Source: Radio-Canada Québec, 8 août 2006

Le Réseau des intérieurs et des jardins anciens du Québec lance sa dixième saison de visites de lieux historiques cet été. L’organisme, qui fait la promotion du patrimoine québécois, organisera au cours des prochaines semaines des visites guidées dans une vingtaine de résidences privées du 19e siècle.

La population pourra admirer l’intérieur de ces maisons qui ont conservé leur cachet d’antan. Ces résidences sont situées dans le Vieux-Québec, ainsi que dans les quartiers Montcalm, Saint-Jean-Baptiste et Beauport. La programmation prévoit également une visite des jardins privés anciens, dont le jardin des Gouverneurs, le plus vieux d’Amérique du Nord, maintenant devenu un parc. Les visiteurs pourront notamment y découvrir la richesse de son histoire.

De plus, une exception sera faite quant à la visite de jardins anciens pour permettre la découverte du potager de fines herbes du chef Jean Soulard, situé sur le toit du Château Frontenac.

Le Samuel-Holland, l’un des principaux complexes résidentiels de la haute-ville, s’impose depuis plus de 25 ans dans le paysage urbain du quartier Saint-Sacrement avec sa tour principale (ma photo). Celle-ci devait à l’origine être occupée par un hôtel.

Source: Site Internet Ville de Québec.

Québec, le 31 juillet 2006 – La Ville de Québec et le ministère de la Culture et des Communications rappellent à la population que se tiendra, durant tout le mois d’août, la 2e présentation du Mois de l’Archéo, dans une dizaine de sites, musées, centres d’interprétation et autres lieux à vocation archéologique de Québec. Plusieurs activités dont un entretien en compagnie d’un spécialiste permettront à la population de porter un regard neuf sur l’histoire au travers de fascinantes découvertes
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En guise de réflexion sur l’impact environnemental de notre mode de vie citadine et le principe de « responsabilisation », permettez-moi de vous suggérer la lecture de ce texte publié récemment dans une revue féminine bien connue…

Billet vert (Source: Lise Savary, Châtelaine, août 2006).

(…) Chez nous, l’environnement pourrait avoir un effet tout aussi salutaire sur l’avenir politique de Jean Charest. Surtout que son plan vert repose sur le principe politiquement gagnant de « pollueur payeur ». Des 24 propositions du plan, une seule touche directement le citoyen : la classique campagne de sensibilisation.

Or, le principe du pollueur payeur a une odeur de déresponsabilisation. Si les pétrolières produisent de l’essence, c’est parce que NOUS en consommons. Et pas seulement pour alimenter nos rutilants VUS. (…)

La question que personne n’ose poser devant un micro est celle-ci : sommes-nous prêts, nous, Occidentaux choyés, à changer nos habitudes de vie ? Faut pas se raconter des histoires, le pollueur, c’est aussi le consommateur. (…)

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Source: Radio-Canada (Québec), 7 août 2006.

Les réactions sont loin d’être unanimes concernant la décision du gouvernement de Stephen Harper de maintenir l’Agora du Vieux-Port à la Pointe-à-Carcy. Si la mairesse de Québec, Andrée Boucher, se montre déçue, plusieurs sont satisfaits de cette décision. (…)

La suite. Voir aussi ce billet.

Voilà ce que titrait Le Soleil, samedi dernier! Québec Urbain a fait récemment mention du projet Les Façades de l’île [billet], détaillé dans le format papier du quotidien. Opinion personnelle, toutefois, les immeubles à condos Vertigo (Cité de Moncel, en bas de la carte), « variant de quatre à huit étages, notamment dotés d’une toiture gazonnée » [billet], seront beaucoup plus intéressants que les précédents à contempler une fois construits…

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 5 août 2006)

Deux nouveaux projets immobiliers vont de l’avant sur les terrains de l’ancienne cimenterie Saint-Laurent, à Beauport. La valeur des investissements, qui regroupe plus de 1100 unités d’habitations, s’élève à 250 millions $, a appris Le Soleil.

« C’est le plus beau site pour s’acheter un condo en ville », lance Jacques St-Pierre, le coordonnateur des ventes de la Cité de Moncel, un projet immobilier de 200 millions $ qui prendra pied le long du boulevard Sainte-Anne, à l’angle des autoroutes Dufferin-Montmorency et Félix-Leclerc.

D’ici 2013, la société immobilière Vertigo espère ainsi mettre en chantier 940 unités d’habitations, dont 500 condos et 440 unités multiplexes (duplex et maisons en rangée), sur plus de trois millions de pieds carrés dans l’axe Maizerets-Montmorency.

Article provenant du journal La Tribune, On parle de Sherbrooke, mais cela pourrait -être une autre ville… Québec ?

Source: Denis Dufresne La Tribune, 4 août 2006

L’effet dévastateur des fortes pluies des derniers jours serait-il accentué par la destruction des forêts et des milieux humides pour le développement immobilier? Les goupes environnementaux en sont persuadés.

« Il est certain que les grands développements résidentiels où le sol est dénudé et aplani contribuent au problème. Dès que l’on détruit un habitat naturel on vient créer une érosion potentielle parce que l’eau cherche à aller vers le point le plus bas », explique Josée Bernard, coordonnatrice du secteur environnement à la Corporation de gestion CHARMES.

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Source: LCN 6 AOÛT 2006

L’harmonisation des noms de rue à Québec n’a pas fini de faire couler de l’encre. Une trentaine de résidences près du lac Saint-Augustin ont changé trois fois de nom de rue au cours des derniers mois. Et maintenant, il n’y a plus de nom au coin de leur rue.

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Source: Louis-Guy Lemieux Le Soleil, 5 août 2006

Jean Provencher est un historien local qui connaît la ville de Québec et plus particulièrement le Vieux-Québec comme le fond de sa poche. Il a usé plusieurs paires de souliers en marchant, hiver comme été, les rues les plus pittoresques et aussi les moins passantes qui sont souvent les plus intéressantes. Il connaît tous les recoins de la ville intra-muros. Il connaît ses secrets aussi, qui sont nombreux. Pour tout dire, la petite histoire de cette ville lui semble aussi passionnante que la grande, l’officielle.
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Source: Pierre-André Normandin Le Soleil, 5 août 2006

L’annonce de la rénovation de l’Agora à son emplacement actuel a soulagé les nombreux groupes mobilisés par la crainte de voir la scène extérieure déménager. Les uns se félicitent de ne pas la voir apparaître dans leur cour, tandis que les autres voient dans la Pointe-à-Carcy le meilleur emplacement.

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