Note: cette photo n’était pas incluse dans l’article.
Source: Radio-Canada (Québec), 18 décembre 2007.
Le Conference Board du Canada place la région de Québec au 5e rang en ce qui a trait à sa vitalité économique en 2006, parmi 20 régions métropolitaines du Canada et du nord-est des États-Unis. Calgary, Edmonton, Ottawa et Vancouver précèdent Québec. Montréal se situe quant à elle au 12e rang.
En 2005, la région de Québec s’était classée au 4e rang. Le recul s’explique en partie par une création d’emplois moindre en 2006.
La région de Québec accuse un retard en ce qui a trait au produit intérieur brut et se classe au 18e rang en ce qui a trait au revenu disponible par habitant.
La région de Québec récolte une médaille d’or pour la production, en hausse de 3 % par rapport à l’année précédente. Québec se classe par ailleurs au premier rang quant au coût pour y faire des affaires.
À consulter aussi, ce billet: Croissance économique: Québec en tête dans la province.
18 décembre 2007 à 23 h 13
Qu’est ce qui est important pour Québec l’économie ou la qualité de vie ???
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19 décembre 2007 à 07 h 48
»Qu’est ce qui est important pour Québec l’économie ou la qualité de vie ??? »
Les deux, dans un sens comme dans l’autre..
Une bonne économie nous procure plus d’argent pour améliorer notre qualité de vie.
Une bonne qualité de vie attire les entreprise qui nous procure une bonne économie.
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19 décembre 2007 à 08 h 40
Ce qui ne faut pas entendre?
Explique nous Carol comment tu peut assurer une qualité de vie sans les ressources (matérielles,financières et humaines) de l’économie qu’elle soit capitaliste, socialiste ou communiste. J’ai bien hâte de voir tes exemples qui devraient relever sans doute de la pensée magique.
Définition de l’économie:
Ensemble des activités d’une collectivité humaine visant à la production, à la répartition, à la distribution et à la consommation des richesses; gestion où l’on dépense judicieusement, où l’on évite la dépense inutile; acquisition de ressources financières, humaines et matérielles appropriées, tant sur le plan de la qualité que sur celui de la quantité, aux moments opportuns et au coût le moins élevé.
Sujet de réflexion:
Économie du savoir
Économie sociale
Économie agroalimentaire
Économie climatisée :
Système d’économie capitaliste dans lequel le climat général est créé par l’État (par ex. : dans la planification japonaise).
Économie de l’eau
Économie de carburant
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19 décembre 2007 à 09 h 38
Bonne réponse M. André….
Mais je suis sur que bien des gens vont continuer à désirer croire que notre chère ville souffre d’un manque de dynamisme…
Discours plutôt rabâchant.
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19 décembre 2007 à 10 h 10
« Ce qui ne faut pas entendre? »
Mais encore !
« J’ai bien hâte de voir tes exemples qui devraient relever sans doute de la pensée magique. »
Ouais vite sur le jugement facile !! et vite de supposer ce que je pourrait dire qui n’Est pas nécessairement mon intention !!!
Je voulais exprimer qu’on parle souvent de l’économie et des indices du m^me genres, et rarement de la qualité de vie d’où ma question simplement
Finalement je me demande si c’Est par ignorance ou mauvaise foi les commentaires que je lis, ou bien donc parce que je touche un point sensible ??? Hum !!! :-(
Économie veut aussi dire : Gestion ou on évite la dépense inutile !
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19 décembre 2007 à 11 h 12
@Carol
Je cite ton questionnement::
« Qu’est ce qui est important pour Québec l’économie ou la qualité de vie ??? »
Tu nous demandes de faire un choix n’est-ce pas avec ton questionnement et les trois personnes qui t’ont répondu ont simplement dit à l’unisson ce qui est important pour Québec c’est l’économie ET la qualité de vie car sans la première on peut difficilement atteindre la deuxième.
Je te cite:
Finalement je me demande si c’Est par ignorance ou mauvaise foi les commentaires que je lis, ou bien donc parce que je touche un point sensible ??? Hum !!! :-(
Nos réponses sont en fonction de ton questionnement.et non pas ce que tu exprime dans ton deuxième message avec les mots ET RAREMENT. Avec une question incluant ces deux mots la discussion aurait été différente.
