Source: Régys Caron, Canoë (Le Journal de Québec), 27 mars 2007.
La construction d’un réseau de transport par tramway, à Québec, nécessiterait le creusage d’un tunnel sous le boulevard René-Lévesque à partir du Grand Théâtre et dont la sortie serait dans le haut de la côte d’Abraham.
Le manque d’espace sur la colline parlementaire ainsi que la pente de l’avenue Honoré-Mercier rendent nécessaire la construction de ce tunnel sur une longueur d’environ un kilomètre au coût de 60 millions de dollars, soit le double du coût d’aménagement d’un kilomètre de voie de tramway en surface. (…)
Merci à Gérald Gobeil pour cette information!
30 mars 2007 à 08 h 41
Comment? Pardon? 60 millions pour un tunnel? Tant qu’à faire, on pourrait niveler la haute-ville avec la basse-ville à la pépine! Comme ça, on aurait pas besoin de tunnel!
Vous savez, avoir un rêve c’est une chose. Oui sur le plan esthétique (et écologique) c’est joli un tramway mais quand tu es rendu à remuer ciel et terre pour que cela se fasse, y’a quand même des limites.
Y’a pas de honte à avouer que le territoire de Québec n’est pas conçu pour recevoir le tramway. C’est normal qu’une ville n’ait pas la géographie pour réaliser certains projets.
Est-ce qu’on demanderait à Venise d’avoir un métro? ;)
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30 mars 2007 à 09 h 30
Quand je regarde les plans projetés pour le tramway et que je vois que ceci implique le retrait de 2 voies de circulation sur les axes routiers, ça me bogue en crime…
Essayez de monter Henri-Bourassa à la hauteur du Terminus à l’heure de pointe avec une seule voie… Ish…
À mon avis, l’avenir du transport en commun à Québec passe par une plus grande fréquence des autobus et surtout une meilleure fiabilité des heures de passage.
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30 mars 2007 à 10 h 16
Jean-Michel, tu as raison: l’amélioration du transport en commun passe par une plus grande fréquence de passage et une meilleure faibilité des horaires.
Et pour obtenir une meilleure fiabilité des horaires, et permettre une plus grande fréquence de passage, la seule solution, c’est d’implanter des voies réservées!
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30 mars 2007 à 10 h 46
@Lucas
Alors, San Francisco a la «géographie» pour accueillir, depuis fort longtemps, mais pas Québec? Un peu de sérieux svp!
@Jean-Michel
On a souvent parlé des problèmes de l’axe Métrobus sur ce site, et ce n’est pas du tout le problème de la fréquence ou de la fiabilité des horaires qui font défaut, mais plutôt le fait que les bus soient bondés et inconfortables. Le tram est une solution à cela.
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30 mars 2007 à 10 h 50
…et bien sûr, pour implanter des voies réservées au transport collectif, il faut bien enlever des voies de circulation automobile.
Il faut être cohérent.
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30 mars 2007 à 11 h 16
Dans ce cas, il vaut carrément mieux faire un métro automatique léger.
Il serait presque tout le long en souterrain, ne prendrait pas de place sur les grands axes, serait rapide et fiable, bref que des qualités. Y a qu’à regarder comment d’autres villes ont fait ça et on réussit à réduire significativement leur circulation auto.
Chicago, Orlando, Lille, Rennes, Paris, Toulouse, Taipei etc…
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30 mars 2007 à 11 h 42
Il y a également le Skytrain qui est génial a Vancouver. On peut s’asseoir directement à l’avant du train.
Par contre, je ne crois pas que tout cela soit dans la même gamme de prix.
J’aime bien l’idée du tram, mais dans le projet actuel, je trouve dommage qu’il ne semble pas avoir de lien vers le secteur nord-ouest (chauveau, loretteville) qui est le plus désavantagé en matière de transport collectif, et c’est le secteur où il y a le plus de développement résidentiel. Pourquoi pas un tram sur l’axe du boulevard du vallon?
