Le sujet est revenu récemment sur le tapis dans Québec Urbain: en voici en exemple parmi tant d’autres, hélas, croqué sur la rue Lavigueur au départ du sentier menant à la Basse-Ville.
Les graffitis ont récemment fait l’objet de ce dossier dans La Presse: Montréal, aux prises comme Québec avec un fléau pas évident à contrôler. Un « moyen d’expression perçu comme une véritable tare par une majorité de citoyens »…
À consulter aussi, ce billet.
7 août 2007 à 20 h 13
Tout ce que ça « exprime » c’est sa parenté avec le chien qui pisse pour marquer son territoire…
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7 août 2007 à 22 h 01
C’est un peu dur comme commentaire, Gilles, mais je suis assez d’accord: la maturité prends beaucoup d’années à se concrétiser, je peux en témoigner, mais lorsque ça s’amorce avec du griffonnage de biens publics, ça s’annonce pour prendre beaucoup de temps, si jamais il y a un quelconque espoir d’arriver à quelque chose d’encourageant.
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7 août 2007 à 22 h 30
Si il y avait au moins répression de la par des autorités il y aurait peut-être une chance que le phénomène cesse…Hors on préfère leur donner des endroits spéciaux pour exercer leur « art »… Évidement ça a réglé le problème!
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8 août 2007 à 00 h 01
Je trouves bien personellement que Q.U. se fait vraiment ch!3r c’est temps-ci avec des sujets qui font réellement partis du décor urbain, et dont nous y pouvont rien.
Petite morale:
Dans une ville il y a toute sorte de monde: des vieux, des jeunes, des riches, des pauvres, des gentils et des pas gentils ..
Par conséquent, toute les grandes villes vont toujours avoir a vivre avec les meme fléaux .. des graffitis, des bulles dans les fontaines, des autos qui font trop de bruit … et j’en passe ..
Donc, a part se défouler en créant des billets contre tout ces fléaux, je verrais mal ce que nous, pauvres citoyens, avons a dire.
Sans rancune, je trouves seulement que c’est du temps perdu de bacher ¤ sans cesse sur une minorité de trouble fete.
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8 août 2007 à 08 h 22
@Sim: je ne suis pas obligé d’être d’accord avec ton opinion qui semble tourner autour de l’aspect, disons, « moraliste » de certains billets, mais elle mérite tout de même réflexion. Sans rancune! ;-)
Je ferai un autre billet bientôt, invitant les lecteurs, à nouveau, à y aller avec des remarques constructives sur l’esprit et l’évolution de Québec Urbain, incluant encore une fois et comme toujours, un appel à tous pour se joindre à l’équipe de collaborateurs…
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8 août 2007 à 08 h 43
Bonne idée Jean !!! en souhaitant que ceux qui critique QU se lèvent et passe à l’action.
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8 août 2007 à 08 h 51
Ces graffitis se retrouvent en haut de l’escalier qui permet de joindre la basse-ville par la rue Philippe Dorval et donne sur Arago près de la rue Nelson.
À côté, il y a une tour Marthelot. Entre la rue Arago et la Tour, soit dans l’escalier, sous l’escalier et à l’ombre de la tour, je retrouve régulièrement des seringues souillées et croise souvent des junkies complètement gelés et évachés dans les escaliers. Les graffitis recouvrant la pancarte d’information sur les ti-oiseaux vivant dans les arbres de la falaise sont là depuis que j’ai emménagé dans le coin. À mon avis, ils sont la manifestation superficielle d’un problème plus criant et plus nuisible à la qualité de vie dans la ville.
Je peux même affirmer qu’à cet endroit, on retrouve réellement des graffitis indiquant des caches pour les drogues dures. Par curiosité, j’ai débusqué un jour une de ces caches en interprétant un graffitis oh combien peu subtil sous l’escalier.
Donc, d’accord que les graffitis sont laids, mais je suis plus perturbé par les gens qui les font. Et rendu là, nous ne sommes plus dans les considération d’urbanisme ou de civisme, mais plutôt dans des considérations de sécurité et de criminalité.
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8 août 2007 à 21 h 15
Le commentaire de Gilles n’est pas de son cru, les graffitis sont dénoncés de cette manière (en montrant un chien qui pisse pour marquer son territoire et un tagueur) dans une publicité de la ….Police, au canal InfoCrime.
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9 août 2007 à 08 h 22
10 608 pieds carrés de graffitis effacés en 44 jours
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9 août 2007 à 08 h 28
Ah, je ne savais pas. Personne n’a le monopole de la vérité. Je n’en pense pas moins la même chose. Surtout que les graffitis ne s’effacent pas lorsqu’il pleut
malheureusement contrairement à …
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15 mai 2008 à 08 h 00
Je suis d’accord avec Gilles!
Cependant, je pense qu’il faudrait des lieux spéciaux pour que les tagueurs puissent s’exprimer, hors, si cela se fait hors de la ville, dans un endroit reculé, ils n’y verront aucune utilité dans leur démarche, car un tag est avant tout un moyen d’expression, donc si il n’y’a personne pour les regarder, ceux-ci ne leur seront d’aucune utilité!
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