Source: Gilbert Leduc, Le Soleil, 31 mai 2007.
La NeuroCité est née. Ce projet de « neurotechnopole » scientifique, le Dr Michel Maziade, directeur scientifique du Centre de recherche Université Laval Robert-Giffard et pdg de la NeuroCité, y travaillait depuis deux ans et demi, le temps de bâtir une alliance stratégique réunissant le centre de recherche, la Ville de Québec, l’Université Laval et les SÅ“urs de la Charité de Québec, aussi appelées les « discrètes accompagnatrices » du projet. (…)
1er juin 2007 Ã 08 h 31
Quel beau projet, enfin ce secteur va bouger!!! Je finis l’an prochain mon Bacc en urbanisme, j’espère pouvoir travailler pour la ville de Québec et travailler à l’épanouissement de ce projet et de ce secteur.
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1er juin 2007 Ã 08 h 41
Trois ans, c’est long! J’espère que dans trois ans, ce projet sera une réalité.
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1er juin 2007 Ã 09 h 50
Oui, souhaitons que ça arrive comme prévu!
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1er juin 2007 Ã 09 h 54
Vraiment très très bien, d’autant plus que ce secteur, dû à son emplacement et la grandeur des terrains, a beaucoup de potentiel pour y développer autre chose et attirer des gens dans ce secteur.
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1er juin 2007 Ã 11 h 13
La revitalisation de ce secteur sera enfin une affaire sérieuse. En plus, c’est très bien désservi par le RTC. La 800, bientôt la 802, la 60, et tout le noeud de parcours du terminus beauport. Ce projet est parfait!
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1er juin 2007 Ã 12 h 59
Les images dans le MédiaMatin de ce matin sont très belles.
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1er juin 2007 Ã 18 h 59
Je n’y vois que de l’espoir pour la ville de québec du futur!
Et surtout tres bonne décision d’urbanisme !
ps; bravo a monsieur Lallier qui continue a travailler (dans l’ombre) pour la ville de québec
Blague;
Avec le centre neuro-sciences , peut-être finira t’on enfin par élucider le « mystere-québec »
Si vous êtes résident de québec , le nouvel institut aurait besoin de vous pour passer au scanner…
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2 juin 2007 Ã 07 h 10
Je trouve honnêtement ce projet intéressant, mais je me permet un commentaire relié à la situation socio-économique actuelle :
Dans le contexte actuel où le taux de chômage est à son plus bas, et que les entreprises de Québec, peu importe le domaine et l’envergure, peinent déjà à combler leurs postes, comment convaincre de nouvelles entreprises de s’y installer ?
La présence ET LA DISPONIBILITÉ de main d’oeuvre qualifiée est primordiale au succès de ce projet.
En conclusion donc, mon inquiétude est :
Remplir ce centre aura-t-il pour effet de vider un autre secteur de la ville ?
Si c’est le cas, y a-t-il vraiment un gain ?
Les articles que j’ai lu jusqu’à maintenant sur ce projet semblent éluder la question, ou à tout le moins, la considérer comme si ce n’était qu’un simple détail.
En conséquence j’ai peur que ce si beau projet se termine en pétard mouillé.
Vos avis sur la question ?
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2 juin 2007 Ã 11 h 29
À James qui dit :
 »Remplir ce centre aura-t-il pour effet de vider un autre secteur de la ville ?
Si c’est le cas, y a-t-il vraiment un gain ? »
Pas vraiment de problème de ce côté, car ce  »secteur » d’activité ne se retrouve pas ailleurs en ville actuellement. Les recherches qui se font le sont présentement surtout précisément ds ce coin là , à Robert-Giffard.
On renforcera plutôt le secteur sans en apauvrir d’autres.
Bye
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3 juin 2007 Ã 00 h 27
Par extension, sans « vider » un autre coin de la ville, on empêchera peut-être simplement de vider Québec au profit de Montréal ou, encore, ceux qui proviennent de l’extérieur de grands centres s’installeront peut-être à Québec plutôt que Montréal.
Mais quand même, je trouve cette inquiétude pertinente, tout comme on a déjà gardé fermée longtemps un nouvelle aile d’un hôpital (le CHUL? je ne suis plus certain) faute de personel…
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4 juin 2007 Ã 11 h 41
Un autre projet de la droite qui constitue à évacuer le « SUJET » et à donner l’impression qu’on « contrôle » l’être humain.
