D’entrée de jeu, je suis tout à fait d’accord avec la tenue d’une telle journée à Québec. Mais à juste titre, plusieurs s’interrogent sur la portée réelle et l’aspect purement symbolique de l’événement dans nos cités où le citoyen moyen est esclave de son « char »…
Retour en photos sur l’activité à Québec de vendredi dernier, et cette opinion d’un journaliste bien connu qui s’applique fort bien, ici, à propos d »En ville sans ma voiture » à Montréal…
Source: Patrick Lagacé, La Presse, 20 septembre 2007.
Ah, la journée En ville sans ma voiture! Sentez-moi cet air pur! Voyez ces gens heureux qui marchent, qui trottinent, qui patinent sur la Sainte-Cath libérée du bazou! Voyez comme ils sont roses de bonheur, grandioses soldats de la cause verte!
Bon, trêve d’ironie (…)
La suite. Aussi, ce billet et mon reportage photo de l’édition 2006.
25 septembre 2007 à 13 h 00
On se demande c’est quoi le résultat de la Journée sans voiture ? Continuez à poser la question tout partout ? Continuez… Continuez… C’est ça le résultat. On en parle, parle, reparle et même déparle.
Le problème de la journée sans voiture c’est que finalement on se pose toujours la même question : meuh ! c’est quoi l’rapport ? tout le monde prend son char any way. Quessé ça change ?
Parce que la question « quessé ça change » a épuisé son potentiel polémique, on finit tout le temps par se poser la question la plus intéressante : quelle place devrait occuper la pétromobile ?
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25 septembre 2007 à 22 h 03
Malheureusement mon cher JT, tans que les alternatives sera pas plus attrayant pour ceux qui sont habituer par leur char, et tant que cela ne fera pas mal au portefeuille, cela risque d’être statu-quo!!! pour un certain temps.
En souhaitant que je me trompe !
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