Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Atelier de réflexion et propositions sur le vélo utilitaire à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 août 2007 8 commentaires

À l’occasion de la Semaine des transports collectifs et actifs, Promo-Vélo organise un atelier pour faire le point sur l’état du vélo utilitaire à Québec. Cette journée s’adresse à vous, les cyclistes qui traversez les rues de Québec pour vous rendre au travail, aller boire un verre, amener vos enfants à l’école, etc.

À Québec aussi, le vélo peut et devrait être un moyen de transport à part entière. Afin de défendre cette idée, Promo-Vélo a besoin de vous entendre sur les problèmes que vous rencontrez, sur les forces et faiblesses du réseau actuel, sur vos suggestions pour améliorer les choses.

Date : Samedi le 22 septembre 2007 de 9h à 15h

Lieu : Centre Culture et Environnement Frédéric-Back, 870 De Salaberry

Inscription : Le plus rapidement possible, jusqu’au lundi 3 septembre. Le nombre de participants sera limité et une certaine représentativité géographique sera recherchée. Contactez Promo-Vélo au 522-0006 poste 3075.

Contenu de la journée :

La journée sera organisée en trois temps.

  • Une phase de critique qui vise à identifier les points forts et les points faibles du réseau cyclable.
  • Une phase d’utopie où nous nous permettrons de rêver une ville de Québec idéale pour les cyclistes.
  • Une phase de réalisation qui rassemble les critiques et les rêves en fixant des priorités et formulant des propositions.

Voir aussi : Vélo.


8 commentaires

  1. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    29 août 2007 à 19 h 11

    Tantôt, exceptionnellement et profitant de l’un de mes derniers jours de congé, j’ai emprunté le boulevard Hamel, de la base de plein-air de Sainte-Foy jusqu’à la 1ère Avenue à l’heure de pointe…

    Incroyable, je m’en suis sorti vivant!! J’ai dû affronter avec courage le passage de camions qui m’ont dangereusement frôlé, de même que de nombreux véhicules qui m’ont garroché dans les oreilles une pseudo musique « boum boum » des plus agressantes et tout à fait insipide!

    Mea culpa: j’ai dû aussi utiliser très prudemment certaines sections de trottoirs pour arriver à bon port! ;-)

    La morale de cette histoire? Je pense que l’aménagement d’une piste cyclable sur cet axe, rejoignant celle près de Duplessis, serait tout à fait appropriée. Peut-être est-elle déjà planifiée, au fait?

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  2. Manu

    30 août 2007 à 00 h 00

    J’aime bien qu’on mette clairement une portion « utopie », car peu importe « l’ordre du jour », il est certain que les intervenant vont tôt ou tard en arriver là. Ainsi, pour éviter que ça dérape, on défini clairement une période pour l’utopie, puis on revient à la réalité pour la dernière phase. Très bien!

    @Jean : De mon côté, je n’ai jamais entendu parler d’une éventuelle piste cyclable à cet endroit (je ne suis évidemment pas dans le secret des dieux), et je doute fort qu’elle soit planifiée étant donné qu’il faudrait s’arranger avec le Ministère des Transport du Québec (route proviciale « primaire » oblige) en plus de convaincre la Ville.

    Toutefois, si ça t’intéresse, et si ça peut intéresser quelqu’un d’autre, voici le trajet que j’ai souvent emprunté, bien que rarement en entier, qui n’implique environ que 100m sur Hamel, en partant de la Base de Plein-Air.

    À l’extrémité est des lacs Laberge (c’est bien leur nom?), il y a un petit sentier « non-documenté » qui traverse le boisé pour aboutir sur la rue John Molson (juste au nord du coude que fait la rue). De là on peut rejoindre Einstein puis le boulevard du Parc-Technologique, ou nous attend un tout petit tronçon de piste cyclable vers le nord.

    Au bout de la piste cyclable, une autre part vers l’est, vers un quartier résidentiel. Arrivée dans la rue, on continue tout droit dans cette rue jusqu’au bout, puis à gauche, à droite et encore à gauche. On est alors sur Masson. On monte, traversant Hamel, jusqu’au boulevard Père-Lelièvre, où il y a un accotement cyclable (cyclable faut le dire vite, mais c’est au moins marqué sur la chaussé). On file vers l’est jusqu’au bout du boulevard, ou presque, à Vanier. Cet accotement cyclable, dans le même axe que Hamel mais au nord de la rivière, me fait aussi dire qu’on n’est pas sur le point d’aménager quelque chose sur Hamel…

    De là, on zigzague dans les petites rues jusqu’au pont Scott et les abords de la rivière St-Charles, qui nous mène bien où on veut aller.

    On ajoute peut-être un 10-15% de distance au trajet, mais on réduit probablement de 90% les chances de blessures!

    Note : pour la première partie du trajet, jusqu’à Père-Lelièvre, j’ai déjà du des plans de « pistes cyclable à l’étude » (i.e. complétée dans le Parc-Technologique, puis derrière des bureaux un peu avant Hamel, jusqu’à la ligne d’Hydro, tout près du dépôt à neige). Ça fait déjà quelque années de cela, et toujours pas de piste cyclable…

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  3. Manu

    30 août 2007 à 00 h 02

    Petite correction, on ne roule pas 100m sur Hamel (c’était de mémoire, sur un autre trajet que j’empruntais), on ne fait que le traverser deux fois….

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  4. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    30 août 2007 à 00 h 10

    Merci, Manu: je vais tracer ça précieusement sur une carte! :-))

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  5. Carol

    30 août 2007 à 12 h 53

    « J’aime bien qu’on mette clairement une portion “utopie�, car peu importe “l’ordre du jour�, il est certain que les intervenant vont tôt ou tard en arriver là. Ainsi, pour éviter que ça dérape, on défini clairement une période pour l’utopie, puis on revient à la réalité pour la dernière phase. Très bien! »

    Mouais tous dépend de ce que l’on entend par rélaité, elle peut-être différentes d’une personne à l’autre.

    De plus croire que lorsque l’on parle utopie on dérape, bien de temps en temps un « break » de mental, de rationnel fait du bien !!!

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  6. Manu

    30 août 2007 à 14 h 50

    Carol : Évidemment qu’il faut rêver de temps en temps! :) Par « dérape », je voulais dire « lorsque la discussion s’éloigne constamment du sujet et que ça ne mène nulle part, faisant perdre du temps au reste des participants ». C’est le genre d’affaire qui arrive souvent lorsqu’on regroupe des gens dans une discussion (réunion, atelier, etc.) peu encadrée (on se met à parler de n’importe quoi sans rappel à l’ordre), ou trop encadrée (on finit alors par avoir envir de « s’évader » en parlant d’autre chose)

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  7. Carol

    31 août 2007 à 19 h 09

    Bref on peut déraper sans pour autant être dans l’utopie !!!!

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  8. Lou

    18 septembre 2007 à 11 h 18

    Ça serait plûtot une question . Du boul. Hamel et boul. Central,Comment rejoindre la piste cyclable Du Versant Nord ?

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