Lisez un peu de philo pour comprendre.
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4 juin 2007 Ã 12 h 13
À moins que je ne comprenne aucunement le sens de votre intervention,
la neuro cité c’est pas un contrôle de l’être humain, c’est une étude de ce dernier, vous devriez éguiser votre logique, principe de base de la philo comme vous le dites.
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4 juin 2007 Ã 12 h 27
Désolé de décevoir mes précédent amis bloggeurs mais j’aimerais apporter quelques éléments de réflexion supplémentaires.
C’est drôle, pour le projet Rabaska, Lévis ne veut pas d’un port Méthanier car on craint différents trucs, dont la sécurité à proximité d’une ville et de zone agricole, et ce, malgré les bons côtés (économique pour ne pas le nommé) que cela implique.
Ce projet de Neuro-Cité est pour moi de même nature sinon un peu plus pire!
Arguments en deux points:
1) M. Maziade, psychiatre veut lancer un projet pour pousser les études sur le cerveau. En partant la psychiatrie avoue elle-même qu’elle ne trouve pas le bobo encore malgré les MILLIARDS qui ont été investi en recherche et en tests de toute sorte par toujours beau à voir.
En fait par surprenant qu’il n’y arrive pas, la psychiatrie veut dire par définition : Guérison du psyché, alors qu’il se concentre surtout sur les pillules, le cerveau et leur porte-feuille!
Et nous aveuglément on acceuillerait à bras ouvert un complexe au complet pour qu’il continu à le faire… à coup de miliard.
Recherche sur le cerveau du genre:
Comment enlever une tumeur près du cerveau? Pas de problème!
« Recherche sur le cerveau » du genre: Pourquoi les homme de 35 à 45 ans non-fumeurs avec 2 enfants se sentent déprimés en voyant une ambulance? Pas question.
Où prennent-ils leurs cobayes ces chercheurs de pillules?
Réponse: Dans nos foyers.
M. Maziade veut attirer une foule d’industrie pharmaceutique à Québec? Notre belle ville vaut mieux que de servir de laboratoire humain. Regarder autour de vous et demandez-vous réellement si nos écoles vont mieux depuis l’arrivée des pillules dans nos écoles; comment nos grand-parents sont rendu drogués aujourd’hui tellement ils prennent de comprimés chaque matin en se levant…
Est-ce pas pire que le projet Rabaska?
2) Le développement économique. Bien entendu, au coeur de cette grande annonce est le fait que des millions de dollars tomberont du ciel pour redorer ce quartier qui en a bien besoin. Ces millions sont bien mérités pour ce quartier.
Le problème est beaucoup plus: Qui en seront les héritiés?
Sans aucun doute une centrale nucléaire ou une nouvelle raffinerie à 5 minutes de la ville amènerait beaucoup de millions dans le quartier hôte. Mais à quel prix?
Pourquoi ne pas pensé un peut plus au futur. Je crois sincèrement que des projets beaucoup plus sains d’esprit pourrait voir le jour dans des domaines de pointes tout aussi intéressant.
C’est uniquement dû au lobbying des psychiatres bien placés que l’on doit ce beau grand projet. Si la population se refuse à devenir cobaye, si l’on souhaite voir quelque chose de plus durable pointer à l’horizon, nous devons laissez savoir aux palliers de gouvernements notre désaccord.
Notre désaccord non pas au projets économiques, mais plutôt au moyen de parvenir à cette création de richesse.
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4 juin 2007 Ã 12 h 57
« Où prennent-ils leurs cobayes ces chercheurs de pillules?
Réponse: Dans nos foyers. » Kévin
Euhh… bon là chu pas dans le secret des dieux, mais là je suis plutôt sceptique. Qu’il y ait eu des exès à certains endroits, je veux bien croire, mais dire que sera systématiquement non-éthique dans n’importe quelles recherches et qu’il faut pour cette raison empêcher la recherche s’effectuer dans notre ville, là j’embarque pas. Ça sent le militantisme braqué à plein nez. Désolé chers militants, je ne crois pas que c’est pas dans ce forum que vous trouverai écho à votre voix.
