Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les secrets honteux des conventions collectives

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 septembre 2007 6 commentaires

Source: François Bourque, Le Soleil, 27 septembre 2007.

La menace de rendre publiques les conditions de travail des employés de la Ville de Québec laissait croire qu’il s’y trouvait des secrets honteux.

Qu’il y avait là des salaires et avantages si indécents que les employés seraient gênés de les voir étalés au grand jour. Cette crainte devait rendre les employés plus raisonnables lors des négociations, calculait l’ex-mairesse Andrée Boucher.

La menace a porté et les pompiers se sont précipités vers l’arbitrage par crainte que la Ville négocie sur la place publique.

« Nos employés s’en vont au travail avec l’impression que la population les déteste », confiait cette semaine à MédiaMatinQuébec le président du syndicat des cols blancs. (…)

La suite.

Voir aussi : Québec La cité.


6 commentaires

  1. mat

    28 septembre 2007 à 09 h 50

    J’ai la larme à l’oeil..

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  2. dlp

    28 septembre 2007 à 10 h 16

    « La menace de rendre publiques les conditions de travail des employés de la Ville de Québec laissait croire qu’il s’y trouvait des secrets honteux. »

    uhh

    Les conventions collectives sont toutes publiques et sont accessibles par la commission des relations du travail, qu’elle menace y a-t-il ?

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  3. André

    28 septembre 2007 à 11 h 14

    @ DIP

    Pourrais-tu nous mettre le lien pour obtenir la dernière convention collective en cause soit celle des pompiers.

    Merci

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  4. Louis

    28 septembre 2007 à 17 h 17

    Un exemple, un pompier peu se déclarer malade n’importe quand et pour une duré x sans avoir à se justifier. Il est automatiquement remplacé par un collègue en congé, qui rentre à temps et demi, et ce, pour conserver le nombre d’effectifs par casernes.

    L’absence de justification n’est pas conventionée, mais serait plutôt causée par un manque chronique de leadership au niveau des supérieurs. Une forme de je-m’en-foutisme semble-t-il. C’est ce qui m’a été conté par un proche qui est pompier (et un peu découragé).

    C’est pire pour la police semble-t-il. Cosa Nostra e Mano Negra

    Une petite prière pour Jean Lessage qui a permis à ces 2 corps de métier de se syndiquer pour ramasser des votes. On est loin d’être maitres chez-nous.

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  5. dlp

    29 septembre 2007 à 10 h 41

    @André

    Il faut généralement faire une demande à la commission mais quelques fois les conventions sont disponibles sur internet voilà celle des pompiers de Montréal (échue). http://www.adpm.qc.ca/utilisateur/documents/Convention/CONVENTION%20COLLECTIVE%20POMPIERS%202002-2006.pdf

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  6. Jean

    24 octobre 2007 à 14 h 06

    Les pompiers prennent des congés parce qu’il manque d’effectif.
    Cet été, plusieurs pompiers sont demeurés 72h à la caserne par manque, ca va à l’en contre de la CSST mais ils sont obligés.

    Les policiers, la service à mise a pied les 30 derniers policiers entrés au service. Certains policiers font 100 000 par année oui après 25 ans de service, mais ils travaillent 5 jours sur 7, 365jrs par année à prendre des temps supplémentaires.

    La ville de Québec a engagé GARDA en sous traitance pour répondre aux alarmes. C’est même pas une économie, ca coute 75 000$ de plus aux contribuables..

    La ville manque d’effectif, c’est ca le vrai problème.

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