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30 mars 2007 à 11 h 55
@David: Quand je verrai un hiver à San Francisco comme on a à Québec, je t’accorderai ton point. Sérieux.
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30 mars 2007 à 12 h 17
« je trouve dommage qu’il ne semble pas avoir de lien vers le secteur nord-ouest (chauveau, loretteville) qui est le plus désavantagé en matière de transport collectif »
Un axe métrobus est prévu sur de l’Ormière ainsi que sur Lebourgneuf pour desservir ce secteur dans les axes nord-sud et est-ouest.
Le tram, considérant son coût, ne devrait être installé que sur les parcours les plus empruntés actuellement, donc l’axe 801 et peut-être dans une certaine mesure l’axe 800. par exemple une ligne jusqu’aux terminus de Beauport et Charlesbourg, les deux se terminant au terminus de Ste-Foy.
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30 mars 2007 à 12 h 37
C’est quand même formidable! Le débat tourne toujours autour des mêmes problématique.! On a déjà répondu à tout cela, et à plusieurs reprises…
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30 mars 2007 à 13 h 29
« Le tram, considérant son coût, ne devrait être installé que sur les parcours les plus empruntés actuellement, donc l’axe 801 et peut-être dans une certaine mesure l’axe 800. par exemple une ligne jusqu’aux terminus de Beauport et Charlesbourg, les deux se terminant au terminus de Ste-Foy. »
C’est pas avec cette stragégie que l’on va développer une nouvelle clientèle. Ceux qui prendront le tram seront les mêmes qui prennent la 800-801 actuellement. D’où l’importance de créer des lignes vers des secteurs moins bien déservies mais où la demande le justifie.
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30 mars 2007 à 13 h 34
« D’où l’importance de créer des lignes vers des secteurs moins bien déservies mais où la demande le justifie. »
Une fois un tram implanté, il serait possible de détourné les autobus remplacé par le tram vers ces secteurs.
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30 mars 2007 à 13 h 53
Parlons plutôt du tunnel…
Tout d’abord, depuis que le projet de tramway a été lancé il est question de tunnel entre le Grand Théâtre et la côte d’Abraham, ce n’est absolument rien de nouveau.
http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/nouvelles/200303/06/001-tramway.shtml
Je me souviens par ailleurs qu’on mentionnait, en entrevue à Radio-Canada à ce moment, qu’on enlèverait deux voies à Dorchester ou La Couronne (je ne me souviens plus), plutôt que d’en prendre une sur chaque avenue, n’en laissant qu’une seule. Enlever une voie dans chaque direction sur 4-B ou Laurier ne m’inquiète vraiment pas, surtout si c’est pour la remplacer parce quelque chose d’efficace, mais enlever deux voies sur trois me semblait un peu dérangeant…
Pour en revenir au tunnel, il y a quelque chose que je ne comprend pas, mais vraiment pas.
Il y a une trentaine d’année, on a abandonné la construction du tunnel (il n’en restait vraiment pas long) entre l’autoroute Dufferin et René-Levesque (St-Cyrille) sous prétexte que les coûts devenaient astronomique (la roche ne tenait pas aussi bien que prévu, ou quelque chose du genre). Il se peut que je me trompe, mais il me semble que c’était le principal argument. On a donc plutôt fait passer tout le traffic en surface, après avoir rasé ce qui s’y trouvait. Il en restait à peu près 500m à faire, plus un autre 500m de « bretelles ».
Maintenant, on nous dit qu’un tunnel de 1km, bien que plus petit que celui de l’autoroute, et peut-être creusé à ciel ouvert, ne coûterait que 60M$?
J’ai vraiment du mal à le croire…
Ça me fait penser aux stations de métro de Laval… estimation des coûts 200 M$. Coût réel? Depuis qu’on a atteint le milliard, on ne semble même plus compter…
Si on avait dit 300M$ je l’aurais cru, mais à 60M$, j’ai l’impression qu’on essaie de nous avoir.