« Je voulais exprimer qu’on parle souvent de l’économie et des indices du m^me genres, et rarement de la qualité de vie d’où ma question simplement »
Je te cite:
« Économie veut aussi dire : Gestion ou on évite la dépense inutile ! »
Relis mon texte de la définition de l’économie et tu retrouvera les même mots :gestion où l’on dépense judicieusement, où l’on évite la dépense inutile.
Alors sommes nous toujours ignorants,de mauvaise foi , je crois que non, on a seulement répondu du tac au tac à une question mal formulé .
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19 décembre 2007 à 11 h 15
@Carol
de la facon que c’était formulé, ca portait à croire que tu mettais en opposition les 2 critères, alors qu’il vont ensemble car complémentaire.
La qualité de la vie à Québec on est déjà pas mal au courant, je crois. L’économie va bien mais le PIB est trop faible, il manque de création de richesses et d’innovation…
C’est la prochaine étape et avec ca je crois que ca serait plus facile d’attirer davantage d’immigration
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19 décembre 2007 à 12 h 22
On me permettra d’ajouter ces mots parus récemment:
» A Québec, rien ne peut se faire, aucune partie ne peut se jouer sans l’intervention des gérants d’estrades qui semblent chercher des proies depuis le départ des Nordiques! Pour cette espèce de spectateur qui a survécu aux chandails fleurdelysés, le fauteuil ergonomique de l’ordinateur a remplacé commodément le siège inconfortable du Colisée. Je ne suis pas loin de penser, comme l’ont avancé certains loustics, que, si Québec avait gardé ses souffre-douleurs attitrés du hockey majeur, le climat de la capitale de la neige ne s’en trouverait que plus sain et plus respirable »
Régis Tremblay, Journal Le Soleil, 17 décembre 2007
P.S. On comprendra, du moins je l’espère, que je n’ajoute pas ce texte en voulant cibler qui que ce soit. Merci! :-)
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19 décembre 2007 à 16 h 12
La mauvaise nouvelle c’est que Quebec est 18e au niveau du revenu disponible. Dans un autre billet ou j’avais laisser un commentaire, j’avais inclus un hyperlien avec la liste des 500 plus importants employeurs de Quebec parmi lesquels figuraient des supermarche d’alimentation et ou je notais que la grande entreprise y etait a toute fin pratique absente. Donc, c’est bien beau des jobs et un taux de chomage bas mais faut-il encore qu’on parle ici d’emploi de qualites bien remuneres. Malheureusement, ce n’est pas le cas a Quebec ce que confirme cette 18e position niveau du revenu disponible. Cela veut dire qu’a Quebec il y’a beaucoup d’emplois de qualite moyenne ou de pietre qualite (des jobines) avec un salaire derisoir. Desole mais ce n’est pas ca qui va retenir les jeunes avec de l’ambition dans la vieille capitale. Bref, tout n’est pas noir loin de la mais il y’a encore beaucoup de travail a faire pour rendre l’economie de Quebec plus dynamique et plus diversifier.
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19 décembre 2007 à 16 h 31
Amusant…Comme je l’ai écrit ce matin je prévoyais que certaines personnes allaient préférer croire que notre ville souffrait d’un certain manque de dynamisme…..À ce que je peux lire du dernier commentaires je ne m’étais pas trompé!!!
Allons-y chantons tous en choeur….
Quebec est une ville plate….
Falalala..lalala!!
Où les gens trainent leurs savates
Falalala…lalala
Le dynamisme y est absent
Falalala…lalala
Alors les jeunes y f….le camp
Falalala…lalala!!!
Non mais……Il y en a marre à la fin de se négativisme de bon aloi!!!
Cela semble etre « in » de vilipender la ville!!! je suis en train de m’interroger sur les raisons psychologiques de la raison de ce négativisme…..Prendrait-elle racine dans une certaine carence de l’ estime de soi?????