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4 juin 2007 Ã 14 h 00
En fait c’est bien d’être sceptique (Jeff). Tu semble avoir assez une tête sur les épaules pour ne pas avoir donné ton nom dans un centre de recherche.
Par contre il faut faire un peu l’autruche pour ne pas savoir que beaucoup de gens participent à ces programmes et que plus il y a de compagnies pharmaceutiques dans un secteur, plus la demande de candidats (que j’appelle « cobaye » affectueusement) sera grande.
Est-ce que tu t’es promené ces dernières années aux alentours d’un hôpital psychiatrique comme Robert-Giffard? D’accord la détresse humaine, mais ces gens-là sont simplement en pire conditions après leurs traitements qu’avant leur admission.
Laissons le militantisme de côté et regardons avec nos yeux les résultats. Moi j’aimerais voir bien d’autres projets voir le jour que celui proposé. Et moi non plus à ce niveau je ne suis pas dans le secret des dieux mais il existe forcément d’autres alternatives que celle proposée pour redonner vie au quartier d’Estimauville.
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4 juin 2007 Ã 20 h 32
« Un autre projet de la droite qui constitue à évacuer le “SUJET� et à donner l’impression qu’on “contrôle� l’être humain. »
Hum un peu plus de chair autour de l’os de votre propos !!!
@ kévin
j’avoue que je suis heureux de voir qu’il y a encore des gens lucides !
Comme tu dis sans entrer dans les extrèmes, oui tant que l’aspect argent/profit sera plus important que le facteur humain, on risque de voir encore ce genre de projet qui si on ne reste point vigilant dérapper vers quelques choses qui ne sert point la santé !
Mais en même temps on peut s’ouvrir a ce qui se présente sans être aveugle.
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4 juin 2007 Ã 20 h 35
« Ça sent le militantisme braqué à plein nez. Désolé chers militants, je ne crois pas que c’est pas dans ce forum que vous trouverai écho à votre voix. »
Mouais ! le militantisme comme tu dis a déja fait avancer certains choses dans nos sociétés, sans cela ou en serait-on dans certaines aspects de l’existence ???
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4 juin 2007 Ã 21 h 59
Par « militantisme braqué », j’entend par là une attitude qui ne fait pas véritablement le pour et le contre, qui ne pose pas de jugement en prenant pour acquis un model de compréhension qu’on ‘applique partout, bref idéologique. Je pense que les mouvements sociaux émergeant se font par un rééquilibrage des militantismes braqués opposés. Évidemment, on peut très bien vivre dans cette dynamique. Mais moi je fais partie des gens du milieu, les modérés, les « mous » si ça vous chante.
Mais je ne comprend pas pourquoi on semble prendre pour acquis que les recherches au cerveau mènent systématiquement vers des traitements chimiques néfastes….. L’Université Laval est impliquée, c’est l’organisation qui peut mener des recherches dans une relative indépendance. Moi je vous invite plutôt à lutter favorablement pour cette indépendance de l’institution universitaire plutôt que de rejeter des projets comme celui de neuro-cité. C’est ça qui fera la différence entre une recherche de qualité ou une recherche orientée uniquement sur des intérêts corporatistes. Ce serait bien plus constructif. Autrement, je trouve dommage l’attitude du « on bloque tout ».
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4 juin 2007 Ã 22 h 10
« Autrement, je trouve dommage l’attitude du “on bloque tout�. »
Sur ce point je suis d’accord, d’appuyer certains projets, mais pas à n’importe quel prix !!!!
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4 juin 2007 Ã 22 h 34
Effectivement il s’agit de recherches au niveau neurologique autour desquelles des millards de dollars gravitent, mais entre laisser des gens dans leur état en faisant rien et des gens aux objectifs pécunier évidents, je préfère ces derniers qui contribuent inévitablement à l’enrichissement de la collectivité.
Il y a bien des choses non éthique qui ont cours actuellement et pour lesquelles nous devrions nous poser de sérieuse question avant de vouloir bloquer un projet comme La Neuro CIté.
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4 juin 2007 Ã 22 h 54
Il faut comprendre que des chercheurs dont le financement de leurs recherches proviennent des compagnies pharmaceutiques peuvent difficilement, par exemple, contester le bien-fait d’un médicamment, où promouvoir une technique permettant de s’en passer. C’est pourquoi le financement de la recherche par l’État est si importante. C’est le financement qui permet le plus d’indépendance. Neuro-cité, c’est en parti un pavillion universitaire. C’est L’État qui le finance. Il faut protéger le financement par l’État dans ce projet et dans toutes les recherches. C’est ça qui fait la différence.