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30 mars 2007 à 13 h 54
Il me semble qu’entre l’acceptation totale d’un projet-tramway: » Oui, c’est le fun! » , et le refus total: « NON , c’est fou! » il y aurait de la place pour des audiences publiques afin d’y voir plus clair.
Il y a une forte composante technique et financiere dans un tel projet et on aurait besoin de l’aide de personnes compétentes et spécialisés: géograhes du transport, urbanistes, ingénieur de circulation etc etc
La situation présente est que les gens se forment leur opinion a partir de lignes-ouvertes (Les grandes gueules)
Et ca c’est pas normal pour prendre une décision éclairée!
Le mécanisme des audiences publiques a été appliqué pour l’avenir de l,Agora ainsi que des bretelles Dufferin et c’est une recette qui a fait ses preuves.
Dans les audiences publiques, ce n’est pas qu’une place ou les gens qui sont « contre » viennent s’engueuler contre ceux qui son « Pour »; c’est une place ou toutes les facettes d’un projet sont exposés, confrontés…et que les choix alternatifs sont proposés.
Le citoyen manque d’informations , c’est flagrant!
Et ni les journaux généralistes, ou populistes ne sont en mesure de le faire…(les opinions, ce n’est pas assez suffisant)
S’il y a eu des audiences pour Rabaska, je ne vois pas pourquoi il n’y en aurait pas pour le tramway ou le transport…
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30 mars 2007 à 14 h 19
Oui pour des audiances, il y en aurait de toute manière, mais il faut avoir une étude! D’où l’absurdité de dire non à tout avant alors qu’il y a encore besoin de données techniques. Le problème ce n’est pas le climat, l’efficacité de la technique, la densité du parcours, les besoins de Québec, ou quoique ce soit d’autre qui sont des problèsmes déjà règlés, c’est une question de sous parce que nous sommes un peu cheap ici (quoique plutôt riches comme société).
Bref, pour savoir s’il est possible de creuser un tunnel pour 60 millions, moi aussi ça m’étonne même si je suis à 100% pour le projet, mais peut-être que par la surface, c’est plus simple, ça prends une étude qui explique comment, je suis aucunement expert en la question et je croirais plus un ingénieur qui me le dit que n’importe qui dans un forum qui affirme que c’est impossible sans preuves et sans études à l’appuie.
La seule solution, c’est de réaliser la sapristie d’étude et après d’avoir des audiences publiques avec des données complètes pour que les gens puissent être convenablement informés.
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30 mars 2007 à 14 h 46
Après que 2008 sera chose du passé, et que les travaux reliés aux Fêtes du 400e auront été réalisés, je doute fortement que des projets de cette ampleur (tramway) soient sur la table. Dès le départ, et si je me trompe on le dira, il n’y a pas une volonté gouvernementale pour QuébecTram. C’est un minimum il me semble. Et il faut une très forte clientèle pour en assurer la viabilité, ce qui n’est pas encore le cas.
Il y a maintenant un courant très net de faire plus avec beaucoup moins. Et quand on veut réaliser un projet public de cet ordre, le même courant veut que le privé s’y associe.
On est loin du premier billet de TramQuébec!
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30 mars 2007 à 15 h 08
Je vais peut-être créer un débat inter-génération mais je me lance quand même.
Le coût d’un projet devrait être le PREMIER critère de faisabilité, parce qui oui, l’argent mène le monde. Avec ce que je lis sur le forum, j’ai l’impression qu’un discours de « je-m’en-foutisme » provient de la génération au-dessus de la mienne (je suis dans la vingtaine). Faut embellir la ville oui, mais avec des projets qui se tiennent, surtout quand on pense que du transport en commun, c’est déjà en service à Québec.
