

Deux immeubles en longueur, de 60 unités de logements chacun, pourraient être érigés sur la partie est du domaine et neuf maisons en rangées construites à l’orée du boisé, tout près du bâtiment des Sœurs que le promoteur est en train de convertir en 16 condominiums. (…)

La suite. À consulter aussi, ce billet.