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5 juin 2007 Ã 00 h 39
En effet Jeff…
et pour les commentaires de Kevin, désolé, mais en démagogie on ne fait pas mieux! Une comparaison absolument hors propos avec Rabaska, des exemples de traitements et de procédés tirés de nulle part ou qui ne sont pas reliés au présent projet. Comme si on voulait « profiter » des « pauvres gens » du secteur d’Estimauville… n’importe quoi.
De toute façon, il y aura toujours une partie de la population pour qui « recherche » signifie « mal », ici comme ailleurs. J’aimerais bien savoir pourquoi.. est-ce la peur de l’inconnu? de quelque chose qui dépase la compréhension de ces gens? je ne sais pas. Mais s’ils doivent utiliser des détours démagogiques pour faire intervenir des questions de valeurs et d’éthique, question d’aller toucher les cordes sensibles des gens, alors là on se doit d’être critique envers eux. Ça ressemble quasiment à une religion : des gens intelligents avides de pouvoirs inculquent des dogmes à des gens influençables, lesquels en toute bonne foi et remplis de bonne volonté vont sincèrement tenter de vous convaincre…
Et peu importe finalement, pourrait-on au moins attendre d’avoir des détails sur le projet avant d’en inventer pour pouvoir crier au loup?
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5 juin 2007 Ã 09 h 47
Je crois que mes propos sont peut-être mal interprêtés.
Laissez tombez le militantisme ou je ne sais pas quoi de religion pour influencer les
influencables… Ca dérape!
Je travaille dans un domaide de pointe moi-même et j’approuve la recherche à 100 miles à l’heure!
Tout ce que je dis c’est que cette genre de recherche « universitaire » amène dans son sillage
beaucoup d’autre « side effect » qui selon moi outre passe les motifs économiques du projet.
(Et on s’entends-tu pour dire que ces gens sont les spécialiste des side effects…)
Selon moi, les gens qui voient des côtés positifs à la psychaitrie (car c’est ce dont il sera question dans ce complexe – le promoteur est lui-même psychiatre)
n’ont jamais simplement regardé les résultats de ces spécialistes.
Attendre d’avoir des détails du projet reviens à attendre que le projet ait vu le jour car ces gens n’en donneront pas
avant que tous soit signé. Si on veux avoir des détails sur la nature exact du projet (et j’ai quelque infos à ce sujet – voilà pourquoi je me permet certains commentaires)
c’est maintenant qu’il faut presser le citron.
Voilà tout.
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5 juin 2007 Ã 10 h 10
« et pour les commentaires de Kevin, désolé, mais en démagogie on ne fait pas mieux! Une comparaison absolument hors propos avec Rabaska, des exemples de traitements et de procédés tirés de nulle part ou qui ne sont pas reliés au présent projet. Comme si on voulait “profiter� des “pauvres gens� du secteur d’Estimauville… n’importe quoi.  »
N’importe quoi !!! Quelques fois Manu je crois que tu analyse trops par monent ! N’oublie point que chacun a une vision et sa propre vérité, qui ne doit pas écraser celle d’un autre !!!
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5 juin 2007 Ã 10 h 34
« Chacun a une vision et sa propre vérité, qui ne doit pas écraser celle d’un autre !!!
Autrement dit : La vérité n’existe pas, parce que les visions peuvent être différentes.
Ca c’est vraiment n’importe quoi! Je veux pas faire de la peine à personne, mais il y a des choses vrais et fausses, peu importe votre vision. Ce qui fait la différence, c’est la possession de l’information et les connaissances.
On arriverait à rien si à chaque fois fallait se dire, ben voyon, on a tous notre vision et elles sont tous bonnes…..
Il y a longtemps certains disaient que la terre était plate…d’autre ronde….j’imagine déjà la discussion, ben voyon, faut pas dire que l’autre à tord, car il ne faut pas oublier que chacun à sa vision!!!! N’importe quoi!
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5 juin 2007 Ã 10 h 52
Bah… dans ce monde ou tout est compliqué, je ne trouve pas étonnant aujourd’hui qu’il y ait tant de différences de perceptions. En tout cas, je l’accepte.