On nous prépare déjà à faire face à la dénatalisation et le coûts que cela va engendrer. Est-ce que, svp, il y aurait moyen de ne pas nous léguer une autre dette de un milliard de dollars!? Je suis inquiet pour mon avenir et ma génération.
Et pour ceux qui pronent une audience, faudrait comparer les bonnes choses ensembles. Le BAPE pour Rabaska, c’est pour l’environnement. En ce qui concerne le tramway, on sait déjà que c’est vert. Et deuxième chose, le projet « Rabaska », comme son nom le dit, sera financé par l’entreprise privée tandis que le tramway l’est par les finances publiques.
Ajoutez-moi une taxe tramway pour payer votre joujou et je quitte la région.
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30 mars 2007 à 15 h 12
« Et il faut une très forte clientèle pour en assurer la viabilité, ce qui n’est pas encore le cas. »
Ah bon.
Vous en parlerez à Bordeaux, dont la société de transport avait, lors de la mise en service du tramway, en 2000, 28 millions de passagers / an… et qui en avait 52 millions en 2005.
Juste pour info, le RTC a eu 40 millions de passagers l’an dernier.
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30 mars 2007 à 15 h 36
En ce qui concerne le bassin de clientèle, voilà l’opinion des chercheurs et experts du CRAD (Centre de recherche en aménagement et développement):
Les analyses présentées dans notre mémoire démontrent que la demande requise pour
implanter un tramway est définitivement acquise. Un retard dans son implantation serait même
de nature à faire diminuer la part modale du TC dans la partie centrale du réseau parce que la
capacité des véhicules actuels est régulièrement insuffisante pour répondre à la demande et
que le nombre d’autobus requis pour assurer le service engendre des nuisances qui sont
dommageables pour l’environnement, les valeurs foncières le long des axes et la qualité de vie
des citoyens. Nous sommes donc d’avis que la réalisation du plan d’implantation d’un
tramway tel que proposé par le RTC constitue une nécessité pour la Ville de Québec.
Pour la source :
http://www.crad.ulaval.ca/documents/Memoire_TC_CRAD.pdf
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30 mars 2007 à 17 h 18
Pendant que vous vous demandez si l’ont doient implanter un tramway, c’est une partie de votre argent qui est investi dans le transport en commun de d’autre ville. Le mois dernier Stephen Harper a donner 950 millions a la ville de Toronto pour agrandir le metro de 9 KM. C’est pas plus grave si vous ne voulez pas du tramway, votre argent va aller a d’autre ville (Montreal) et vous allez encore chialer que vous n’avez rien a Quebec et que Montreal ramasse tout.
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30 mars 2007 à 18 h 05
« En 2005, le RTC a déposé son plan stratégique de développement des services 2005-2014. L’idée principale de ce plan est d’accroître l’importance du transport en commun dans la capitale. L’objectif est de compter 52 millions de déplacements en autobus par année à partir de 2014. Le RTC comptait 40 millions de déplacements en 2006. » (Source: RTC)
Très bien. Cela demanderait un tramway?
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30 mars 2007 à 19 h 53
Non, en effet. De toutes façons, vous avez raison: il faut se contenter de faire le strict minimum. Dépasser son objectif initial? Surtout pas!
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30 mars 2007 à 20 h 02
Moi je ne demande qu’une chose avant d’appuyer un projet-tramway: ETRE INFORMÉ
Et je ne le suis pas…
Donc je reste sur ma réserve…(ni pour ni contre)
Et j’imagine que des milliers de citoyens sont dans ma situation.
Bizarre que les pro-tramway ne sont pas plus chauds
que cela aux séances d’informations;
Ils perdent peut-être des dizaines et des dizaines de milliers d’appuis!
