Cette photo (qui aujourd’hui, aurait comme sujet dominant en arrière-plan le Château Frontenac) est reproduite au revers du récent essai du sociologue et urbaniste à la retraite Jean Cimon [billet].
En avant-propos, l’auteur fait cette description très sensible de la scène d’époque:
« La deuxième photographie de Louis-Prudent Vallée (…) nous transporte dans la basse-ville portuaire au pied de la terrasse Dufferin vers l’année 1890, soit peu de temps avant la construction de l’hôtel Château Frontenac. Au premier plan, les caléchiers et l’omnibus font le plein de passagers qui viennent tout juste de débarquer du traversier de Lévis. Vallée excelle dans la description instantanée de cette scène urbaine et on a envie de courir pour ne pas rater l’omnibus dont les deux chevaux piaffent d’impatience bien qu’ils soient dissimulés par l’état de la machande de fruits et légumes.
À consulter aussi, ce billet: La folie des grandeurs, ça ne date pas d’hier….
2 novembre 2007 à 01 h 33
Wow!!! j’adore quand vous partagez de belles vieilles photos d’époque , quand il y en a je m’empresse de les conservées. Si vous en avez d’autres gênez-vous pas je suis preneuse.
Merci beaucoup encore.
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