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5 juin 2007 Ã 17 h 42
« Ce qui fait la différence, c’est la possession de l’information et les connaissances. »
Mouais ! faudrait défénir c’est quoi les connaissances…
comme disais Einstein « la connaissances passe par l’expérience, le reste n’est que de l’information »
« Il y a longtemps certains disaient que la terre était plate…d’autre ronde….j’imagine déjà la discussion, ben voyon, faut pas dire que l’autre à tord, car il ne faut pas oublier que chacun à sa vision!!!! N’importe quoi »
(Soupir)
Je crois que tu saute vite au conclusion, je n’empêche point d’autre opinion, je ne fais qu’énoncer un brin de lucidité concernant les rapports rellationnels avec autrui… et surtout un piège dans lequel on tombe souvent…
« On arriverait à rien si à chaque fois fallait se dire, ben voyon, on a tous notre vision et elles sont tous bonnes….. »
Dans le fond pourquoi pas !!! hi hi hi !!! :-) (sans rancune)
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6 juin 2007 Ã 08 h 54
Le gros de la recherche en neurobiologie se fait sur des modèles animal ou même sur des cultures de neurones. Faut pas s’imaginer que les compagnies pharmaceutique vont venir à Québec, parce qu’elles vont y trouver des cobayes!
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6 juin 2007 Ã 09 h 52
« Le gros de la recherche en neurobiologie se fait sur des modèles animal ou même sur des cultures de neurones. »
Effectivement!
Pour en savoir plus sur les recherches qui sont fait ici à Robert-Giffard en collaboration avec l’Université
——— http://www.crulrg.ulaval.ca/ ——————
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6 juin 2007 Ã 13 h 18
Je ne sais pas si cela a été soulevé (j’ai arrêté après une dizaine de messages sur les tenants et les aboutissants de la recherche dans le domaine psychologique), mais… ç’a le même foutu look que le projet gouvernemental (oh !) mort lors de l’élection des Libéraux en 2003.
Même campus, mêmes édifices, re-colorés pour la cause, et même aménagement urbain.
On tend la ligne, voir si ça mord ?
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6 juin 2007 Ã 14 h 02
Marc-Antoine: « On tend la ligne, voir si ça mord ? »
Tu as tout compris… je parlais d’un lobbying psychiatrique fort pour ce projet, ton point soulève très bien la chose.
Yvan Dutil: « Faut pas s’imaginer que les compagnies pharmaceutique vont venir à Québec, parce qu’elles vont y trouver des cobayes! »
Je me demande bien alors pourquoi les annonces des ANAPHARM de ce monde ne tourne pas exclusivement dans les animalerie.
Sérieusement, je ne dis pas qu’ils viennent s’établir seulement en en quête de cobayes… Je dis que leur recherche n’a apporté peu ou pas de résultats durant toutes ces années et ce malgré les milliards (et oui milliard, et non millions) en fonds public. Et j’ajouterais même que la situation à rempirer dans les domaines où ils ont mis le plus d’effort. (ex: Nos écoles qui sont devenus de vraie clinique).
Davantage d’investissement dans ce secteur voudra seulement dire qu’à moyen et long terme, il y a aura davantage de « spécialistes » pour proposer des soi-disant traitements à nos enfants, à nos collègue de travail, à nos parents… et non pas seulement aux cellules dans les éprouvettes!
Ce projet n’est pas passé en 2003, il ne passera pas plus en 2008, parole de scout!
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6 juin 2007 Ã 14 h 19
Le pouvoir de l’argent peut acheter bien des gens. Dans ce cas, le lobby psychiatrique va une nouvelle fois détourner des centaines de millions, voir des milliards. en taxes et impôts.
Ce qui me fait sursauter c’est que personne ne remarque les mensonges de ce lobby. Par exemple, dans le communiqué de presse, le psy en chef déclare qu’il n’existe aucun test biologique pour détecter les « maladies » mentales. Ce que ça signifie est clair: il n’y a pas de moyens objectifs de déceler le moindre trouble mental. Pourtant, depuis plus de 20 ans, des millions d’enfants en particulier se sont vus prescrire des psychotropes par des psy qui affirmaient que le TDAH (trouble de déficit d’attention et hyperactivité) par exemple était génétique à 90%.