(actuellement ce sont les grandes gueules de la radio qui donnent l’information; et ils sont plutot contre)
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30 mars 2007 à 20 h 30
Pas informé… Sur ce site, quelques documents ont été référés dans les commantaires sur l’aménagement, les contraintes, la viabilité économique… Le RTC a présenté un document, d’autres chercheurs ont présenté leur point de vue
Entk, j’ai l’mpression que plus on s’informe, plus on est contre tout simplement en raison d’un coût exorbitant. EH NON! Je ne pense pas négliger l’aspect positif de ce projet en disant cela. Malgré tous ses bons côtés, ont peut se rendre compte que bien d’autres projets peuvent aussi offrir beaucoup en exigeant moins.
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30 mars 2007 à 20 h 34
Eh puis qu’on la fasse cette étude de 8M$. Comme ça on pourra tous s’en donner à coeur joie pour dire d’elle qu’elle est tendancieuse, oublie ou ajoute des coûts, oublie ou ajoute des aménagements… selon le point de vue bien sûr ;-)
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30 mars 2007 à 21 h 08
@lucas: Tu parles de «géographie» dans ton commentaire et tu me réponds en parlant de température, je ne te suis pas là…
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31 mars 2007 à 11 h 53
Oui c’est vrai en effet la ville de Québec n’est pas faite pour avoir un tramway climat trop dure et pentes trop raides population faible!!! … Bizzare qu’oon aille déja eu un tramway et que trois riviere aussi aie eu un tramway …. Je comrpends pas comment ils faisaient il y a 50 ans … évidemment c est du sarcasme
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31 mars 2007 à 12 h 19
Gérants d’estrades !
Pour que des audiences publiques aient lieu, il faut d’abord de l’information. Il nous faut l’étude d’avant projet.
Le commentaire de Gérald Gobeil est de mauvaise foi. C’est une invitation aux attaques personnelles. Même chose quand certains disent que ce n’est pas possible techniquement.
Un tunel pour le tram, il y en a un à Strasbourg. L’étude permettra de voir à combien s’éleverait le coût du projet pour Québec.
Pour ceux qui se demandent si on a les moyens de se payer ca (comme si le Qc et le Canada ne participeraient pas), je leur renvoi la question. Est-ce qu’on a les moyens de s’en passer ? Qui peut me dire combien de temps l’essence sera abordable ? Dans combien de temps est-ce qu’on pourra changer de technologie pour que les autos ne dépendent plus de l’essence ?
Ceux qui essaient de nous faire croire que tout sera toujours croissants en matière d’énergie, ignorent que la terre est ronde. Combien coûte aux gens de Québec l’augmentation du prix de l’essence depuis 2000 ? La réponse ne doit pas être si loin du prix du projet de tram.
Si l’on a aucun pouvoir sur le prix de l’essence, on a au moins le choix de s’offrir une alternative beaucoup plus abordable, le tram. Il faut maintenant faire le calcul et se demander : quand est-ce que l’on veux payer, pendant la crise pétrolière ou avant ?
Thomas : On vera bien dans l’étude d’avant projet qu’elles seront les variations de clientèles. Mon avis, qui vaut autant que le tiens, c’est que si Bordeaux en cinq ans a connu une hausse du nombre d’usagers de 28 à 52, ce sera certainement semblable, à Qc. Surtout si on réalloue les bus mobilisés actuellement aux parcours métrobus à d’autres parcours.
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31 mars 2007 à 17 h 29
@David
David, vous parlez de tramway à San Francisco. Êtes vous déjà allé à San Francisco? Ce n’est pas des tramways qu’il y a dans les côtes. Ce sont des cables cars tirez par des câbles dans le sol. Et ce ne sont pas sur des voies réservées, c’est en pleine rue au milieu du traffic. C’est pas du tout ce dont il est question à Québec.
Il y a des trams sur Market Street par exemple qui se rendent vers Castro, mais c’est sur du plat tout le long, y’en a pas dans les côtes.
