Source: Matthieu Boivin, Le Soleil, 25 novembre 2007.
À Québec, on se demande comment faire pour permettre à tous les joueurs de hockey de pratiquer leur sport favori à un rythme plus régulier. Pour pallier ce problème, la Ville d’Ottawa a mis en place une façon de faire de plus en plus à la mode pour construire des installations sportives : les partenariats public-privé (PPP). (…)
La suite. À consulter aussi, ce billet: François Bourque: Le luxe de fermer l’aréna?.
27 novembre 2007 à 21 h 28
Bien que les PPP soient à la mode, il y a encore beaucoup de travail à faire pour ces alternatives deviennent intéressante je vous donne l’histoire qui suit;
La ville de Guelph en Ontario a investi 10,5 millions de dollars d’argent public en plus de garantir un prêt de 9 millions à une entreprise privée (Nustadia Developments), en vue de la construction d’un complexe aréna et galerie marchande appelé le Guelph Sports and Entertainment Centre. [vii] Encore au tout début de l’entente d’une durée de 35 ans, la société privée a réalisé que sa situation était mauvaise parce que les revenus estimés n’étaient pas au rendez-vous. Après avoir contribué au projet à hauteur de près de 20 millions en immobilisation, la ville s’est vue forcée de couvrir la portion de la dette de son partenaire privé. [viii] À l’été de 2001, la ville a commencé à payer à Nustadia des versements hypothécaires de 750 000 $ ainsi que toutes les taxes fédérales et l’impôt des sociétés en lien avec ce projet.
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