Ils affirment que c’est génétique pour justifier leurs prescriptions de psychotropes et obtenir des fonds immenses et lorsqu’ils veulent d’autres sortes de fonds, ils doivent alors dire la vérité qui est: on n’a aucun test biochimique, c’est le néant, on ne connait pas les causes! Un mot du dictionnaire décrit bien cela: FRAUDE.
Aucun domaine n’a plus de charlatan et d’imposteurs qu’en psychiatrie. Tellement qu’ils ont passé des lois pour contraindre les gens à recevoir leurs « services ».
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6 juin 2007 Ã 14 h 38
Je crois également que ces chercheurs ont un peu trop envahis nos écoles et d’autres secteurs.
Je suis mère de deux enfants et il est sûr que jamais je laisserai mes enfants être approchés par ces psy!
Ca me fait tout le temps rire quand je vois deux psychatres ou psychologues se renvoyer la balle dans les cas de jsutice en court. Un « évalue » la situation d’une façon et l’autre pense le contraire! WOW. Il est arrivé la même chose à ma voisine avec son enfant. Un disais que son fils était hyperactif, l’autre disait qu’il fallait attendre, qu’il était trop tôt pour en tirer des conclusion. Aucun n’a fait de prise de sang ou d’examen… juste des opinions!
Si c,est à ca que la recherche à coup de millions sert, moi aussi dans ce cas je crois qu’on peut se forcer un peu plus pour trouver un MEILLEUR PROJET pour notre quartier.
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6 juin 2007 Ã 16 h 03
a chaque fois que je vais dans ce secteur je vois des traces de crise la économique du début des années quatre vingt …enfin un projet pour relever
ce coin de Québec…..
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6 juin 2007 Ã 17 h 16
@Kevin
« Je dis que leur recherche n’a apporté peu ou pas de résultats durant toutes ces années et ce malgré les milliards ».
Oui, peut-être bien, mais sur quoi te bases-tu pour affirmer cela? T’as lu quelque part que des études le démontre? T’as toi même passé des heures à valider les changements comportementaux entre des individus X n’ayant jamais subit de tests et des individus Y en ayant subit.
Mais au fait, en quoi ça te touche personnellement? Pas de Rabaska, pas de NeuroCité, pas de pollution lumineuse….ouff!
@DC:
« Par exemple, dans le communiqué de presse, le psy en chef déclare qu’il n’existe aucun test biologique pour détecter les “maladies� mentales. Ce que ça signifie est clair: il n’y a pas de moyens objectifs de déceler le moindre trouble mental. »
Qu’est-ce qu’il y a de surprenant? Et non, y a pas de différence moléculaire entre un individus qui a (par exemple) tout le temps soif et bois tout ce qui lui tombe sur la main et un autre a qui ça ne lui arrive pas.
Tu affirme qu’il n’y a pas de moyen objectif de déceler une maladie mentale. Reprenons mon exemple (la maladie mentale est celle d’une personne qui bois tout ce qu’elle voit, eau de la douche, de la toilette, liquide quelconque – maladie dont je ne me souviens plus du nom). Ainsi, selon ton affirmation, tu ne serais pas capable de dire avec certitude que cette personne a un trouble mental???? Selon toi, il te faut un test clinique qui le prouve, un test biologique où c’est écrit dans le sang? C’est que je nomme de la mauvaise foi.
Si je vois des traces de roues dans la neige, je suis capable de dire objectivement qu’il y a un véhicule qui est passé par là , pourtant sans le prouver avec une photo, mais tout simplement parce qu’on le sait.
Si je vois un mec que son trippe c’est de boire tout ce qu’il voit, se cogner la tête sur mur, criez constamment, peu importe, je suis capable de dire qu’il a une maladie mental, très objectivement. Pourquoi? parce que les gens qu’ont dit normaux ne font pas ça.
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6 juin 2007 Ã 17 h 17
La maladie en question c’est la « potomanie »
———http://fr.wikipedia.org/wiki/Potomanie———-
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6 juin 2007 Ã 17 h 21
« C’est que je nomme de la mauvaise foi. »
Des fois en te lisant c’est la question que je me pose ?!
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6 juin 2007 Ã 17 h 28
Y a quand même du positif, c’est seulement desfois :) !