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31 mars 2007 à 17 h 54
@ Jérôme,
C’est pas si plat que ça de Market à Castro! même que la ligne de tram vers SNFU est sousterraine sur une bonne partie de son parcours à cause des côtes et de l’emcombrement de Market. Bref, le tram s’adepte très bien au relief, mais le recours au tunnel est souvent utilisé pour des question pratiques d’insertion, exactement ce qui est proposé dans le projet de Québec, pas de quoi discréditer ce moyen de transport!
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31 mars 2007 à 20 h 01
LA VILLE DE QUÉBEC A DÉJA POSSÉDÉ UN TRAMWAY ELLE ÉTAIT A LA FOIS EN BASSE VILLE ET EN HAUTE VILLE ET MONTAIT PAS LA COTE D ABRAHAM … ALORS LA POLÉMIQUE EST TOUT A FAIT INUTILE
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1er avril 2007 à 01 h 44
Je suis originaire de Québec et j’habite présentement à San Francisco. Toutes les lignes du système de transport léger sur rail (SLR) de MUNI sont en sousterrain sous Market dans le centre ville, pour éviter la congestion. Les 4 stations de BART (l’équivalent saint-franciscain du RER) du centre-ville sous situées *sous* les stations de MUNI. Veuillez jeter un coup d’oeil à cettre carte pour référence: http://www.sfmta.com/cms/mmaps/images/Metro-Map-Sq-47×47-final.gif
Les ligne J et N sortent en surface les premières (en s’éloignant du centre), @Church & Duboce. La ligne N retourne en tunnel un peu plus loin pour passer sous une colline, alors que la ligne J reste en surface jusqu’à son terminus.
Les lignes K, L et M sont en tunnel jusqu’à West Portal, station située (comme le nom le suggère) là où les voies émergent du sol. Encore une fois le tunnel passe sous une colline (entre Castro et West Portal) — Twin Peaks, une des plus haute (sinon la plus haute) de la ville.
La toute nouvelle ligne T (est en rodage et qui sera officiellement mise en service samedi prochain) partage le même tunnel que toutes les autres entre Embarcadero et Castro.
La topographie de Québec n’est certainement pas un empêchement à un SLR. Les tramways montaient la Côte d’Abraham il y a 60 ans. La neige non plus. Les tramways circulaient à Québec il y a 60 ans, alors qu’il y neigeait déjà. Construire un tunnel dans le centre-ville serait (selon moi) tout à fait nécessaire, et coûterait certainement beaucoup plus que 60 millions. Il ne faut pas nous prendre pour des valises. Mais un SLR serait quand même tout à fait faisable à Québec et, selon moi, souhaitable.
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1er avril 2007 à 08 h 19
Je crois que la question n’est pas de savoir si la projet est techniquement faisable!!! Mais plutôt est-ce qu’une telle dépense est justifiable?
En d,autres mots…..avons-nous les moyens de nous payer un tel jouet?
Bien ententdu, sur cette question la réponse est biaisée!! Oui avoir un tramway à Québec serait une bonne idée. Après tout, qui serait contre la vertue! Mais est-ce économiquement une idée viable?? Afin de répondre à la question nous devons faire abstraction de tout sentiment qui nous emporterait vers un certain embalement…et regarder froidement les faits?
1- Le cout.
2- Les possibilités de service réellement possible.
3- Le potentiel maximum de la clientèle qui pourrait profiter du service
4- En quoi un tramway déservirait mieux la clientèle du rtc actuelle versus une binification du présent service.
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1er avril 2007 à 12 h 37
Des petites gens qui s’exitent parce qu’il faut construire un tunnel…
Et alors, on va le faire. Y’a rien là un deux ou trois tunnels, construire un métro souterrain nécessite encore PLUS d’argent.
La solution d’un tramway est IDÉALE et sage à long terme pour des villes qui sont à plusieurs niveaux comme les villes de SAN FRANCISCO.
