Source: François Bourque, Le Soleil, 27 septembre 2007.
La menace de rendre publiques les conditions de travail des employés de la Ville de Québec laissait croire qu’il s’y trouvait des secrets honteux.
Qu’il y avait là des salaires et avantages si indécents que les employés seraient gênés de les voir étalés au grand jour. Cette crainte devait rendre les employés plus raisonnables lors des négociations, calculait l’ex-mairesse Andrée Boucher.
La menace a porté et les pompiers se sont précipités vers l’arbitrage par crainte que la Ville négocie sur la place publique.
« Nos employés s’en vont au travail avec l’impression que la population les déteste », confiait cette semaine à MédiaMatinQuébec le président du syndicat des cols blancs. (…)