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6 juin 2007 Ã 18 h 24
@Kevin
“Je dis que leur recherche n’a apporté peu ou pas de résultats durant toutes ces années et ce malgré les milliards�.
Tu peux dire cà de n’importe quelle industries! Il n’y a à peu près pas de rechecrhe qui est faite sur des fonds propres. La recherche se fait grà ce à des subventions ou des contrats institutionnels.
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6 juin 2007 Ã 19 h 43
Ça alors, le débat tourne sur les protocoles scientifiques ici…
Bon ben coup donc, si la venue de Neurocité peut intéresser les gens à la science, ce sera ça de bon!
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6 juin 2007 Ã 21 h 51
@M. Dutil,
« Tu peux dire cà de n’importe quelle industries! Il n’y a à peu près pas de rechecrhe qui est faite sur des fonds propres. La recherche se fait grà ce à des subventions ou des contrats institutionnels. »
Oui, mais c’est quoi le lien avec les résultats? C’est quoi le lien avec la provenance des fonds et les résultats de la recherche. En connaissez-vous des gens atteints de démence? Moi oui, une personne proche, pis ca l’a aidé dans sa réussite sociale ce qu’on lui donne comme médication. Donc avant de dire que la recherche neurologique et tout ce qui va avec c’est de la marde et encore pire, de dire qu’on ne peut pas prouver de manière objective une maladie mentale (faut vraiment pas connaitre le francais et la logique pour affirmer de telle chose) bien venez me faire part de vos expériences vécu en compagnie de gens souffrant de démence!
Ah mais non!, je devrais plutôt croire que les psychiatres et compagnies sont là que pour se foutre de la gueule des gens et s’enrichir! Et même si tel est le cas, et après? Qui ne veut pas se fait pas de l’argent au détriment de quelque chose? On est pas tous des mères Thérèsa, et encore là !
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6 juin 2007 Ã 22 h 25
@Denis
Tu semble presque applaudir les résultats des psychiatre. Tu sais quoi, moi aussi j’ai eu mes expériences avec des proches et connaissances et si je regarde avec mes yeux et non mon coeur, je vois le désastre que la psychiatrie a amené dans son sillon.
Une cousine allait VRAIMENT PAS bien. Sous médication elle s’est calmé. Mon coeur me dit que ca lui a fait du bien et qu’elle est maintenant moins dangereuse pour son entourage peut-être qui sait… ERREUR. Mes yeux me dise quand je la regarde qu’elle ne s’est jamais réveillé après s’être calmé! Si quelqu’un dans ta famille a eu la chance et le courage de se remettre assez rapidement sur pied et de quitter la médication au plus vite, il a une chance de se réveiller. MAIS il est catalogué à vie comme ayant eu une maladie mentale et peut à tout moment se faire ré-administré beaucoup plus rapidement que tu penses une médication.
J’ai rencontré encore plus récemment un parent pour aider son fils avec ses devoirs car il en rochait un coup! Il venait à peine d’être mis sur le RITALIN. Dans la m^me semaine il commencait à parler de façon aggressive à son père et ne mangeait plus avec appétit du tout. Est-ce qu’il faisait moins de faute avec sa médication: IL EN FAiSAIT AUTANT SINON PLUS!
Tu veux d’autres histoires que je vois couramment de MES YEUX ?
Les récits comme ça abonde beaucoup plus que n’importe quelle bonne histoires. Tellement que je peux pratiquement dire maintenant sans me tromper lorsque je regarde quelqu’un dans les yeux, s’il a pris des psychotropes dans le passé.
C’est pour ces raisons que je ne veux pas de NEURO-CITÉ!
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7 juin 2007 Ã 15 h 25
@Denis
Je pense que tu as mal interprété mon propos. C’est aux argument de Kevin que je m’attaquais. Il ne faut pas confondre la recherche médicale et la pratique médicale.
Or, la science du cerveau à beaucoup progressée. Est-ce que cela marche à tout coup, non! Kevin, se base sur son vécu, toi sur le tiens. Cela s’appelle de la myopie sociologique. Si tu parles avec un psychiatre ou un psychologue qui a vu asses de cas pour avoir une bonne ststiatique, ils vont tout deux te dire que cela ne marche pas toujours. Le taux de succès dépend de la maladie, de la qualité. du dianogstic et de traitement qui existe.
