Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Transport urbain: La promotion du vélo

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2007 6 commentaires

« Une vingtaine de personnes sur 200 »: je retiens en particulier cet extrait de l’article. Plutôt décevant pour moi, considérant que le vélo est depuis toujours mon principal moyen de transport (avant la marche!) pour l’accès à mes deux emplois… qui sont pourtant situés à 5 et 7 km de chez moi! Admettons toutefois que ce n’est pas évident pour les employés de cette entreprise localisée en quelque sorte dans un « champ de patates »…

Source: Radio-Canada (Québec), 1er juin 2007.

L’homme d’affaires Louis Garneau a lancé un défi à ses employés cette semaine afin de faire la promotion de la bicyclette comme moyen de transport urbain.

Il offrait 5 $ par jour à ses employés qui utiliseraient la bicyclette plutôt que la voiture pour venir travailler.

Pas seulement les employés, mais aussi le patron utilisaient leur bicyclette pour la toute première fois pour venir au travail.

Louis Garneau indique qu’il entend répéter l’expérience, même si seulement une vingtaine de personnes sur 200 ont relevé le défi.

« Il y a des gens qui me disaient : « oui, mais c’est pas beaucoup ». Moi, je dis toujours qu’on a commencé l’entreprise Louis Garneau dans un garage, alors, tout ce qui est petit peut devenir grand si on s’en occupe bien », soutient-il.

L’homme d’affaires est convaincu que la flambée des prix de l’essence et les inquiétudes concernant l’environnement auront bientôt raison des résistances de ceux qui hésitent toujours à mettre la bicyclette et les transports alternatifs parmi les solutions pour se déplacer en ville.

Voir aussi ce billet.

Voir aussi : Environnement, Vélo.


6 commentaires

  1. Langlois

    2 juin 2007 à 09 h 24

    La ville de Québec, avec sa topographie haute-ville basse-ville, a un gros handicap pour inciter ceux qui ont à monter ou descendre le cap à utiliser le vélo.

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  2. Max

    2 juin 2007 à 13 h 50

    C’est pas si pire que ça, ça ne fait qu’un seule côte à monter ou à descendre dans un trajet.

    Quand j’habitais à Sherbrooke, qui est construite sur des collines, utiliser son vélo était loin d’être pratique! On monte ou on descend TOUT LE TEMPS à Sherbrooke, croyez-moi!

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  3. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    2 juin 2007 à 17 h 57

    « La ville de Québec, avec sa topographie haute-ville basse-ville, a un gros handicap pour inciter ceux qui ont à monter ou descendre le cap à utiliser le vélo. »

    Pour ne pas arriver en sueur à mon lieu de travail, dans l’arrondissement Charlesbourg, je fais tout simplement deux bouts à pied avec mon vélo dans les côtes les plus abruptes! Aussi, il m’arrive de barrer mon vélo dans le secteur du Jardin de Saint-Roch, pour poursuivre à pied vers la haute-ville quand je vais au Festival d’été, par exemple: pas mal moins compliqué que d’y aller en voiture!

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  4. Carol

    2 juin 2007 à 17 h 59

    « Quand j’habitais à Sherbrooke, qui est construite sur des collines, utiliser son vélo était loin d’être pratique! On monte ou on descend TOUT LE TEMPS à Sherbrooke, croyez-moi!  »

    Surtout quand tu fais la « King » d’un bout à l’autre…

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  5. Carol

    2 juin 2007 à 18 h 00

    Ou bien donc le boul. de Portland

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