Source: Paul Roy, La Presse, 5 mars 2007.
(…) C’est la circonscription des petits salaires et des soupes populaires. Des HLM et des écoles qui ferment. De la culture, des grandes écoles, des musées, du théâtre, de la technologie et de la politique. La circonscription des contrastes. Entre la basse ville et la haute ville. Entre la population qui y vit et celle qui y gagne sa vie – dont les 125 députés de l’Assemblée nationale. C’est aussi la circonscription la plus pauvre du Québec. (…)
La suite.
6 mars 2007 à 11 h 29
UN rêve que ces deux mondes se rencontrent et cohabitent ensemble, sûrement lorsque l’être humain sera plus mature…
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6 mars 2007 à 18 h 21
Pendant des décennies, les habitats pour gens défavorisés ont été construit principalement au centre-ville. Cette concentration de la pauvreté est un effet pervers de politiques publiques qui n’accordaient que peu d’importance aux effets sociologiques de la concentration. Je pense aussi aux banlieues parisiennes qui sont devenues de véritables « trappes » dominées par des gangs criminalisés, certainement le pire exemple du genre.
La composition socio-économique devient moins homogène au centre-ville de Québec aujourd’hui. Il a fallu encore là des interventions considérables des pouvoirs publiques, municipal et provincial pour contre-balancer la tendance. Quand on se compare à Paris, je ne peu m’empêcher de croire que nous avons évité le pire.
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7 mars 2007 à 00 h 08
juste à enfouir les fils électriques, pis la photo change du tout au tout, refaire le trottoir, et on a qqchose de très bien
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20 mars 2007 à 18 h 34
Je n’aime pas trop la façon qu’est défini la circonscription de Taschereau. Et non, la basse ville et la haute ville ne sont pas s’y différent que ça, nous ne sommes pas deux peuples qui se donnent la guerre. «Des soupes populaires»; À croire que les gens de la basse-ville sont tous des itinérents…
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20 mars 2007 à 20 h 31
Les logements sociaux sont concentrés au centre parce qu’elles sont rares les anciennes municipalités de la CUQ qui acceptaient les logements sociaux sur leur territoire, parlez-en à notre chère mairesse!
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