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7 juin 2007 Ã 15 h 33
Ok, je comprend.
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8 juin 2007 Ã 01 h 08
Probablement qu’avec des recherches on arrivera à faire de meilleurs diagnostiques (éviter les faux-positifs notamment), à prévenir des problèmes avant qu’ils surviennent, à changer les médications pour d’autre types de traitement (si on n’a pas déjà réussi à prévenir). J’imagine que ça serait bien d’en arriver là pour tourner la page sur l’ère actuelle de la psychiatrie, non?
Il fut un temps, lorsque la neurologie n’était même pas au stade embryonnaire, tous ceux qui avaient un comportement marginal se retrouvaient dans un cachot, noyés, brûlés vifs, guillotinés, pendus, électrocutés… Je crois que la situation actuelle est un peu mieux aujourd’hui, et qu’elle pourrait encore s’améliorer de beaucoup si on fait de la recherche.
On parle de centre de recherche en neurologie, pas d’Anapharm quand même…
Et à tous ceux qui y voient une diversion de nos taxes, il ne faut pas perdre de vue qu’une bonne partie de l’argent provient de compagnies privées, et par surcroît, souvent de d’autres pays (donc vraiment pas de nos taxes). C’est un excellent moyen d’attirer les captiaux de l’étranger. Et cette entrée d’argent ressort où? À plusieurs endroits, donc taxes payées à la ville, chez des commerçants locaux pour le matériel « usuel », et surtout, dans des emplois de qualité.
Ça fait plus de gens en moyens à Québec qui y dépensent leur argent ici (transport, alimentation, logement, etc.) et qui paient des taxes à la ville (argent qui revient en partie aux citoyens sous forme de service), sans compter que les travailleurs bien rémunérés sont ce petit groupe de gens qui paient la presque totalité des impôts des particuliers au Québec. Tant qu’à les voir partir travailler à l’étranger, j’aime autant qu’ils travaillent ici. Ça peut aussi attirer des étudiants à l’Université Laval qui seraient autrement allés étudier ailleurs, faute de projets et de moyens à Québec (sans cette Neurocité). Ces gens là ont d’ailleurs plus de chances de demeurer ici par après (en passant, l’Université Laval joue en rôle important de l’imigration à Québec, surtout si de bons emplois s’ensuivent)
Ajoutez à cela les commerces locaux qui dépérissent année après année… juste la cilentèle de travailleurs leur donnerait un bon coup de main. On risque aussi de devoir bonifier l’offre de transport en commun dans ce secteur pour suffir à la demande, ce qui sera aussi à l’avantage des gens du coin.
Bref, j’y vois plein d’avantages…
Et finalement, que ce soit à Québec ou ailleurs, peu importe les avis et opinions sur la recherche elle-même, elle va se faire quand même! Ou bien on profite de tout ce que ça nous apporte, ou bien on continue de se plaindre que les compagnies déménagent ailleurs, que tout se passe à Montréal, à Toronto, à Calgary, Vancouver, aux États-Unis, en Chine… que Québec devient une ville dortoir, et que de moins en moins de gens et d’entreprises sont intéressés à y investir leurs sous. Personnellement, je ne trouve pas le choix trop difficile…
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8 juin 2007 Ã 18 h 12
Je pense sciencèrement que si l’on se met à refuser sur notre territoire urbain toutes activités dont le résultat est d’une activité de lobbying soit disant « malsaine », il ne restera plus beaucoup de chose en liste. Le lobbying n’est pas un crime, c’est une façon de promouvoir des intérêts. C’est à l’État qu’il incombe de départager le bien public et le bien privé. Et l’État, c’est nous tous, en autant que l’on se sente concerné. Tout ça n’a pas grand chose à voir avec avec la localisation physique des recherches. Le problème, s’il y en a un, est plutôt d’ordre institutionnel. Et puis, comme ça été dit, si ça ne se fait pas ici, ça se fera ailleurs.
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9 novembre 2007 Ã 12 h 41
Quelle bouffée d’air fraîche pour la racherche de pointe au Québec. Les complexes de ce type sont très efficaces pour le partage du savoir, la recherche de masse et la colaboration. Gageons que l’endroit sera, dans le futur, un lieu privilégié pour les découvertes en neurosiences et créera une communauté scientifique dynamique.
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