Source: René Barry (Comité de sauvegarde du site de la Maison Gomin), Québec Hebdo (« Tribune libre »), 20 mars 2007.
Ayant carrément recours à l’intimidation, le promoteur et propriétaire du site de la Maison Gomin, monsieur Michel Boutin, a brandi la menace de ce qui pourrait survenir si jamais les citoyens décidaient de s’opposer à lui.
Dans un dépliant d’une arrogance peu commune, distribué dans les quartiers St-Sacrement et Saint-Thomas d’Aquin, et intitulé Connaissez-vous bien les enjeux de votre quartier? L’homme d’affaires Michel Boutin manipule non seulement la menace mais également la désinformation: il y fait en effet miroiter que des bénéfices reliés à son projet de changement zonage du site patrimonial de la Maison Gomin, tout en décrivant le scénario catastrophe qui surviendrait si jamais les citoyens décidaient d’exercer leur droit de se prononcer par référendum sur son projet. (…)
Merci à Gérald Gobeil pour cette information!
22 mars 2007 à 11 h 36
Assez inquiétant ce genre de discours. Ça pue les SLAPP (poursuites stratégiques) à plein nez et à mon avis le CSSMG devrait se préparer à une rude bataille, non pas pour sauver la Maison Gomin, mais pour défendre sa liberté d’expression politique la plus élémentaire.
À quand une loi contre l’intimidation juridique et les pratiques antidémocratiques?
Pas de sitôt: quand la question des SLAPP a été soulevée dans les médias en septembre dernier, le gouvernement Charest a répondu en créant un énième comité d’étude dont les travaux ont été noyés dans la présente campagne électorale.
Dans un Québec de coalition libérale/adéquiste, «la démocratie municipale n’est pas là et les chambres de commerce dansent.»
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22 mars 2007 à 11 h 37
Assez inquiétant ce genre de discours. Ça pue les SLAPP (poursuites stratégiques) à plein nez et à mon avis le CSSMG devrait se préparer à une rude bataille, non pas pour sauver la Maison Gomin, mais pour défendre sa liberté d’expression politique la plus élémentaire.
À quand une loi contre l’intimidation juridique et les pratiques antidémocratiques?
Pas de sitôt: quand la question des SLAPP a été soulevée dans les médias en septembre dernier, le gouvernement Charest a répondu en créant un énième comité d’étude dont les travaux ont été noyés dans la présente campagne électorale.
Dans un Québec de coalition libérale/adéquiste, «la démocratie municipale n’est pas là et les chambres de commerce dansent.»
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25 mars 2007 à 23 h 35
et puis conclusion :
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Quebec/2007/03/23/007-gomin_travaux.shtml
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