Donc j’ai hàta à la première pelletée de terrepour notre système de Tram de la Capitale.
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1er avril 2007 à 13 h 38
Je vous ferai remarquer M. Nabucodonosor que construire un tunnel n’est pas chose aisée.
La raison première de l’arrêt des travaux concernant la construction du tunnel où vont se perdre les deux bretelles d’autoroutes en est le cout prohibitif qui s’avérait nécésaire pour sa contruction.
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1er avril 2007 à 14 h 43
@ M. Duval:
1- Le cout.
Le projet est estimé à 750 M$ pour 21 km de ligne de tramway. Outre les éléments nécessaires au tramway (véhicules et rails), on peut intégrer à ce coût les frais d’excavation nécessaires à la réfection des infrastructures d’aqueduc, les frais de réfaction de l’axe du boulevard Laurier, les frais de revitalisation de la 1ere avenue, etc.
Fait très important: se réalisant, le tramway étant une structure dite « lourde », sa mise en place est prise en charge à 100% par le gouvernement provincial.
2- Les possibilités de service réellement possible.
Un tramway est l’élément transport d’un projet d’ensemble urbain. Étant donné sa forte capacité, le tramway desservirait les zones les plus denses de la ville. Les densités de population et d’emploi du corridor probable du tramway sont tout à fait comparable à celles observées dans les villes qui ont adopté ce type de projet.
3- Le potentiel maximum de la clientèle qui pourrait profiter du service.
Même si on crie à l’injustice quand on pense que le tramway desservirait les axes actuels du métrobus, il ne faut pas oublier que c’est effectivement dans ce corridor que la demande est la plus forte. De plus, c’est également dans ce corridor que la demande résiduelle est la plus prometteuse.
Enfin, il ne faut pas considérer ce service pour l’unique population du centre-ville. L’ensemble des parcours réguliers du RTC permettront de correspondre avec le tramway.
4- En quoi un tramway déservirait mieux la clientèle du rtc actuelle versus une binification du présent service.
Parce que la capacité actuelle des autobus au centre-ville est proche d’atteindre son maximum. Ajouter des autobus? Oui mais à terme cela n’est plus viable car mettre en file tous les véhicules finit indirectement par s’auto-nuire.
Se procurer des articulés? Oui mais il faut revenir à l’essence du projet: le tramway est l’élément transport d’un projet urbain. L’autobus ne permet pas de canaliser autant d’investissements et de plus value qu’un tramway. Le tramway permet donc, à terme, de générer un retour intéressant sur l’investissement, notamment en accroissant l’activité économique à ses abords, en augmentant la valeur foncière (et donc fiscale) de ses axes.
Le tramway a donc effectivement un coût (assumé par le provincial) mais on ne parle que trop rarement de ce qu’il pourrait également rapporter.
Évidemment, ma réponse est incomplète. On pourrait discuter longtemps des effets d’un tel projet. Quoiqu’il en soit, avant d’y mettre définitivement la hache, il convient de réaliser l’étude nécessaire à sa mise en place.
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29 avril 2007 à 18 h 06
Dernier développement (28 avril 2007):
« Le gouvernement Harper ne participera pas au financement d’une étude de faisabilité de 8 millions $ du projet, faute d’un consensus local.