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19 décembre 2007 à 17 h 17
« « A Québec, rien ne peut se faire, aucune partie ne peut se jouer sans l’intervention des gérants d’estrades qui semblent chercher des proies depuis le départ des Nordiques! Pour cette espèce de spectateur qui a survécu aux chandails fleurdelysés, le fauteuil ergonomique de l’ordinateur a remplacé commodément le siège inconfortable du Colisée. Je ne suis pas loin de penser, comme l’ont avancé certains loustics, que, si Québec avait gardé ses souffre-douleurs attitrés du hockey majeur, le climat de la capitale de la neige ne s’en trouverait que plus sain et plus respirable »
Régis Tremblay, Journal Le Soleil, 17 décembre 2007
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19 décembre 2007 à 17 h 19
« A Québec, rien ne peut se faire, aucune partie ne peut se jouer sans l’intervention des gérants d’estrades qui semblent chercher des proies depuis le départ des Nor-di-ques! Pour cette espèce de spectateur qui a survécu aux chandails fleurdelysés, le fauteuil ergonomique de l’ordinateur a remplacé commodément le siège inconfortable du Colisée. Je ne suis pas loin de penser, comme l’ont avancé certains loustics, que, si Québec avait gardé ses souffre-douleurs attitrés du hockey majeur, le climat de la capitale de la neige ne s’en trouverait que plus sain et plus respirable »
Régis Tremblay, Journal Le Soleil, 17 décembre 2007
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19 décembre 2007 à 19 h 24
Dans tous les secteurs d’activité d’importance de la ville, il n’y en a pas un seul qui va mal. Le tourisme roule, la fonction publique est toujours aussi constante, et puis le nouveau secteur de haute technologie en fort développement fait aussi son effet. Bien, sûr, l’économie de la région est encore relativement peu diversifié quant on se compare, mais ça s’améloire. C’est ça qui est important. On ne peut pas s’attendre à ce que ces choses changent du tout au tout du jour au lendemain.
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19 décembre 2007 à 23 h 37
« salaire derisoir »…
Oui, je suis un partisan de la simplicité volontaire, de l’Accord de Kyoto (gros bolo pour un certain Har…) et du retour à une sagesse considérant que les ressources de la terre ne sont pas illimitées, ce qui ne veut pas dire vivre ici dans la pauvreté…
Un bon salaire, c’est quoi, au juste? Tout pour se payer un gros « Hummer », une grosse maison, une grosse TV plasma, un gros ordinateur, une grosse piscine? Jalouser le train de vie de certains « baby boomers » en caravane « Liberté 55 » qui ont eux-même prôné le retour à la nature dans les année 1960? Faudrait qu’on m’explique…
Faudrait aussi qu’on me décrive c’est quoi, les valeurs des « jeunes d’ici qui ont de l’ambition »! ;-)
« Ambition », « écraser » (avec tout les moyens possibles), « être winner », avoir du « cash », consommer, « au plus fort la poche »; vivre le jeu et les voeux du foutu vent de droite qui souffle sur le pays… Misère!
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20 décembre 2007 à 07 h 13
Excusez pour le même texte de M. Tremblay.
Difficultés techniques temporaires…
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20 décembre 2007 à 11 h 37
« @Carol
de la facon que c’était formulé, ca portait à croire que tu mettais en opposition les 2 critères, alors qu’il vont ensemble car complémentaire.
La qualité de la vie à Québec on est déjà pas mal au courant, je crois. L’économie va bien mais le PIB est trop faible, il manque de création de richesses et d’innovation…
C’est la prochaine étape et avec ca je crois que ca serait plus facile d’attirer davantage d’immigration »
Merci pour cette précision Matrix !
Ah les communications sur internet , imcomplètes !!!
« Alors sommes nous toujours ignorants,de mauvaise foi , je crois que non, on a seulement répondu du tac au tac à une question mal formulé »
serait tu en train de me dire que vous êtes trop impulsif du clavier hi hi hi !
(joke) Mal formuler non ! plutôt manque d’élément dans la question !
Mais je vois une tendance que moi même vis par moment, c’Est de supposer ce que l’autre dit sans poser des questions pour en savoir plus d’Avantage sur l’intention de fond de ce qui a été dit !!! Est ce que je me trompe ???
« Un bon salaire, c’est quoi, au juste? ‘
Bonne question, je suppose que cela est différent d’une personne à l’autre, dépendament de ses valeurs…
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20 décembre 2007 à 14 h 22
Un « bon salaire »? On s’écarte légèrement du sujet, mais j’aimerais tenter une réponse.
Sans égard aux autres considérations sur le travail (ambiance, coéquipiers, tâches, etc.), je dirais qu’on bon salaire c’est…
…quand ce qu’on offre ailleurs pour un emploi équivalent n’est pas suffisamment élevé pour donner le goût d’y aller en échange de son emploi actuel, ou encore, quand on a le goût d’y aller mais qu’ils ne sont pas prêts à nous embaucher, car ils préfèrent d’autres candidats.
Évidemment, tout cela est propre à chacun…
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