Dans Le Soleil de ce matin, on parle de cette maison située sur Grande-Allée, au coin de l’avenue Cardinal-Bégin. Je réside tout près depuis plus de 4 ans et l’état de cette maison et de son terrain n’a jamais cessé de se dégrader… La ville a toléré, mais peut être pas encore pour longtemps.
Source: Samuel Auger, Le Soleil, 22 septembre 2007.
« Les passants et les habitués de la Grande Allée en ont ras le bol de la petite jungle qui se développe devant le 930. Les plantes et le gazon y poussent de manière chaotique, mais le propriétaire réplique qu’il s’agit là d’un moyen de pression contre la Ville.
La broussaille est abondante devant la vieille maison patrimoniale située au coin de la Grande Allée Ouest et de l’avenue Cardinal-Bégin. Le gazon est négligé et les affiches sont légions. Des lecteurs nous ont manifesté leur impuissance par courriel, mais d’autres ont été plus radicaux. Un nouveau graffiti se lit d’ailleurs devant la maison de Rénald Grenier : « Coupez-moi ! » »
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22 septembre 2007 à 11 h 38
Tout ça à cause d’une clôture en fer forgé?
Tuer une mouche avec un bazooka, oui…
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22 septembre 2007 à 13 h 49
Le pire c’est qu’il fait parler de lui et fait évoluer sa cause (je ne sais pas si c’est avantageux pour lui).
Les commentaires de M. Perron me surprennent. Je croyais qu’il y avait des règlements municipaux sur les herbes hautes. En tout cas, il y en avait dans les villes d’avant fusion, ce qui pouvait conduire à certaines aberrations dans certains cas.
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22 septembre 2007 à 14 h 10
@ David
Bienvenue sur QU. Et une suggestion: Une photo de l’immeuble voisin (à l’est) ? Un exemple parfait de ce que peut être une superbe maison de pierre avec des aménagements paysagers de toute beauté.
Je le dis car le contraste est flagrant. Voilà! :)
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23 septembre 2007 à 23 h 49
Je crois qu’il aurait encore plus de chance avec quelque chose comme J.E. qu’avec un tel comportement d’adolescent.
S’il y a effectivement des règlements sur l’entretien d’un terrain, ce qui est probablement le cas, il n’aidera pas sa cause en se plaçant lui-même en tort.
À mon sens, il vaudrait plutôt mieux d’abord agir en bon citoyen et ensuite poursuivre en justice les fautifs… à moins que ce ne soit déjà fait en vain?
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24 septembre 2007 à 12 h 32
Sa contestation part d’une expropropriation qu’il a subit de la part de la ville sur des terrains que le contestaire possède dans le secteur de la rue Montolieu. Un jugement à été rendu sur son cas. Comme ses terrains sont en zone verte (je pense) il n’a pas reçu la compensation qu’il aurait souhaité.
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24 septembre 2007 à 17 h 52
Ben c’est bizarre, parce que tant que cela ne met personne en danger, pourquoi ne pourrait-il pas avoir le terrain qu’il désire ?
S’il préfère les herbes hautes ? D’ailleurs, laisser la nature faire son oeuvre seule est également un moyen écologique de gérer un jardin.
Qui a le monopole du bon goût ?
Comme c’est une propriété privée, je ne vois pas où est la gêne. Je passe devant souvent, je n’avais jamais été spécialement choqué ;-)
Perso j’aime les endroits nature et un peu jungle en effet.
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26 septembre 2007 à 10 h 27
Selon moi ce sont plus les affiches installées qui jurent dans le décor et la Ville devrait faire appliquer son règlement sur l’affichage dans ce cas!
L’herbe haute? Même certains terrains de la Ville, le long de la St-Charles, sont volontairement laissée en friche, où l’herbe n’est fauchée qu’une fois par année. Un bon moyen de :
1. Réduire les gaz à effet de serre (moins de tondeuse);
2. Augmenter la captation de ces gaz (plus de végétaux);
3. Augmenter la perméabilité du terrain et la rétention d’eau.
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26 septembre 2007 à 10 h 45
En effet l’affichage est plutôt disgracieux étant mal entretenu comme le terrain. Que la ville applique ses règlements pour l’affichage.
Mais je suis d’accord sur le fait que ce citoyen peut laissé son terrain en friche, à condition qu’il ne contient pas d’herbes à poux, par respect pour les résident proche s’ils en sont allergiques. D’ailleurs la ville a un rêglement pour cela.
Par contre, si sa façon de manifester n’est pas une suisance publique, respectons ceux qui ont encore le courage de se lever afin de faire valoir leur droit. Trop de gens ont vu leur patrimoine se faire ravir par le gouvernement et l’armée de fonctionnaire et juriste sans pouvoir se défendre contre l’expropriation, faute de moyens.
À ce compte, ayons tous une pensée bien juste pour Pauline et le chateau de Moulinsart…
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12 août 2008 à 17 h 31
Elle est bien bonne. On s’amuse comme des fous ici. LA VILLE
NE PEUT PLUS TOLÉRÉE. Vraiment c’est du stand-up comique.
Par contre c’est la tolérence totale sur la façade de St-Vincent-de
Paul et de son terrain en friche. Moi à la place du proprio, j’enverrais promener la ville avec ses remontances
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