La ministre Josée Verner, responsable de la région de Québec au gouvernement fédéral, l’a confirmé, précisant que les gouvernements provincial et municipal n’ont pas manifesté une volonté de réaliser cette étude. «
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2 mai 2007 à 13 h 03
Et cet article à lire:
http://www.lesaffaires.com/publications/commerce/la-une.fr.html
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3 mai 2007 à 15 h 14
Les Affaires : « La part gouvernementale du financement du transport en commun est ainsi passée de 39 % en 1991 à 12% en 2004, selon les derniers chiffres disponibles. »
Elle est drôle Josée Verner. Elle attend un consensus ? Les gens d’affaires jugent le projet prioritaires, le Conseil municipal aussi (c’est inscrit au PDAD qui a été adopté à l’unanimité) et les citoyens sont majoritairement favorables !!! Certains reprochent au québécois leur manie du consensus…
La vérité c’est que Josée Verner n’a pas de force dans le cabinet. Elle n’est pas soutenue par ses collègues, c’est elle qui n’est pas capable de faire le consensus dans son gouvernement. La région de Québec est négligée parce que Josée Verner n’a pas de couilles. C’est ça le parti Conservateur…
20$/semaine. C’est ce que le RTC estime qu’il coûte à un navetteur en essence pour ses déplacements domicile-travail. L’essence est passée de 1$/L à 1,10$/L dans le dernier mois. Le 20$/semaine devient 22$/ semaine. 2$ multiplié par 46 semaines (6 semaines de vacances par années) nous donne 92$ par navetteur par année (c’est le prix annuel de l’augmentation du prix de l’essence). 92 $ multiplié par 300 000 navetteurs de Québec (c’est une estimation) nous donne 27,6 M$ que l’on donne cette année de plus aux pétrolières. En divisant 750 M$ par 27,6 M$ on déduit qu’au bout de 27 ans les navetteurs de Québec auront donné aux pétrolières ce qu’il faut en 2007 pour le projet de tram.
La question ce n’est pas : Avons-nous les moyens de nous offrir un tram ?
Mais plutôt : Avons-nous les moyens de ne pas nous offrir un tram ?
Évidemment, dans 30 ans, le pétrole sera abondant au Canada et il coûtera encore 1,10 $ le litre. ;)
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3 mai 2007 à 17 h 56
Et vlan ! bon coup JT
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3 mai 2007 à 18 h 37
« Elle est drôle Josée Verner. Elle attend un consensus ? » JT
La mairie de Québec et le gouvernement du Québec ne veulent pas se mettrent dans le coup. Quelle instance est prête à fiancer aujourd’hui????
Puis pour les chiffres, ont leur fait bien dire ce que l’on veut. Si l’on veut être méthodique, il faudrait comparer le scénario du tram avec des scénarios impliquant d’autres projets. Des chiffres qui ne sont pas comparés ne valent rien.
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3 mai 2007 à 18 h 45
il faudrait définir « navetteur » ici
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3 mai 2007 à 18 h 51
Puis bon sens, pourquoi autant de gymnastique???? Pourquoi ne pas tout simplement prendre les dépenses moyennes du RTC annuellement en carburant puis calculer une augmentation de 10%?
300000 navetteurs… sur une population totale de 500000 à Québec… ouais, comme vous dites, c’est une estimation.
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3 mai 2007 à 20 h 09
J’ai beau être séduit par l’idée d’avoir un tram à Québec, je n’adhère pas à la théorie de JT. Son calcul est trop approximatif pour évaluer le coût marginal de l’augmentation du prix de l’essence sur les déplacements quotidiens des navetteurs.
De plus, il est beaucoup trop simple de baser le coût simple du navettage sur la consommation d’essence. Les déplacements en auto-solo engendrent également des coûts en infrastructure, etc.
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4 mai 2007 à 13 h 33
JB je crios qu’il mettait plus l’emphase sur l’idée elle meme que sur les chiffres.
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17 septembre 2007 à 20 h 50
Je crois que ca en vaut la peine.
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5 juin 2008 à 15 h 19
Imaginez:
Combien de véhicules circulent à Québec chaque jour?
Combien de $ chaque citoyen dépense-t-il en essence chaque semaine? (Sans compter les dépenses à l’achat, location, entretien, immatriculation, assurance…)
Faite le calcul.
Si on récupère tout l’argent brûlé en essence dans la ville de Québec, en 9 mois, on aura assez, selon moi, pour se payer un tramway qui lui, va demeurer!
Le meilleur investissement qui soit pour la ville.
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