Image publiée dans Le Carrefour de Québec, édition du 22 novembre 2007.
À consulter, ce billet: 580 condos dans le secteur des Méandres.
Image publiée dans Le Carrefour de Québec, édition du 22 novembre 2007.
À consulter, ce billet: 580 condos dans le secteur des Méandres.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Condo.
22 novembre 2007 à 01 h 59
Bon! ça a l’air que pour une fois on ne va pas sans cesse réduire la densité par rapport au gabarits proposés à l’origine. On parlait de 4 à 6 étages dans ce coin là. Ça m’a tout l’air que c’est ce qu’on aura.
Avec un peu de chance, les nouveaux résidents, étant nombreux, auront peut-être droit à des commerces de proximité, lesquels devaient être construits au printemps 2007 et que les gens du coin doivent attendre avec impatience :
https://www.quebecurbain.qc.ca/2006/12/28/premier-projet-commercial-le-long-de-robert-bourassa/
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22 novembre 2007 à 09 h 47
c’est bien beau, mais moi j’ai hate de voir arreter les construction neuves dans ce coin , car pourquoi ne pas prendre des batiments deja existants qui sont à l’abandon et les revitaliser avec ce genre de projet. La ville pourrait s’impliquer d’une certaines facons, par exemples, payer les frais de démolition des vieux batiments. Je pense netre autres dans St-Roch, St-Sauveur
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22 novembre 2007 à 12 h 51
Toutes les fois que je passe sur Lebourgneuf et que je regarde tous ces alignements de blocs de condos, je ne peux que m’inquiéter pour les prochaines décennies. Les propriétaires ont vraiment intérêt à très bien les entretenir pour conserver les valeurs de revente, sinon le tout se retrouvera sur le marché de la location. Le spectre des banlieues parisiennes pourraient se dessiner.
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24 novembre 2007 à 00 h 34
Jean : j’avoue que ça mérite réflexion…. d’un autre côté, je me dis que ces logements coûtent tellement cher du pied carré que le « sort de la location » risque peut-être plus de s’abattre sur les banlieues des années 60-70, qui commencent à se vider de leurs baby-boomers.
Certains bungalow sont fort bien rénovés, tandis que la plupart ne vaudront pas cher dans 10 ans. Je ne serais pas surpris d’en voir un paquet être rétapés avec des appartements (ou « chambres ») au sous-sol, comme c’est souvent le cas aujourd’hui à Sillery et Ste-Foy (des banlieues des années 50, et université et cégep aidant…). Sinon, on pourrait peut-être simplement assister à une dépréciation assez importante pour en faire des quartiers « moyen-pauvres ». Il me semble que bien des villes dans le monde qui ont connu un « essort banlieusard » après la 2e Guerre ont subi ce sort de décrépitude de la couronne rapprochée de banlieu. Mais bon… j’extrapole beaucoup! Je veux juste dire qu’il y a peut-être d’autrs coin de la ville qui subiront ce sort avant Lebourgneuf.
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