Source: Jean Pascal Lavoie, Québec Hebdo, 30 avril 2007
Si le visage du boulevard Sainte-Anne s’améliore peu à peu sur plusieurs sections, il reste toujours le secteur D’Estimauville qui tire de la patte. Il ne s’agirait toutefois que d’une question de temps puisque son potentiel élevé de développement en fait un site de choix.
15 mai 2007 à 21 h 10
À la fin de l’année 2002, le gouvernement péquiste annonçait l’aménagement d’édifices pour loger des fonctionnaires dans le secteur d’Estimauville. Cela devait marquer le début d’un vaste plan de développement de cet endroit. Après avoir mis ce projet en veilleuse, le gouvernement Charest a annoncé au début du mois d’octobre qu’il l’abandonnait définitivement.
Malgré tout la ville acheta une partie des terrain en décembre 2004.
« On est en train de discuter pour trouver des locataires potentiels, pour qu’un promoteur puisse être intéressé à construire un autre édifice à bureaux. »
Les négociations sont très sérieuses, poursuit Claude Larose. L’objectif est de construire un édifice de 5 à 6 étages en 2005 :
« Lorsqu’on parle d’un édifice à bureaux, c’est au moins 100 000 pieds carrés qu’il faudrait avoir là, pour que ce soit significatif, puis que ce soit conforme au plan qu’on avait au départ, pour commencer un développement dans cet îlot-là. »
Après 7 millions d’investissement dans le projet, la Ville est dans un cul-de-sac, sans clients et sans peromoteur. Et là on demande à Mme Boucher, à l’aide…
Espérons que Mme boucher et le Ministre Couillard pourront amener le neuro-centre à Beauport. Le secteur bat de l’aile et le RMQ s’est cassé les dents…
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